Cognition

sont à l'origine de ces effets émotionnels . Par conséquent, lorsque quelque chose se révèle difficile à expliquer , les gens ont souvent recours à des explications plus spéculatives (et extrême ) afin de trouver fermeture et de fournir à leurs cognitions avec une justification plausible. En d'autres termes , il est dans la nature des gens à la recherche de réponses à la question «pourquoi» , surtout quand il s'agit du «moi» . Une théorie du complot a la capacité de fournir suffisamment de raisons

milieu. » Binet : « C'est ce que mesure mon test ! » Gardner : « L'intelligence, en général, est la faculté de résoudre des problèmes ou de produire des biens ayant de la valeur pour une culture ou un groupe défini. Intelligence et cognition La cognition est l'ensemble des fonctions psychologiques de traitement et d'analyse des données de l'environnement (perception, mémoire, langage...). → L'intelligence est une fonction psychologique intervenant dans des activités cognitives particulières

cognitifs fondés sur l’étude du traitement de l’information (selon le modèle la réaction d’un individu face à une situation dépend plus de la représentation qu’il s’en fait que de la situation elle-même). Il y a un lien entre les comportements, les cognitions et les sentiments. L’approche comportementale et cognitive est centré sur la compréhension de la personne humaine globale au travers toute ces dimensions. Elle postule que nos attitudes sont le résultat d’un mélange de tendances innées, d’influences

pls_406_p030_034_langue_pensée.xp_bsl0108 4/08/11 18:24 Page 30 langue, pensée, cognition, temps, espace, souvenir, universalité, universel, prédisposition Linguistique L’ E S S E N T I E L  Les hommes parlent une multitude de langues qui ne transmettent pas les informations de la même façon. Les langues participeraient à différents aspects de la cognition humaine.  Depuis dix ans, les linguistes ont montré que des langues différentes transmettent des capacités cognitives

organisent nos actions : * régulent le fonctionnement mental et organisent pensées et actions en établissant des priorités * établissent des objectifs vers lesquels les cognitions et les actions s’orientent, faisant de l’affect un déterminant crucial de la conduite humaine émotions déterminent le but finale et la cognition les moyens par lequel le but est atteint. * Le Doux, 1993 : traitement émotionnel initial « très cognitif » et hautement adaptatif nous permet de répondre rapidement sans

précisément les termes « émotion », « intelligence » et leur combinaison. Concept d’émotion[modifier | modifier le code] Les émotions sont reconnues comme étant un des trois ou quatre types d’opération mentale, à savoir : la motivation, les émotions, les cognitions et (moins fréquemment) la conscience5. Ces concepts sont définis selon la plupart de ces auteurs, tels que Mayer, Salovey et Caruso (2000) en font la synthèse. Les motivations de base surviennent en réponse à des états internes et incluent donc

marquée par une diminution globale des comportements motivés. Plusieurs termes cliniques correspondent à cette définition, chacun apportant une nuance particulière. L’apathie est généralement définie comme la diminution des comportements et des cognitions orientés vers un but ainsi que des émotions qui les accompagnent habituellement. La diminution des comportements motivés se traduit par un manque d’efforts ou d’énergie pour réaliser les activités de la vie quotidienne et par un manque d’initiative

l'energie est necessaire. ​​Stimulus > Emotion ​​​> Reponse SNA non spécifique > Feedback ​En 1962: Stanley Schacter et Jerome Singer: L'étiquetage : L'importance de l'activation corporelle est absence de spécificité à ces informations: Ce sont les cognitions qui lient la non spécificité du feedback et les emotions spécifiques ressenties. Il y a deux facteurs clés: les informations sur le contexte phyique et social et les connaissances antérieures sur les émotions susitées/adaptées à ces contextes particuliers

réduire la dissonance (on parlera de modes de réduction) : il pourra par exemple modifier le nombre ou l’importance des cognitions qui figurent dans le taux de dissonance. L’effet classique de dissonance. Dans la majorité des cas, la relation d’inconsistance à l’origine d’un éveil de la dissonance implique un comportement problématique (cognition 1) et une attitude (cognition 2). Suite à cet éveil, le travail de réduction de la dissonance aboutit classiquement à une modification de l’attitude :

post-piagétiens » en référence à Jean Piaget, je vais commencer par tenter de synthétiser la position de ce dernier. 1.1. Jean Piaget, psychologue Suisse (1896 – 1980) connu pour ses travaux de recherche sur le développement de l’intelligence et de la cognition chez les humains, au travers de l’observation de la construction de la pensée chez les enfants. A la suite d’une longue série d’études, Piaget va explorer toutes les facettes de l’intelligence : le nombre, l’espace, l’objet, la logique… et leur développement