Coefficient de variation

demande (en%) ▲des prix (en %) Trois cas peuvent se produire : -Une élasticité prix négatif : une hause de prix de vente entraîne une baisse de la demande du bien de la part des ménages. -Une élasticité prix nul : cela signifie que la variation du prix de vente d'un bien n'a aucune incidence sur la demande globale adressée à ce bien. C'est le cas par exemple du prix du carburant. -Une élasticité prix positive : cela signifie qu'une hausse du PV entraine une augmentation de la demande

des phénomènes de contagion ? Cette contagion a-t-elle touché des pays émergents proches économiquement de la Thaïlande (contagion discriminante), ou au contraire sans lien avec la Thaïlande (contagion pure) ? Pour analyser cela, nous retenons la variation des spreads (mouvements de défiance sous-jacents envers les pays émergents) comme indicateur de crise, ainsi que d’éventuelle contagion si la hausse des spreads est généralisée à plusieurs pays. Pour expliquer les évolutions des spreads, nous choisissons

périodiques provenant des variations saisonnières. Cette correction se fait le plus souvent par l’utilisation de coefficients saisonniers. ) est déterminé par la variation en pourcentage du chiffre d’affaires au cours du mois correspondant par rapport au même mois de l’année précédente ou de l’année de base Ratios (1/3) Production par personne employée Il s’agit d’un indicateur de productivité du commerce (ou de toute autre activité) Cet indicateur reflète la variation du coefficient du facteur travail

économistes : La notion de coefficient budgétaire et la notion d'élasticité. → Le coefficient budgétaire selon les économistes : Il s'agit de la part représentée par la consommation d'un poste donné (exemple : l'alimentation, le logement...) par rapport à la consommation totale du ménage. Lorsqu'on analyse ce coefficient budgétaire on observe que certains postes connaissent une baisse sensible tels que L'alimentation boisson tabac (selon l'INSEE), en 1959 son coefficient budgétaire était de 34%, en

contrôle budgétaire Construction des documents de synthèse prévisionnels Chapitre II : Les outils de construction et d’analyse du budget des ventes I. Outils statistiques de prévisions de vente (Extrapolation de tendances, moyennes mobiles, Coefficients saisonniers) 1. La méthode des moyennes mobiles 2. La méthode des moindres carrés 3. Les séries chronologiques II. Construction du budget des ventes et analyse des écarts sur CA 1. Construction du budget 2. Analyse des écarts Chapitre

l'éolienne : densité de l'air 1,225 kg.m-3 : Surface balayée par le rotor de l'éolienne : Masse d'air traversant le rotor éolien en 1s : Puissance extraite par le rotor éolien. : Puissance théorique maximale extractible d'un vent non perturbé : Coefficient de puissance de l'éolienne : Vitesse relative de l'éolienne : rayon de l’aérogénérateur : Vitesse de rotation de l'éolienne respectivement avant et après le multiplicateur : Puissance mécanique disponible sur l'arbre de la génératrice : puissance

courant continu est modélisé par une bobine Lm en série avec une force électromotrice E de valeur proportionnelle à la vitesse de rotation  : E = k.. On rappelle que le couple moteur est proportionnel au courant moyen dans le moteur avec ce même coefficient k. La puissance nominale de ce moteur est notée Pn, sa vitesse nominale n et l’on négligera tous les frottements mécaniques. Valeurs numériques utilisées : n = 157 rd/s f = 50 kHz Vbat = 96 V k = 0,55 Nm/A Lm = 1 mH Pn = 5 kW 1 On suppose dans

évidence des évolutions vous disposez d’un tableau statistique vous devez retraiter cette information pour mieux caractérisez le phénomène observez. Pour cela vous allez devoir calculer les indicateur synthétique (taux de croissance le coefficient de variation et le taux de croissance moyenne). Vous pouvez si vous le souhaiter vous appuyer sur vos calcul pour faire une représentation graphique. En se basant sur les calculs on peut répondre à la question posée. PIB : Produit intérieur brut

la sédimentation et ne varie ni en dimension, ni en forme ni en densité. C'est le cas du sable, des cendres volantes et des particules de charbon. Dans le second cas, les particules s'agglutinent au cours de la sédimentation, ce qui entraîne une variation dans la vitesse de sédimentation. C'est le cas des particules présentes dans les eaux usées domestiques et de l'industrie. Dans le 3ème cas, les particules sédimentent en masse ; cette masse présente une interface nette le liquide surnageant. C'est

métabolisme hépatique. Ce médicament a été également quantifié dans le sang total. On dispose des données suivantes : - Clairance sanguine (CLsg) du médicament B : 200 mL.min-1 - Débit sanguin hépatique chez l’homme Q : 1,5 L.min-1 Calculer le coefficient d’extraction hépatique. Exercice 4 : Les concentrations plasmatiques obtenues après administration d’une dose de 175 mg de cet antihistaminique à un volontaire, par voie intraveineuse bolus, sont présentées en fonction du temps dans le