Code Civil Ivoirien

Responsabilité du commettant du fait de son préposé Civ 2, 12 Mai 2011 Le commettant ne s'exonère, selon l'article 1384 alinéa 5 du Code Civil que si son préposé a agi hors des fonctions auxquelles il était employé, sans autorisation, à des fins étrangères à ses attributions. Une disposition qui a fait l'objet d'une interprétation dans un arrêt récent du 12 Mai 2011, s'agissant d'une infraction pénale volontaire du préposé. En l'espèce un client se fait expulser d'une discothèque, avec

je vous indiquerai que le droit civil lui ignore totalement la notion telle que définie de personne vulnérable en effet et donc mes observations sont très rapides concernant le droit civil : il y a un principe posé et que certain d’entre vous connaissent de par leur fonction de gérants de tutelles et qu’à partir du moment où la personne atteint de l’âge de 18 ans elle est dotée d’une capacité pleine entière qui lui permet d’accomplir tout acte de la vie civile. Cette capacité totale qui est attribuée

déclarer l’état civilement responsable du dommage qu’a connu sa fille. (se base sur articles 1382, 1383 et 1384 du Code Civil) La responsabilité qui peut incomber à l’état pour des dommages et intérêts causés aux particulier par le fait de personne qu’il emploie dans le service public, ne peut être régie par les mêmes rapports de particulier à particulier établis dans le Code Civil. Cette responsabilité a ses règles spéciales qui varient suivant les besoins du service et la nécessité de concilier

Droit civil Droit de la preuve Article 1315 du code civil « Celui qui réclame l’exécution d’une obligation doit la prouver » Le demandeur doit ramener la preuve Article 1315-2 « Réciproquement celui qui …. » Celui qui dit qui les libère doit apporter la preuve Ex : Lors d’une reconnaissance de dette prêt de 15 000 euros Qui doit ramener la preuve ? Je t’ai déjà rendu les 15 000, il doit lui-même apporter la preuve (le défendeur doit apporter la preuve) Article 1316 Preuve littérale Preuve

associés conviennent d'affecter des apports à une entreprise commune, en vue de réaliser et de partager des bénéfices, ou de profiter des économies qui en résultera. Ce contrat spécial est défini à l'article 1832 du Code civil, et régi par des dispositions spécifiques du Code civil et du Code de commerce, selon la forme de la société. Le consentement est à l'origine du contrat. Le consentement des associés doit être réel, sincère et non simulé sinon on se trouve en présence d'un associé de complaisance

DE TEXTE sur l’article 118 DU COCC « est responsable celui qui par sa faute cause un dommage à autrui » Le texte soumis à notre appréciation est un article tiré du Code des Obligations Civiles et Commerciales. Ce dernier met en relief le principe général de la responsabilité, plus exactement de la responsabilité civile. Il désigne en une phrase la personne devant indemniser face aux dommages causés à des individus. Ainsi nous verrons dans un premier temps le régime de la responsabilité

idées : les rédacteurs du projet ont proclamé de manière solennelle la liberté contractuelle et en ont tiré les conséquences (I) tout en reconnaissant des limites à cette liberté (II). 1. La proclamation de la liberté contractuelle Alors que dans le code Napoléon, la liberté contractuelle n’apparaît pas de façon directe et franche, mais seulement visée par l’article 6, de manière négative, par l’évocation des limites que sont l’ordre public et les bonnes mœurs, et aussi dans l’article 1134 al. 1 ;

Section 2 : La classification des obligations Pas de classification des obligations dans le Code civil, mais soit selon leurs sources, soit en fonction de leur contenu. En règle générale, on s’accorde à classer les obligations de 2 manières : - soit selon leurs sources - soit en fonction de leur contenu I. Selon leurs sources La source de l’obligation = c’est le facteur qui va donner à l’obligation. Lorsqu’on s’attache à rechercher la source, on recherche pourquoi et comment

Selon l'article 1371[->0] du code civil français[->1] : les quasi-contrats sont les faits purement volontaires de l'homme[->2], dont il résulte un engagement[->3] quelconque envers un tiers, et quelquefois un engagement réciproque des deux parties. Le quasi-contrat est donc un fait licite et volontaire, qui fait naître, du seul fait de la loi[->4], certaines obligations juridiques[->5] particulières. Il correspond à la situation dans laquelle, en dehors de tout contrat[->6], une obligation juridique

Droit civil 1ere partie : les sources extracontractuelles des obligations (le fait juridique) Le paiement est un mode qui étale l’obligation. Quand le débiteur paie son créancier tout va bien. Le mécanisme dans les 2 cas est le même, les règles sont quasi identiques. Définition : fait juridique : est tout agissement volontaire ou involontaire qui entraine des obligations qui n’ont pas été recherchées par son auteur. Différence avec l’acte juridique : acte volontaire, toujours volontaire. Le