Cœurs

Dans le deuxième quatrain, il y a une dualité entre les deux êtres, mais sans différenciation comme le démontre le mot "jumeaux". Les amants s'unissent, c'est en quelque sorte une duplication.- Il y a donc une réciprocité des actions (par exemple les cœurs réfléchissent tous les deux leurs doubles lumières) qui apparait aussi dans l'expression "usant à l'envi".- Le poète conçoit déjà la mort comme le montre l'emploi des mots "chaleurs dernières". - les verbes en -ant : permanence d’état- Ces "chaleurs"

dans La Comédie du langage ou Ionesco dans La Cantatrice chauve. Victor Hugo, s'il affirme que le théâtre n'est pas « le pays du réel », ajoute, pour approfondir son propos : « C'est le pays du vrai : il y a des cœurs humains sur la scène, des cœurs humains dans les coulisses, des cœurs humains dans la salle. » Le spectacle se déroule dans un lieu bien réel qui comprend une scène, des coulisses, etc. Outre le metteur en scène et les acteurs, une troupe se compose des éclairagistes, des ingénieurs

| | | |Dans la plaine ont poussé des flammes | |Nos coeurs pendent aux citronniers | |Les têtes coupées qui m'acclament | |Et les astres qui ont saigné

chauve. II. Le théâtre, un art de l'authenticité et du « vrai » Victor Hugo, s'il affirme que le théâtre n'est pas « le pays du réel », ajoute, pour approfondir son propos : « C'est le pays du vrai : il y a des cœurs humains sur la scène, des cœurs humains dans les coulisses, des cœurs humains dans la salle. » 1. Un travail bien réel Le spectacle se déroule dans un lieu bien réel qui comprend une scène, des coulisses, etc. Outre le metteur en scène et les acteurs, une troupe se compose des éclairagistes

courant en rapport avec l’extrait 11) Champs lexicaux (thèmes du poème, citer + développer) L'engagement dans la guerre au sortir d'un pacifisme. La nature comme affirmation d'une force vitale soutenue par le battement d'un coeur rejoint par d'autres coeurs qui progressivement vont (se) battre à l'unisson. La résolution de l'opposition entre la paix et la guerre, de l'amour et de la haine en vue de la défense de la liberté. 12) Identité des "personnages" Il ne s'agit pas de personnage nous n'avons

litterature est active Un témoignage d'époque,et la conservation de la langue! La comédie corrige les moeurs en plaisantant La poésie touche les coeurs Le Drame ,le passage étroit entre la comédie et la tragédie suscite l'émulation La Tragédie dans un roman nous invite a' aimer avec dignité Ronéo et Julienne de shakespeare La poésie touche les coeurs La littérature forme et l'esprit et le coeur celui qui souvent lit enrichit son répertoire peut devenir un érudit

ville et la campagne Comme le son d'une cloche appelant à l'émeute et au combat. Écoutez, je l'entends qui me revient renvoyé par les échos. Mais non, c'est le bruit d'autres coeurs, de millions d'autres coeurs  battant comme le mien à travers la France. Ils battent au même rythme pour la même besogne tous ces coeurs, Leur bruit est celui de la mer à l'assaut des falaises Et tout ce sang porte dans des millions de cervelles un même mot d'ordre : Révolte contre Hitler et mort à ses partisans

revêtu de fleurs, et cet âpre rivage Voit soudain, pour toujours délivré des autans. Au toucher de la lyre accourir le Printemps. Ah! que nous sommes loin de ces temps de merveilles ! Les ondes, les rochers, les vents n’ont plus d’oreilles, Les cœurs même, les cœurs refusent de s’ouvrir. Et la lyre en passant ne fait plus rien fleurir. Louise Ackermann, Contes et poésies (1863)

Aux morts du 4 décembre Jouissez du repos que vous donne le maître. Vous étiez autrefois des coeurs troublés peut-être, Qu’un vain songe poursuit ; L’erreur vous tourmentait, ou la haine, ou l’envie ; Vos bouches, d’où sortait la vapeur de la vie, Étaient pleines de bruit. Faces confusément l’une à l’autre apparues, Vous alliez et veniez en foule dans les rues, Ne vous arrêtant pas, Inquiets comme l’eau qui coule des fontaines, Tous, marchant au hasard, souffrant les

âme.  Les autres dieux à ce dieu font la cour,  Et leur pouvoir est moins doux que sa flamme.  Des jeunes coeurs c'est le suprême bien  Aimez, aimez ; tout le reste n'est rien. Sans cet Amour, tant d'objets ravissants,  Lambris dorés, bois, jardins, et fontaines,  N'ont point d'appâts qui ne soient languissants,  Et leurs plaisirs sont moins doux que ses peines.  Des jeunes coeurs c'est le suprême bien  Aimez, aimez ; tout le reste n'est rien. Jean de la FONTAINE (1621-1695) Recueil :