Collège royal de médecine

Biographie 1.1 La jeunesse de Molière 1.1.1 Sa famille 1.1.2 Ses études 1.2 Des débuts difficiles 1.2.1 L'Illustre Théâtre 1.2.2 Les tournées en province 1.3 Le début de la gloire 1.3.1 Le théâtre du Petit-Bourbon 1.3.2 Le théâtre du Palais-Royal 1.3.3 Le mariage de Molière 1.4 Le temps des scandales 1.4.1 La querelle de L'École des femmes 1.4.2 L’interdiction du Tartuffe 1.4.3 L’étouffement du Dom Juan 1.5 Les dernières œuvres 1.5.1 La maladie de Molière 1.5.2 La troupe 1.5.3 Les

décorateur). Sa seule consolation = aller souvent au théâtre avec son grand-père Cressé. Fasciné par les farceurs du Pont-Neuf et par les comédiens italiens (cf vidéo) . Des études sévères chez les jésuites (1634-1642 ) : au Collège de Clermont (actuel lycée Louis-le-Grand) dirigé par les jésuites et où il fut élève de 12 ans à 20 ans. La renommée de cet établissement attirait des fils de princes et de ducs. Les jésuites utilisaient le théâtre comme moyen pédagogique, ce qui

Événements importants de sa vie familiale et sociale   Jean-Baptiste Poquelin naît en 1622 à Paris. Sa mère meurt alors qu'il est encore enfant les médecins n’ont pas su lui prodiguer les soins nécessaire, et son père, riche marchand et tapissier du roi, l'encourage à faire de solides études: les mathématiques et la physique dans un collège de Paris. Cependant, en 1643, à l'âge de 21 ans, Jean-Baptiste décide de se lancer dans le théâtre. Avec les Béjart, une famille de comédiens, et d'autres

MOLIERE (1622-1673) Education bourgeoise Né à Paris en 1622, Jean-Baptiste Poquelin a passé sa jeunesse dans ce milieu de bourgeoisie aisée qui servira de cadre à beaucoup de ses comédies. Son père, tapissier du roi, le mit au collège de Clermont, où il reçut l’éducation soignée des «  honnêtes gens ». Il étudia les mathématiques et la physique, la danse et l’escrime ; il connut la philosophie scolastique, qu’il couvrira si souvent de ridicule ; il savait assez le latin pour lire dans

à partir de 1833, comme maître d'études au collège royal du Puy, mais il est congédié quelques années et ne reprend ce travail qu'en 1839. En 1840, il est nommé maître de 7e au collège royal de Saint-Étienne. En 1839, Jules entre en 8° au collège du Puy, et en 1840, au collège de Saint-Étienne où il restera de la 7e à la 3e. Louis Vallez prépare l'agrégation de grammaire et est admissible en 1845. Il est alors nommé professeur au Collège royal de Nantes. Il sera reçu à l'agrégation en 1847

Paris au début de janvier 1622. -Son père : Jean Poquelin est marchand tapissier, il devient valet de chambre du roi. -Sa mère : Marie Cressé, fille d’un tapissier, sait lire et écrire ; elle meurt en 1632, ce qui marque le jeune Molière. -Au collège de Clermont à Paris, il côtoie les fils de la noblesse. -Etudes de droit à Orléans. -Il devient tapissier valet de chambre du roi, lors d’un voyage à Narbonne. -La passion du théâtre le dévore. -Son grand-père l’emmenait voir des bateleurs, des

attribuée à deux fidèles, La Grange et Vivot, on lit qu’il fit ses études secondaires au collège de Clermont (lycée Louis-le-Grand) chez les jésuites, un des meilleurs collèges de Paris, où « sa vivacité d’esprit le distingua de tous les autres ». Grimarest, le premier à avoir écrit une Vie de Molière en 1705 en s’appuyant sur les confidences de sa veuve et de Baron, son comédien préféré, raconte6 qu’au collège il avait comme condisciples Bernier et Chapelle, fils naturel d’un riche conseiller au

salle des fêtes de Millau, ville française située dans le département de l'Aveyron, la troupe « Les Colporteurs » a interprété la pièce de théâtre« Diabolus in Musica », librement inspirée de « Diableries » de Mikhaïl Boulgakov. Cet écrivain et médecin russe d’origine ukrainienne, né à Kiev en 1891 et mort à Moscou en 1940, est l’auteur de nombreux ouvrages dramatiques et littéraires. Il a écrit notamment le « Roman de monsieur de Molière » dans lequel il raconte la vie de Jean Batiste Poquelin

siècle dira : l’honnête homme. Et dans cette éducation vraiment humaine, l’objet principal, c’est la morale. « On nous meuble la tête de science ; de jugement et de vertu, peu de nouvelles. » — La belle affaire qu’un enfant soit devenu bon latineur de collège ! « Si son âme n’en va un meilleur bransle, s’il n’a pas le jugement plus sain, i’aymerois autant qu’il eust passé le temps à iouer à la paulme ; au moins son corps en serait plus alaigre. » Bref, pour Montaigne, les lettres et les sciences sont

place l'homme au centre de ses priorités et de sa réflexion. La Renaissance est très riche dans le domaine de la poésie alors que les grands représentants de l'humanisme s'intéressent à des domaines variés comme Rabelais, homme de lettres mais aussi médecin et plus généralement homme d'une vaste culture. II) 1- Au Moyen-Age, les marins ne s’éloignent pas des côtes fautes de bonnes cartes et de navires adaptés. Au XIIIe siècle, ils utilisent la boussole inventée par les chinois au Xe siècle. A la