Cœur de lilas

trop habités aujourd'hui. Charles CROS, Le collier de griffes (posthume), 1908 Rêves Je te vois t’accrochant aux rêves. Triste et dur sera ton réveil, car poursuivant de faux soleils, en eux se dessèchera ta sève. En toi tu sais vivre par coeur à force d’imagination. Tristes et dures seront les heures te ramenant à la raison. Tu vas, t’inventant des images, inversant les réalités. Triste et dur sera le voyage qui vient parfois te réveiller. Eh bien, qu’il me soit triste et dur! Encor j’en

enfants sont gaies comme des chants d’oiseau. 2) Elle a des yeux d’émeraude. 3) Les feuilles les crient sous nos pas en automne. 4) La ville lumière (Paris) attire tous les ans des millions de touristes. 5) Puis-je espérer que vous accepterez un cœur qui vous adore. (Racine) 6) L’avarice perd tout en voulant tout gagner. (La Fontaine) 7) Un silence assourdissant envahissait l’espace. 8) Avec tes mauvaises notes, tu peux être fier de toi! 9) Il a versé un torrent de larmes. 10) Le feu a brulé

Gainsbourg, du chant a la une !, Le poinçonneur des lilas 1958 Gainsbourg, auteur provocateur du XXème siècle, se déclarera a plusieurs reprise fort inspiré d'Apollinaire, de Verlaine et d'autres auteurs de la fin du XIXème. Pourtant, la ou Apollinaire se dévouait a l'éloge du progrès, Le poinçonneur des lilas, véritable Temps modernes de la chanson, s'attaque frontalement a la tache répétitive, sans fin, de l'homme-machine. Je suis le poinçonneur des Lilas Le gars qu'on croise et qu'on n'regarde pas Y

envie, si tu es disponible Si tu n'as rien oublié Comme moi qui n'ai rien oublié La Boheme Charles Aznavour Je vous parle d'un temps Que les moins de vingt ans Ne peuvent pas connaître Montmartre en ce temps-là Accrochait ses lilas Jusque sous nos fenêtres Et si l'humble garni Qui nous servait de nid Ne payait pas de mine C'est là qu'on s'est connu Moi qui criait famine Et toi qui posais nue La bohème, la bohème Ça voulait dire on est heureux La bohème, la bohème

qui t'embête Aimablement: Riant surtout, ô folle tête, A ton amant !.... - Ta poitrine sur ma poitrine, Mêlant nos voix Lents, nous gagnerions la ravine, Puis les grands bois !... Puis, comme une petite morte, Le cœur pâmé, Tu me dirais que je te porte, L'œil mi fermé.. Je te porterais, palpitante, Dans le sentier: L'oiseau filerait son andante: Au Noisetier... Je te parlerais dans ta bouche: J'irais, pressant Ton corps, comme une

rappelle le sang des morts et des blessés ("tombant sous les feuilles en gouttes de sang"), les peines d'amour symbolisent la répression et les souffrances des combattants et le souvenir inguérissable de la défaite ("C'est de ce temps-là que je garde au coeur/Une plaie ouverte"), le chant du merle symbolise l'espoir. Le poème d'Aragon évoque la France médiévale, du temps des rois et des chevaliers. Il comporte des allusions cryptées à l'actualité.La ville de Cé, située près de la Loire, où se trouve

DÉBAT LINGUISTIQUE TREMBLAY A-T-IL REMPLACÉ DUBÉ? LA MALADIE DE DUBÉ ET SON OPINION SUR L'ÉVOLUTION DE LA LITTÉRATURE QUÉBÉCOISE. COMMENT L'UNIVERSALITÉ EST-ELLE SENTIE ET EXPRIMÉE DANS L'OEUVRE DE DUBÉ? ZONE (1953) FT.JORENCE LE TEMPS DES LILAS BILAN .. AU RETOUR DES OIES BLANCHES . CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE . . . . . SOURCES PRIMAIRES . SOURCES SECONDAIRES 1 10 18 33 40 48 53 63 73 8S 93 104 l l II L'UNIVERSALITÉ DU THÉATRE DE MARCEL DUBÉ RÉsuMÉ L'oeuvre de Marcel Dubé

Quand poète et docteur, simplement, bonnement,     Communiaient avec des ferveurs de novices,     Humbles servaient la Messe et chantaient aux offices     Et, le printemps venu, prenaient un soin charmant     D'aller dans les Auteuils cueillir lilas et roses     En louant Dieu, comme Garo, de toutes choses ! Paul Verlaine A une Dame créole Au pays parfumé que le soleil caresse, J’ai connu, sous un dais d’arbres tout empourprés Et de palmiers d’où pleut sur

dans le texte de louis aragon " chevalier blessé" ligne 4 et de jean cassou " en vain les lilas,les soleils,les brises viennent caresser les murs des faubourgs"ligne3-4 cela signifie que rien ne peut guérir la plaie, ce sont des blessures physiques. dans les textes de victor hugo " et bête a palaiseau" ligne 5, " je suis petit oiseau" ligne 12, de jean baptiste clement " c'est de ce temps là que je garde au coeur une plaie ouverte" ligne23-24, de louis aragon " j'ai traversé les ponts de Cé " ligne

il s’arrêtait, las de chercher la rive, De voir toujours la mer et rien à l’horizon, Et les vents et les flots jetaient à la dérive A travers l’Océan sa voile et sa raison. Comme Colomb, rêvant à de lointaines grèves, Que d’autres sont partis, le coeur joyeux et fort, Car un vent parfumé les poussait loin du port Aux pays merveilleux où fleurissent les rêves. L’avenir souriait dans un songe d’orgueil, La gloire les guidait, étoile éblouissante, Et comme une Sirène, avec sa voix puissante, L’Espérance