Col de la Croix-Haute

disparue et donc on le cherche mais rien. Il aurait voulu fumer dehors et dormir sur le foin , mais 1h plus tard sa femme s'inquiete, langloi slui dit qu'elle aurait du apeller plus tôt. Vers 1845, dans un village isolé du Trièves, non loin du col de la Croix-Haute, des habitants disparaissent sans laisser de traces, l'hiver, par temps de neige. Le capitaine de gendarmerie Langlois arrive au village pour tenter d'élucider le mystère de ces disparitions. Un jour brumeux d'hiver, Frédéric, propriétaire

semestre à un groupe de stagiaires de sexe féminin préparant un brevet de technicien supérieur en stylisme/modélisme. Le cours de français dans cette offre de formation faisait partie d’une panoplie de modules dont certains de spécialité comme « La Haute Couture » et « Le Design Moderne » qui étaient enseignés en français. Contrairement au programme de l’I.N.S.F.P destiné aux fonctionnaires du tourisme, celui du groupe de stylisme/modélisme du C.F.P.A avait pour objectif principal de faire acquérir

anti-messie ) en lui mettant des ailes dans le dos et des paroles qui sortent de sa bouche il fait un parallèle de l'ange Gabriel ( du mal ) qui apporte des paroles démoniaque Dans le coin en haut a droite il y la croix gammée posée en équilibre sur le chapeaux d’Hitler. Tout autour de cette croix il y a un nuage noir, sale. On peut également voir deux hommes, Goebbels le ministre de la propagande d’Hitler et Himmler de chef des S.S.. Chacun veut partir dans une direction différente ce qui fragiliseras

les bords de la fosse qu'il vient de creuser comme l'indique la couleur de la terre. Il attend l'arrivée du cercueil et pose un genou au sol. Si son regard, à mi-hauteur de la toile, tourné vers le groupe des "officiants de l'au-delà" et de la haute croix, nous entraîne vers l'univers spirituel de la cérémonie, le reste de son corps tourné vers la fosse nous attire vers le "monde d'en bas" et sa réalité : l'ensevelissement du cadavre. Les quatre porteurs (3) : ils sont munis de gants blancs, de tenues

que la scène se déroule en Allemagne après la Première Guerre mondiale (1914-1918). On voit trois gueules cassées (surnom donné aux soldats grièvement blessés au visage et mutilés) qui jouent aux cartes. Ces trois hommes portent la « Croix de Fer » qui est une haute décoration militaire qui récompensait les soldats ayant eu un comportement héroïque lors des combats. Nous pouvons deviner leur appartenance à la classe moyenne par leur tenue vestimentaire car ils portent une cravate. Ils jouent dans

artiste reconnu pour son talent et son témoignage fort contre la guerre. Description Ce tableau représente une scène ou 3 hommes sont en train de jouer aux skat qui est un jeu de carte allemand. Ils sont assis a la terrasse d’un café, les journaux collés a l’arrière plan donnent une indication temporelle : l’Allemagne après la 1ére guerre mondiale. L’homme de gauches présente de nombreuses cicatrices qui lui couvrent le visage, il a perdu un oeuil et a une partie du cerveau apparente , il est obligé

l’application de la peinture à l’huile. Les feuilles d’or ont été apposées sur un fond rouge. Cette œuvre représente la Pietà, c’est-à-dire la Vierge éplorée portant sur ses genoux le corps sans vie de son fils Jésus, qui vient d’être détaché de la croix. Ce thème, répandu dans l’art occidental à partir du XIVe siècle en peinture aussi bien qu’en sculpture, est centré sur la douleur de la Vierge. La Vierge, la tête couverte d’une voile blanc, porte une robe rouge et un manteau bleu doublé de blanc

belles pages architecturales que cette façade où, successivement et à la fois, les trois portails creusés en ogive, le cordon brodé et dentelé des vingt-huit niches royales, l'immense rosace centrale flanquée de ses deux fenêtres latérales (...), la haute et frêle galerie d'arcades à trèfle qui porte une lourde plate-forme sur ses fines colonnettes, enfin les deux noires et massives tours avec leurs auvents d'ardoises, parties harmonieuses d'un tout magnifique, superposées en cinq étages gigantesques

Géographiquement, voilà comment ça se présente : Sur les traces du village… Vaujany est un petit village de montagne, en Isère, à 50 km de Grenoble, sur la route du col du Glandon et du col de la Croix de Fer à la limite de la Savoie. Il fait partie des communes que compte l’Oisans (canton de l’Isère mais surtout connu comme territoire de haute montagne dont le point culminant est la Barre des Ecrins) et plus précisément Vaujany se situe dans la vallée de l’Eau d’Olle, tout comme les villages d’Oz-en-Oisans

entouré par le massif de la Chartreuse au nord-est, le massif du Taillefer face à la Matheysine à l'est et le massif du Diois au sud. C'est avec ce dernier qu'est établi le seul prolongement géographique, à l'extrémité sud-est du Vercors, au niveau du col de Menée à 1 457 mètres d'altitude. Il est arrosé du nord-est au nord-ouest par l'Isère, à l'est par le Drac (Trièves) et au sud par la Drôme (Diois). À l'ouest, il domine la vallée du Rhône6,5. Topographie[modifier | modifier le code] Géomorphologie[modifier