Cœurs vaillants

Sire : « Elle doit être à moi, dit-il, et la raison,       C’est que je m’appelle Lion :       À cela l’on n’a rien à dire. La seconde, par droit, me doit échoir4 encor : 15 Ce droit, vous le savez, c’est le droit du plus fort. Comme le plus vaillant, je prétends la troisième. Si quelqu’une de vous touche à la quatrième,       Je l’étranglerai tout d’abord. » 1 Firent société : s’allièrent. 2 Lacs : cordons lacés pour tendre un piège. 3 Par ses ongles : avec ses griffes. 4 Me doit échoir :

certaines curvilignes, sont bordées de pavillons. Des chemins se faufilent entre les jardins pour atteindre les cœurs d’îlots, de grands espaces verts accessibles uniquement à pied et parfois affectés à des jardins familiaux pour les locataires des collectifs. La Cité-jardin s’appuie sur un plan d’urbanisme où les équipements sont centralisés autour de la Place Marcel-Pointet. L’avenue Paul-Vaillant-Couturier est une artère commerçante, lieu d’affluence, réservant aux plus petites avenues et rues le côté

qualité de Sire : « Elle doit être à moi, dit-il, et la raison, C’est que je m’appelle Lion : À cela l’on n’a rien à dire. La seconde, par droit, me doit échoir4 encor : 15 Ce droit, vous le savez, c’est le droit du plus fort. Comme le plus vaillant, je prétends la troisième. Si quelqu’une de vous touche à la quatrième, Je l’étranglerai tout d’abord. » ______________________ 1 Firent société : s’allièrent. 2 Lacs : cordons lacés pour tendre un piège. 3 Par ses ongles : avec ses griffes

armé ; Qui vous a tout de suite et librement aimé, Dans la force et la fleur de la belle jeunesse, Et qui dort maintenant à tout jamais fermé. Alfred de Musset, 1850. Amitié de femme. Amitié, doux repos de l'âme, Crépuscule charmant des cœurs, Pourquoi dans les yeux d'une femme As-tu de plus tendres langueurs ? Ta nature est pourtant la même ! Dans le cœur dont elle a fait don Ce n'est plus la femme qu'on aime, Et l'amour a perdu son nom. Mais comme en une pure glace Le

première en qualité de Sire : « Elle doit être à moi, dit-il, et la raison, C’est que je m’appelle Lion : À cela l’on n’a rien à dire. La seconde, par droit, me doit échoir4 encor : Ce droit, vous le savez, c’est le droit du plus fort. Comme le plus vaillant, je prétends la troisième. Si quelqu’une de vous touche à la quatrième, Je l’étranglerai tout d’abord. » ______________________ 1 2 3 4 Firent société : s’allièrent. Lacs : cordons lacés pour tendre un piège. Par ses ongles : avec ses griffes

première en qualité de Sire : « Elle doit être à moi, dit-il, et la raison, C’est que je m’appelle Lion : À cela l’on n’a rien à dire. La seconde, par droit, me doit échoir4 encor : Ce droit, vous le savez, c’est le droit du plus fort. Comme le plus vaillant, je prétends la troisième. Si quelqu’une de vous touche à la quatrième, Je l’étranglerai tout d’abord. » ______________________ 1 2 3 4 Firent société : s’allièrent. Lacs : cordons lacés pour tendre un piège. Par ses ongles : avec ses griffes.

voir les soldats se mépriser et se moquer. En ce moment, dans le coeur des soldats, nous voyons un déplacement du pouvoir des chefs. Après avoir écouté le fifre, après avoir vu la revunue d’écharpe blanche par Cyrano dans le champ de bataille,leurs cœurs se sont rapprochés depuis longtemps lentement de Cyrano comme un héros qui peut les sortir de cette situation.Rostand a délibérément rassemblé en Cyrano une multitude d’excellentes qualités dont la nation française est fière pour en faire le symbole

avait cependant donné des « dignées et des festes », notamment à l'occasion de l'intronisation de son fils Jean sur le siège archiépiscopal de Bourges. Il meurt en 1456. Ses armoiries comportent trois coquilles, emblème de saint Jacques, et trois cœurs. Si Jacques Cœur a laissé différentes constructions dans certaines ville de France, c'est à Bourges, sa ville natale qu'il fera construire l'édifice le plus important. Qualifiée de «La plus belle demeure du plus riche marchand de ce temps», la Maison

le héros éponyme, grand séducteur libertin et non croyant provoque plusieurs fois la puissance divine par ses actes de séductions immoraux mais aussi pour ses nombreuses provocations ouvertement adressées à Dieu. Au final, le cruel bourreau des cœurs est emporté par les flammes de l’Enfer, justement punis pour son comportement profanateur. Le lecteur est à la fois fasciné par la hardiesse de cet homme à l’ego sur-dimensionné qui ne s’est jamais repenti malgré les innombrables avertissements introduits

en moins de quinze lustres, Sur nos fronts le pied de ces restes, Plus lourd que le pied des colons ? Non, tu ne mourras pas, o liberté ! –Quand même, Sous le souffle d’un vent mortel, Nous verrions se fleurir ce palmier, ton emblème, Nos cœurs resteraient ton autel ! Non, tu ne mourras pas ! Si des mains assassines, Osent couper ton noble tronc, Toussaint te nomme l’arbre aux vivaces racines : Tes verts rameaux repousseront ! O mes frères, les noirs ! Rappelons-nous nos pères, Héros-martyrs