Cochinchine

française depuis 1638 1908 : AEF = Afrique équatoriale française composée de Gabon Oubangui – Chari Moyen Congo Tchad 1912 : Maroc 5 comptoirs en Inde Pondichéry Karikal Mahé Yanaon Chandernagor 1854 : Nouvelle Calédonie Fédération Indochinoise = Cochinchine (1862) Cambodge (1863) Annam Tonkin (1885) Laos (1893) Et le territoire de Kouang Tchéou Wan (1900) Des concessions en Chine Tahiti (1842) Martinique (française depuis 1635) Guadeloupe (depuis le XVIIe siècle, redevenue française après 1815)

il s'amorce ainsi un empire d'Extrême-Orient. ⇨ Deux expéditions contre la Chine en 1858 et 1860 et occupation de Pékin avec l'appui de la GB ⇨ Installation des français dans le delta du Mékong, à Saigon et en Cochinchine ⇨ Le Cambodge est placé sous protectorat français en 1863 ⇨ La Nouvelle Calédonie est occupée en 1854 c) Les Problèmes d'administration et d'exploitation 1. L'administration

´ 22 juin Offensive generale contre l’URSS. ´ ` Aide americaine a Staline. ` Staline lance ses partisans sur les arrieres ´ de la Wehrmacht. Entree en action des ´ premiers groupes de resistants de Tito en Yougoslavie. Les Japonais occupent la Cochinchine. Juillet Pacte militaire entre le Royaume Uni et l’URSS. Juillet Note conjointe de Keitel (OKW) et Heydrich (RSHA) pour l’application de la directive concernant l’action des Einsatzgruppen. ´ Creation du camp de Maıdanek. ¨ ´ ´ Arrivee des premiers

1978. Martin, Joseph (1849-1892), 1891-1892 « Le dernier voyage de J. Martin à travers la Chine et l'Asie centrale (1889-1892), par All emand-Martin », La Géographie, II, 1912, pp. 376-398. Monnier, Marcel (1853-1918), 1898 Le tour d'Asie, Cochinchine, Annam, Tonkin, Paris, Pion, 1899. Itinéraires à travers l 'Asie, levé au cours du voyage accompli durant les années 1895, 1896, 1897, 1898, sur l 'initiative et pour le compte du journal Le Temps ; publié sous le patro nage de la Société de

Indes est désormais contrôlée par le gouvernement britannique. En 1876, la Reine Victoria d'Angleterre est impératrice des Indes. 1881 - Protectorat français en Tunisie Après avoir conquis l'Algérie en 1830 et s'être installés en Indochine (Cochinchine) en 1862-1863, les Français regardent vers la Tunisie. Objet de rivalité des Européens (France, Italie), la Tunisie devient un protectorat français après la signature du traité du Bardo. La Tunisie conserve en apparence ses institutions traditionnelles

d’une Fédération indochinoise. C’est l’époque où la France possède encore un gouvernement d’union nationale de toutes les forces qui ont lutté contre les occupants nazis et le régime collaborationniste de Vichy. Mais deux régions de l’Indochine (la Cochinchine et le Cambodge) refusent d’être soumises à un régime communiste, alors que pour Ho Chi Minh, le nouveau Vietnam ne peut être que toute l’ancienne Indochine française. En septembre 46, dans un contexte de tensions internationales de plus en plus

par les différents régimes politiques qui ont dirigé la France au XIXe siècle telles que l'Algérie (colonisée à partir de 1830 par la Restauration et transformée en départements en 1848 par la Seconde République), la Nouvelle – Calédonie, la Cochinchine et le Cambodge, héritées du Second Empire. • La IIIe République continue la politique impérialiste des régimes qui l'ont précédé et l'amplifie. ◦ Elle accepte un rôle de métropole, suivant le discours de Jules Ferry en 1885 en développant la théorie

: • dissolution des Cortès évitée ; • retour du débat parlementaire ; • acceptation de l’opposition parlementaire, même limitée par le contrôle gouvernemental sur les élections. � Politique de prestige à l’extérieur : � expéditions : Cochinchine (1858-1863), Mexique (1862), Saint- Domingue, Pérou (guerre en 1866) ; � affirmation territoriale et commerciale au Maroc (1859-1860) : � victoires (Tetuán), extension de Ceuta et contrôle d’Ifni ; � véritable engouement populaire renforçant

péninsule indochinoise, sur la mer de Chine méridionale. La population se concentre surtout, au nord et au sud, dans les deux deltas formés par le fleuve Rouge et le Mékong, éléments essentiels des anciennes divisions traditionnelles (Tonkin et Cochinchine) et sites des principales villes (Hanoi et Haiphong au nord, Hô Chi Minh-Ville au sud). Dans ce pays, au sud du tropique, le riz des deltas est base de l’alimentation. L’industrie est freinée par la médiocrité des ressources naturelles. Elle

surface de 331 690 km² (dont 3 260 km de littoral) et possède 4 200 km² d’eaux territoriales. Le Viêt-Nam est constitué de trois grandes régions appelées Bô : au Nord, le Tonkin (Bac Bô), avec comme villes principales Hanoi et Haiphong, au Sud, la Cochinchine (Nam Bô), avec comme ville principale Hô-Chí-Minh-Ville (anciennement Saigon) et au centre, l’Annam (Trung Bô), traversée par la cordillère Annamitique, avec comme villes principales Huê et Da Nang (anciennement Tourane). 5 Le climat vietnamien