Cliff Burton

normalement d'une légende, mais on s'attarde plus sur le personnage d'Ichabod que sur le cavalier sans tête dont on parle au début du livre et tout au long de ce livre, on attend une apparition de sa part qui ne viendra qu'à la fin. Ayant vu le film de Tim Burton où l'histoire est centrée sur le cavalier, j'ai été déçu en lisant la nouvelle car c'est une version totalement différente.

les mondes : celui des « normaux » et celui des « différents ». Intérprétant souvent le monde des vivants et des morts. -Les Noces Funèbres : on se rend compte que le monde des vivants est bien plus mort qui celui des défunts. -La mort chez Tim Burton ouvre la porte, non comme dans la plupart des traditions religieuses d’un ciel paradisiaque mais d’un tombeau coloré, carnavalesque et surtout inventif. C’est un processus de création macabre, un “Art des morts”. APPARENCES -monstre vient d'un

moi-même dans mon père, et je ne pense pas qu'il ait jamais vu quelque chose de moi en lui. Nous sommes comme des étrangers qui se connaissent très bien », et cette description de leur relation ressemble à la relation d'August avec son père27. Tim Burton a également utilisé le film pour traiter de ses pensées et émotions au sujet de la mort de son propre père, survenue en 200024. Kent L. Brintnall, spécialiste en cinéma et en religion, observe de quelle manière la relation père-fils se résout d'elle-même

Tim Burton est un cinéaste très populaire, sans aucun doute. Mais cela n’empêche pas pour autant qu’il est très difficile de trouver des informations le concernant sur internet sans avoir peur de se répéter. La plupart des informations qui sont disponibles en ligne sont souvent des redites et cela ne facilite pas les recherches lorsqu’on le choisit comme axe d’étude. Les citations sont très difficiles à trouver car la majorité des ouvrages qui aborde mon sujet sont bien sur Google Livres, mais

cinéaste, aux personnages et aux spectateurs : - Le cinéaste laisse-t-il le spectateur libre ? (les cinémas de Jacques Tati ou de Roberto Rossellini par exemple) - Ou bien le « prend-il par la main » ? (le cinéma d’Hitchcock en général mais aussi Tim Burton dans Sleepy Hollow) Quelques questions pour situer le cinéaste et le film : Qui a fait le film ? Quand ? Dans quel pays ? Quel est le genre du film ? Quels sont les problèmes posés par le film ? 1/5 Quelques grands paramètres d’analyse Aussi bien

L'équivalent humain 15 Conclusion 17 Introduction Charlie et la chocolaterie (Charlie and the Chocolate Factory) est un roman pour enfant de Roald Dahl porté à l'écran par Mel Stuart dans Willy Wonka and the Chocolate Factory en 1971 et par Tim Burton dans Charlie and the Chocolate Factory en 2005. Ces deux films adaptent le même livre, cependant il existe des différences notables entre eux, tant du point de vue de l'histoire que du point de vue des effets spéciaux. Nous allons analyser ces différences

manière générale, les personnages atypiques qu'il incarne ont en commun audace et originalité et se démarquent du commun des mortels. Au début des années 1990, il a commencé à collaborer avec celui qui est devenu son réalisateur fétiche et son ami, Tim Burton, avec lequel il a tourné plusieurs films. De juin 1998 à juin 2012, il vit entre la France et les États-Unis avec la chanteuse et actrice française Vanessa Paradis, mère de ses deux enfants : Lily-Rose Melody, née le 27 mai 1999, et Jack John Christopher

et sa place dans la société. Françoise Dolto parle du “complexe du homard” où elle explique que les crises à l’adolescence sont une étape obligatoire et bénéfiques au passage de l’enfance vers l’âge adulte. Nous avons travaillé sur le film de Tim Burton, “Alice au pays des merveilles” sorti en 2010, joué par Mia Wasikowska dans le rôle d’Alice et d’une durée d’ 1h45. Nous avons étudié le thème des combats de l’enfance au travers des formes de l’initiation et des crises identitaires. Nous allons

Mais ce sujet ne plaisait pas à Angèle, nous l'avons donc abandonné. Toutefois, nous sommes restées sur l'idée de trouver un sujet en lien avec nos goûts cinématographiques communs. C'est ainsi que nous avons choisi de travailler sur un film de Tim Burton. Au début, nous ne savions pas lequel choisir. Personnellement, j'étais intéressée par « les noces funèbres » car pour moi il s'agit d'une œuvre cinématographique magnifique, mais ce sujet n'était pas viable dans le sens où il ne serait pas possible

cette pièce là doivent se délivrer de leur addiction au chocolat elles suivent donc une thérapie. Le chocolat poursuit sa présence et va se glisser dans la cinématographie dans l’adaptation du livre « Charlie et la chocolaterie » en 2005 avec Tim Burton et Johnny Depp. Puis vient Merci pour le chocolat comédie sortie en 2000 réalisée par Claude Chabrol. Le chocolat n'est pas là le sujet principal mais néanmoins il a sa place car un des personnages prépare chaque soir un chocolat chaud pour son enfant