Coche

l’effet comique. D’autre part, La Fontaine veut faire ressortir la grandeur du coche, il le fait principalement en insistant sur la quantité. Il essaie de montrer la lourdeur de celui-ci au vers 3 « Six forts chevaux tiraient un Coche⁴». Il montre que le coche est si lourd qu’il doit être tiré par six chevaux, animaux extrêmement fort et puissant. Il insiste beaucoup ____________________________________ 1-La Fontaine. « Le Coche et la Mouche », Fables, Paris, Gallimard, « Folio Classique », 1991, p.209-210

précédée du verbe «faire» ou «jouer». Un coche était autrefois un véhicule de transport public tiré par des chevaux. Il transportait surtout les gens pauvres, les riches ayant leur carrosse personnel. Et si jamais quelqu'un loupait l'heure de départ du coche, il «ratait le coche», ce qui a donné naissance à l'expression qui signifie maintenant «manquer une occasion». Morale : Notre expression vient d'une fable de Jean de la Fontaine «le coche et la mouche» dans laquelle la morale (elle est

Montage studio Installation du fond 2 autopôles : Les vis de serrage doivent être à l’extérieur. Prendre 2 autopôles différents. Éviter de faire pencher les pôles vers l’avant. Laisser un espace entre le mur et l’installation. Bien serrer les vis de serrage. 1 fond + deux mandrins Les mandrins : Encoche mobile (à verrouiller) permettant de décaler le fond pour l’ajuster. Encoche en plastique du mandrin doit permettre au crochet de plastique d’être parallèle au sol. Bien verrouiller le

1 Texte : le jeu du carrosse et du cocher Il était une fois, un roi et une reine qui avaient décidé de se rendre à Lutèce en carrosse. Le cocher vînt les prendre à 8 h 00, après avoir vérifié la roue avant droite, la roue avant gauche, la roue arrière droite et la roue arrière gauche, enfin, toutes les roues du carrosse. Ensuite, le cocher attela les chevaux. Le cheval de droite (le préféré du cocher) était blanc ; le cheval de gauche, lui, était noir. Les chevaux fixés au carrosse étaient

La Fontaine Le coche et la mouche, livre VII Vers 1 : -Exposition du cadre spatio temporel -Allitération en m : « Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé » + gradation => la montée demande un effort ; difficile. Vers 2 : -Citer le texte => La présence du soleil renforce la difficulté de la montée. Vers 3 : -présence de l'imparfait => Présente l'action dans son déroulement. - « 6 forts chevaux » => renforce la difficulté. Vers 4 : -Enumération et réification

Lecture méthodique Le Coche et la Mouche Jean de la Fontaine, Livre VII, Fable 8 1. Introduction « Le Coche et la Mouche » est une fable écrite par Jean de la Fontaine qui appartient au premier livre du deuxième recueil, publié en 1678. La structure de cette fable est composée d’octosyllabes et d’alexandrins. La Fontaine met en scène deux protagonistes : La Mouche, un petit insecte qui fait un bruit sourd et perturbant, et le Coche, un moyen de transport, lourd, tiré par des chevaux.

Etude I - La vivacité de la fable provient de sa variété - Les vers 1 à 5 expriment fortement l’effet de lourdeur du coche par une accumulation emphatique « montant, sablonneux, malaisé », « Femmes, Moine, vieillards », « suait, soufflait, était rendu », ce qui provoque un effet d’attente, que le vers 6 va combler par la légèreté de sa métrique « Une Mouche survient, et des chevaux s'approche ». Il y a un changement de temps du passé au présent, ce qui correspond au début du récit. - Du vers

Le coche et la mouche : Introduction: Le Coche et la Mouche, de Jean de la Fontaine, est un fable (elle raconte une petit histoire, souvent à travers des animaux, avec une portée morale de longueur variable, elle autorise le changement de la mesure du vers pour animer le récit) tirée des Fables publié en 1678. Elle alterne alexandrins et octosyllabes. Elle met en scène deux protagonistes très différents : La Mouche, insecte minuscule et vantard et le coche (moyen de transport) lourd et, par

LECTURE ANALYTIQUE Le coche et la mouche, Fables, livre VII, 9 1678 La Fontaine

La caricature du personnage fait rire mais évoque des réalités. Le personnage, porte-parole À travers Marceline, dans Le Mariage de Figaro. Le recours au personnage permet au lecteur de comprendre mieux les idées de l'auteur, à travers le personnage, il matérialise plus la situation et donc y est plus sensible. Le lecteur, par des moyens maîtrisés par les grands auteurs, peut être très touché par l'histoire et donc, totalement adhéré aux thèses défendues indirectement, le lecteur peut s'y attacher