Clercs Et Laics

développe l’idée que le salut du chrétien de dépend pas de son adhésion à l’Eglise mais uniquement sur ses actions et pensées personnelles. Dans d’autres écrits, Luther insiste sur le fait que chaque croyant est prêtre en Christ, que les clercs ne sont pas supérieurs aux laïcs ou encore qu’il n’existe pas d’œuvres devant être accomplies par chaque chrétien : il doit se fier à sa foi et ses convictions pour assurer son salut. Martin Luther réussit ainsi très tôt à faire adhérer une communauté à ses idées

moitié du XIXème siècle, on assiste à un regain de tension, signe d'une Eglise qui faiblit, et notamment avec l’influence de la 3ème République. Cette période est celle des premiers espoirs laïcs. L'anticléricalisme gronde plus que jamais et participe à la formation de nouveaux espoirs chez les républicains laïcs. En 1870, la chute de l'empire s'accompagne de violences anticléricales, notamment à Paris. Le gouvernement se montre tout d'abord conservateur, favorable à un retour du fameux ''ordre moral''

étroites avec les évêques. La juridiction des évêques demeure cependant limitée à une compétence ratione personae. Sous les mérovingiens; les clercs seuls relèvent de cette juridiction mais l’église va tenter d’étendre sa compétence aux personnes placées sous sa protection, les veuves et les orphelins. La juridiction de l’évêque ne peut juger les procès entre laïcs que si les deux parties sont d’accord sur ce point. Contrairement aux mallus, les juridictions de l’église continue à suivre les règles de

réforme La réforme canoniale L’érémitisme 3. La réforme à l’échelle régionale et locale Royaume de Francie, Nord Royaume de Francie, Midi Royaume de Bourgogne B. Approfondissements sur quelques dimensions de la réforme 1. Le statut des clercs et des laïcs 2. Les investitures, le contrôle des charges, des biens et des droits ecclésiastiques 3. Pèlerinage et croisade Travaux conseillés pour cet été 1. Prendre en notes les pages relatives aux Xe et XIe siècle dans les manuels suivants (sans

clergé régulier (ce clergé vit selon une règle et vivent à l’écart du monde). L’église Ste Foy de Conques est ouverte aux fidèles qui se tiennent dans la nef*. Cette église rappelle la structure d’une église classique : séparée en 2 parties, les clercs et les laïcs. Le plan de l’église montre bien cette organisation (avant un jubé séparait la nef du transept). L’église abbatiale se rapproche du clergé séculier car elle est sur le chemin de St Jacques de Compostelle. 3 grands pèlerinages au M-A : -Rome :

Guises. Si ce premier temps du tour se veut un voyage privé durant lequel, le roi baptise son neveu et donne à cette occasion un fête familiale, on peut également y voir la réaffirmation de la souveraineté royale, et la soumission des grands (laïcs comme clercs) au roi à qui ils avaient désobéis à plusieurs reprises (massacre de Wassy en 1562 contraire à l'Edit de Janvier). De la Lorraine, le roi et sa cour se dirige vers le Lyonnais, en passant par la Bourgogne (le roi s'arrête à Dijon) frontière

d'hommes et de bourgeois en particulier qui considéraient la femme comme avant tout une mère et une épouse. Après 1850, l'enseignement secondaire des filles devient l'affaire de débats politiques. La nature des écoles changent: les rares établissements laïcs sont financièrement plus fragiles et cèdent la place aux pensions religieuses jusque dans les années 1880. b- La naissance tardive des écoles pour filles "Mixité" La caricature contemporaine de Schwartz illustre bien la séparation de l'époque garçons

elles ne vont pas à l'encontre de ses principes, elle va cependant démontrer que ces lois n'ont pas leur place dans la société ; en effet, étant donné que l'Eglise considère que tous les chrétiens obéissent au droit canonique, et étant donné que les laïcs eux mêmes n'utilisent pas les lois qui leur sont consacrées ; les ' lois des empereurs romains ', les lois séculières ne sont alors que très peu employées. De plus, l'Eglise considère ' qu'il se présente rarement des causes telles qu'elles ne puissent

où les deux comtes voient leur pouvoir s’amoindrir au Xe siècle. Il faudra connaître les structures politiques d’encadrement à tous les niveaux, du roi au seigneur, leur organisation, leurs idéologies, leurs relations et l’imbrication des pouvoirs laïcs et ecclésiastiques. En bas de l’échelle, les relations entre le seigneur et ses dépendants ne devront être abordées que sous l’angle politique. Les transferts d’autorité seront étudiés. La Paix et la Trêve de Dieu font partie de la problématique, de

pour former la ligue de la Hanse en 1241) - en Italie du Nord B/ Une affirmation politique des villes 1/ (Rappel) Le contexte féodal Au 11e siècle, l’espace est divisé en seigneuries, dominées par des seigneurs (laïcs ou ecclésiastiques, comme des monastères) qui sont propriétaires de la terre et possèdent des droits sur les populations qui y résident et travaillent (prélèvement d’impôts, corvées). En ville, ce système existe aussi (domination d’un ou plusieurs