Cognition

Cognition sociale Aller à : Navigation, rechercher La cognition sociale désigne l'ensemble des processus cognitifs (perception, mémorisation, raisonnement, émotions...) impliqués dans les interactions sociales chez l'homme mais aussi chez les animaux sociaux, en particulier primates. Sommaire * 1 La cognition sociale individuelle * 1.1 Les neurosciences de la cognition sociale * 2 La cognition sociale collective * 3 Références * 4 Voir aussi | La cognition sociale individuelle

La cognition au prisme des sciences sociales ! Sous la direction de : Bernard Lahire & Claude Rosental ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !! Copyright © 2008 Éditions des archives contemporaines. Tous droits de traduction, de reproduction et d’adaptation réservés pour tous pays. Toute reproduction ou représentation intégrale ou partielle, par quelque procédé que ce soit (électronique, mécanique, photocopie, enregistrement, quelque système de stockage et de récupération d’information) des pages

La complémentarité et les oppositions entre perspectives internaliste et externaliste dans l’étude de l’objet cognition/connaissance. cognition.jpg Quels sont le ou les dénominateur(s) commun(s) de ces deux approches? SOMMAIRE Introductionp.2 Définition de la cognitionp.3 1.1 Définition générale 1.2 Information et cognition Deux approches complémentaires : vision internaliste et externalistep.4 Vision internaliste Vision externaliste Deux approches qui s’opposentp

Dossier de football thème: représentation cognitive du joueur et ses évolutions problématique: comment un entraineur peut analyser le comportement d'un joueur et le faire évoluer Le but de ce dossier est donc d'analyser le comportement d'un joueur débutant dans la pratique du football et de voir les possibilités mise à disposition et en pratique de l'entraineur pour améliorer le joueur dans la représentation qu'il se fait du jeu. quelque soit la pratique de référence, le football possède

Langage socialisé : on s'exprime pour se faire comprendre ≠ Langage égocentrique : chacun parle pour soi-même PIAGET : - - - - - Enfant jusque 7 ans utilise le langage pour accompagner son action, il parle pour lui ≠ adulte parle pour se faire comprendre, plus d'intimité. 3 variantes du L.E. :  répétition (les répète pour le plaisir de parler)  monologue (parle pour lui, c'est une pensée haute)  monologue à plusieurs (enfants parlent entre eux, le point de vue de l'interlocuteur n'intervient

Psychoses et délires. Dans certaines psychoses sous forme semi-décompensée ou décompensée, le délire occupe une place centrale. Mais le délire ne se confond pas avec la notion de psychose car il existe des psychoses sans délires. car il existe des psychoses sans délire par leur forme compensée et parfois meme un psychotique qui décompense ne délire pas pour autant. On voit des formes de délire dans certaines structures névrotiques décompensée ( différence entre délire psychotique et névrotique

-------------------------------- CM cognition social et communication UE 203 Mr. Trognon Cours n°1 : 27/01/2012 Introduction en 2 parties Pourquoi est-ce que les psychologues doivent-ils recevoir un cours sur la communication et en quoi consiste la communication. 1ère partie de l’introduction : Pourquoi est-ce que les psychologues doivent-ils recevoir un cours sur la communication dès la première année ? Il y a trois raisons qui justifient ce cours : - Le travail du psychologue

présence simultanée de deux cognitions (idées, opinions, perceptions, croyances, sanctions, sensations de douleur, comportements, …) psychologiquement inconsistantes ». Cette théorie considère que deux éléments de cognition sont en rapport ou pas (un lien pertinent les relie ou non). Deux cognitions liées sont soit consonantes (ou cohérentes) soit dissonantes (incohérentes). Elles sont dites consonantes si l'une entraîne ou supporte l'autre. A l'inverse, deux cognitions sont dites dissonantes si l'une

fasciné l’homme, à savoir la pensée ou la cognition. Elle est passionnante également par les méthodes ingénieuses que les psychologues développent pour comprendre cette cognition. Enfin, c’est une discipline qui a, au cours de ces dernières années, accumulé des découvertes encore inimaginables il y a quelques décennies. À la fin de cet ouvrage, vous maîtriserez les outils conceptuels et méthodologiques actuels qui permettent aux psychologues de la cognition humaine de révéler, d’observer, de décrire

système hormonal. 4 les neurosciences cognitives : cherchent à établir les liens entre le système nerveux et la cognition. 5 La neurologie : est la branche de la médecine s'intéressant aux conséquences cliniques des pathologies du système nerveux et à leurs traitements. 6 La neuropsychologie : s'intéresse aux conséquences cliniques des pathologies du système nerveux sur la cognition, l'intelligence et les émotions. 7 Les neurosciences computationnelles : cherchent à modéliser le fonctionnement

processus mentaux... des êtres humains C'est l'étude des faits psychiques : genèse (création) , fonctionnement (comment ça marche), fait psychique : Penser= cognitions / Interagir avec les autres / Affectivité émotions dysfonctionnement des comportements des processus mentaux Affectivité/ émotions : psychologie clinique, psychopathologie Cognition : Psychologie cognitive, psycho expérimentale Interaction sociale : Psychologie sociale, organisation du travail Psychologie du développement : de bébé à

1957). Les éléments de cognition impliqués dans la dissonance cognitive peuvent être une connaissance, opinion, valeur, attitude, croyance, un sentiment, à propos de soi, d’autres personnes ou de l’environnement (Festinger, 1957). Les différentes cognitions peuvent entretenir trois types de relations : l’inconsistance, la consistance ou la neutralité (non pertinence) (Vaidis et HalimiFalkowicz, 2007). En état de dissonance cognitive, il y a inconsistance entre deux cognitions pertinentes (logiquement

X P + O + + Triade équilibrée X Théorie de la dissonance cognitive de Festinger (1957) (retour) Univers de pertinence : cognitions et relations entre les cognitions Cognition : « connaissance, opinion, croyance sur l'environnement, sur autrui ou sur moi-même » Relations entre les cognitions : l'implication psychologie (→) (outil d'analyse psychologique) L'implication psychologie permet d'analyser 3 types de relation : Relation de consonance : A → B (la

LA DISSONANCE COGNITIVE Les cognitions regroupent tous les éléments cognitifs : les perceptions, les attitudes propositionnelles (composante cognitive), les émotions (composante affective), les comportements (internalisation des actions). De l'ensemble des cognitions résultent les attitudes qui sont des dispositions psychologiques positives ou négatives en rapport à un objet concret, abstrait ou à un comportement. Toutes les théories des attitudes, également appelées théories de la cohérence

de l’apprentissage Distinguer cognition/connaissance Cognition : Ensemble des activités intellectuelles et des processus que se rapporte à la connaissance et à la fonction qui la réalise. Cognition et connaissance => ne sont pas équivalents car toutes les connaissances ne sont pas exactes (vraies) ou fondée sur des raisonnements valides. Concept de cognition => plus général que celui de connaissance. Connaissance => objectif La cognition va concerner à la fois : L’ensemble

THEME : ORIGINE DES DIFFERENCES INDIVIDUELLES : COGNITION ET ENVIRONNEMENT - COGNITION ET DETERMINANTS BIOLOGIQUES Présenté par : FOTSING LAURENT ERNEST Sous la supervision de : Dr MELOUPOU INTRODUCTION Alors que

de 25 ans après le débat Piaget-Chomsky sur la part de l’inné et de l’acquis dans le développement du langage, les arguments des uns et des autres sont-ils toujours d’actualité ou ont-ils été dépassés par l’apparition de nouvelles théories de la cognition ou du langage ? Cet article décrit, parmi les développements récents en sciences cognitives et en linguistique, trois directions de recherche qui peuvent être considérées comme des alternatives sérieuses aux propositions des théoriciens de la grammaire

une unité de base de la dissonance cognitive : la cognition, caractérisé comme tout éléments de « connaissance, opinions ou croyances sur l’environnement, sur soi même ou sur son propre comportement ». On dénombre trois types de relations que peuvent entretenir entres elles, les cognitions : La dissonance, quand deux cognitions ne vont pas bien ensemble. La consonance, quand deux cognitions vont bien ensemble. La neutralité, quand deux cognitions n’ont aucun rapport. Selon Festinger, c’est la relation

and explain its implication in a current problem of society. La dissonance cognitive est un concept de psychologie élaboré par Leon Festinger en 1957 dans son livre "L'Échec d'une prophétie". Selon cette théorie, l'individu en présence de cognitions (« connaissances, opinions ou croyances sur l’environnement, sur soi ou sur son propre comportement » [2]) incompatibles entre elles, éprouve un état de tension désagréable : c'est l'état de « dissonance cognitive ». Dès lors, cet individu mettra

récentes recherches dans les domaines de la socio-cognition implicite et de la psychologie cognitive et linguistique ont été appliquées aux communications publicitaire et politique afin de mieux connaître, premièrement, le lien attitude-comportement, deuxièmement, les effets de la publicité vue rapidement et aussitôt oubliée, et, troisièmement, les traitements psychologiques en temps réel des récepteurs face à des messages. Mots-clés : socio-cognition implicite, persuasion, attitude implicite, comportement