Clergé

mais apparaît comme un rassemblement de groupes divers, réunis autours de la personne du Roi. 1 – La société d'ordre D'un point de vue général, la société française est organisée en Ordre. Tout français appartient à l'un d'eux : la noblesse, le clergé et le tiers-état. Cette division est fonctionnelle et hiérarchisée. Elle implique des droits et des devoirs, donc un statut personnel propre à chaque ordres. Ainsi, en matière d'état des personnes, il n'y a pas d'unité du droit, chaque ordre disposant

être menée par les laïcs. L’Église (c’est-à-dire le clergé) a la responsabilité d’inspirer une approche rationnelle aux problèmes de justice, mais non, semble-t-il, de participer à son actualisation. Il est compréhensible que le clergé ne doive pas être engagé dans la direction de l’État. Mais le clergé est-il l’Église ? Les laïcs sont aussi l’Église et ils le sont davantage à mesure que les effectifs cléricaux diminuent et avancent en âge. Le clergé conserve néanmoins un contrôle et une influence majeurs

l’Église détermine que l'éducation des fidèles doit passer par la prédication, le but véritable étant d'imprégner la communauté du dogme chrétien. Au XVe siècle, la fonction de prédicateur est devenue chose quotidienne, habituelle pour les membres du clergé régulier et plus particulièrement serait-il bon de préciser, pour certains ordres mendiants tels que les Franciscains ou les Dominicains. Ces derniers souhaitent revenir à l'idéal de la vie religieuse des origines, refusent de posséder quoi que ce

représentent plus de 90 % de la population et sont donc à la base de l’activité économique et de la civilisation Européenne. Une organisation de la société médiévale est héritée de l’antiquité. C’est une société tripartie. 3 groupes se distinguent, le Clergé, la noblesse et le troisième état de la société qui constitue le bas de la pyramide, les paysans qui est dominé par les trois ordres précédent. Les paysans travaille de leur mains c’est eux qui nourrissent et produisent la nourriture pour la société

intervenir les Etats généraux en matière de régulation sociale au niveau juridique sous le régime de monarchie absolue. Les Etats généraux que constituent le nom donné à l’Assemblée composée des représentants de l’ordre du royaume à savoir la noblesse, le clergé ainsi que le Tiers Etat étaient convoqués par le Roi pour lui demander conseil ou une aide financière mais seul le souverain décidait des thèmes sur lesquels les députés avaient délibérés. Cette Assemblée n’était pas permanente et convoquée irrégulièrement

Bellatores: ceux qui combattent Aboratores: ceux qui travaillent. Aucun ordre n'est supérieur à l'autre. Ils se complètent. A la fin du 18eme, la moitié des nobles qui siègent avec la noblesse ont autant d'argent que les grands paysans. Si il existe un clergé puissant, un curé de village va mieux que nombre de ses co-paroissiens. Cette division de la société en trois ordres n'est pas une division par l'argent ou la puissance. B. Origines Ce terme d'Etat généraux n'apparaît qu'au 16eme. Il désigne

le clergé est séparé en deux parties. Une première appelée le Clergé Séculier, il est composé au plus haut d’un archevêque, homme élu par le pape, en charge d’une région (comme par exemple, l’archevêque de Aix-Arles est aujourd’hui mon seigneur Dufour.) Ensuite vient l’évêque: il est en charge d’un diocèse et son église est dite cathédrale. Et enfin il y a les prêtres : on a le curé, qui est en charge de l’encadrelet des laïcs et le chamoine, en charge de seconder l’évêque. C’est le clergé séculier

cour, la reine, implications dans les guerres d’indépendance de l’Amérique). Les états généraux (la noblesse et le clergé) instaurent de nouveaux impôts mais le peuple réagit en rédigeant un cahier de doléances pour dire au roi ce qui ne va pas et demande l’abolition des privilèges (corvées, inégalité devant les emplois et les impôts, …). Mais pire, le peuple a faim

domaines et le peuple lui verse un impôt, la dîme. Elle reçoit également des dons des fidèles. Le clergé est constitué de deux catégories d’hommes d’Église : les prêtres, qui vivent au contact des habitants, assurent les cérémonies religieuses et forment le clergé séculier avec les évêques; puis les abbés et les moines qui se retirent dans des monastères, se conforment à une règle, et forment le clergé régulier. Tous obéissent au pape, chef de l’Église. Au terme de cette réflexion, au Moyen Age

période, à quelques difficultés menaçantes. Il est vrai qu'elle est mise en danger par la ténacité du protestantisme et par l'esprit des Lumières si bien que le peuple français s'éloigne de plus en plus de la religion première et la domination du clergé sur la société s'affaiblit de plus en plus. La question qu'il est impératif de se poser lorsqu'on étudie la religion des français sous l'Ancien Régime concerne le choix réel qui est donné aux français dans le cadre de leur foi. Peut-on vraiment écrire