Coercition étatique

limité dans l’espace. Les historiens observent que l’apparition de l’Etat va de pair avec celle du territoire. En effet, l’existence de frontières permet de fixer des limites dans lesquelles vivent une population et dans lesquelles s’exerce le pouvoir étatique. Il est indispensable de le délimiter juridiquement en accord avec sa population ainsi que les Etats alentour. Le territoire de l’Etat peut se définir comme un espace comprenant des éléments terrestres et non terrestres, espaces aériens voir maritimes

donc étudier d’une part le principe de non-ingérence encadrée par les Nations-Unis (I) et d’autre part les exceptions à ce principe dans de strictes conditions (II) I- Le principe d’interdiction de l’ingérence au service de la souveraineté étatique A) Un principe garant de la souveraineté * Le caractère exclusif de la souveraineté implique une toute puissance de l’Etat sur son territoire mais aussi toute sa population. La non-ingérence devient une modalité de protection de la

Carré de Malberg le définit comme une "communauté d’hommes, fixée sur un territoire propre et possédant une organisation d’où résulte pour le groupe envisagé dans ses rapports avec ses membres une puissance suprême d’action, de commandement et de coercition". Il souligne ainsi la double acception de la notion d’Etat, qui correspond à un mode d’organisation sociale territorialement défini et à un ensemble d’institutions caractérisées par la détention du monopole de l’édiction de la règle de droit et

[Norbert Elias]. Mais cette concurrence pour l'accession au pouvoir peut parfois être perçue comme simplement accessible à la classe la plus privilégiée, à savoir la bourgeoisie, étant la seule apte à accéder par son éducation à ces hautes fonctions étatiques [Karl Marx]. [Ainsi, il y a un véritable processus de formation de l'État moderne, qui s'est traduit à terme par la démocratisation de l'accès au pouvoir. Nous allons ensuite étudier ses caractéristiques fondamentales, communes à tous les

pouvoir par le centre. Décentralisation : existence de collectivités territoriales, à côté de l’Etat, avec autonomie relative. Droit de regard de l’Etat central (inévitable). Doc. 6 • Etat fédéral : Etat fédéral : association de collectivités étatiques distinctes. Puis superposition Etat fédéral. Doc. 6 Limites : • Temporelles : sujet qui se place dans l’actualité. Distinction passée assez nette (si on prend l’exemple de la France et des Etats-Unis au XIXème siècle, la question de la distinction

différenciée des autres organisation sociales comme qui représentent la société civile qui elle, n'intervient aucunement dans l'élaboration des normes, des règles fixées par l'état. L'état est une organisation spécialisée dans le contrôe des moyens de coercition. C'est une organisation souveraine sur son territoire. Norbert Elias montre dans la « Dynamique de l'occident », que cette forme politique a pris naissance dans le monde occidental à la fin de la société féodale. Cette dynamique de l'occident ne

n’est pas chose évidente pour des entités souveraines qui, depuis des siècles, appréciaient librement le recours ou non à la force armée dans le cadre de leur politique. En effet, dans le droit interne, l’État possède exclusivement le pouvoir de coercition tandis qu’à l’échelon international, il se trouve sur un pied d’égalité avec tous les États. Le recours à la force contre un État était alors un révélateur important de la souveraineté et de la capacité de celle-ci à s’imposer. Néanmoins un long

(social, économique, juridique…), il devient difficile de le définir uniquement par ce qu’il fait sans s’éloigner dans d’infinies considérations. Il convient donc de trouver une unité propre à l’Etat permettant de spécifier l’essence de l’institution étatique même. C’est en appuyant la citation de Trotski selon laquelle « Tout Etat est fondé sur la force » que Max Weber introduit cette idée. La force s’entend alors ici comme la relation que l’Etat entretient avec les autres Etats d’une part et essentiellement

Le multilatéralisme, concept utilisé dans le champ des relations internationales, est un mode d’organisation des relations inter-étatiques qui se traduit par la coopération de trois États au moins dans le but d’instaurer des règles communes : non-discrimination, indivisibilité, réciprocité et continuité. Il concerne essentiellement la forme institutionnalisée de ces relations (au sein des organisations internationales). Or l’essor du multilatéralisme est concomitant avec la multiplication des organisations

conduire a l’injustice ; une règle,* pe*ut devenir * si on l*’applique* de façon trop rigoureuse devenir injuste : SUMUM JUS SUMMA INJURIA *. *On peut* parler de la justice au sens de l’Institution, on parle ici, dune organisation cohérente , étatique, qui est chargé *,dune forte autorité, dont le rô*le est par a*pplication du droit de dire ce qui est juste, et aussi de tranché les litiges qu*i naissen*t* au sein du corp*s social . C*ett*e organisation se concré*tise par la mise en place d*’*un