Collodion

Ces images prises de la chambre photographique de 16/20 pouces sont réalisées au collodion humide, un procédé photographique très utilisé jusqu’en 1880. Ce procédé offre une finesse du grain et une grande précision dans les détails. Chambre photographique est un appareil de grand format toujours utilisé à l’heure actuelle pour produire des images de hautes qualités et voué à être agrandit. Un procédé au collodion humide, c’est un procédé qui est issue d’un négatif en plaque de verre. « Pyramide

chaux. En les déclenchant à distance par le biais de fils tendus, il obtient les fameux clichés qui confirment la théorie de Marey. Le cheval utilisé pour ses expériences se nommait Occident. Le procédé photosensible utilisé par Muybridge était le collodion humide, qui permettait des temps de pose rapide mais devait être préparé quelques minutes avant d'être utilisé. Chaque appareil photographique se trouvait enfermé dans un petit laboratoire photographique où un opérateur était prêt à préparer le film

TRAVAIL DE RECHERCHE SUR GUSTAVE LE GRAY INTRODUCTION Gustave Le Gray, dont le nom et l’œuvre restèrent longtemps oubliés, fut à la fois : peintre, photographe, chimiste et inventeur. Il est notamment un précurseur de l’utilisation du procédé du collodion humide sur plaque de verre , dont il à revendiqué la paternité qu’on lui conteste aujourd’hui encore. Il est également l’inventeur d’un procédé novateur qui va provoquer un véritable bouleversement à l’époque de sa découverte, le négatif sur papier

d'argent forment du chlorure d'argent. Ces solutions qui recouvrent le papier permettent à l'image de se former dans l'albumine. L'image n'est pas absorbée par les fibres du papier.   1.2. Le négatif au collodion. Inventée dans les années 1850, la technique du collodion humide permet d'obtenir un négatif de très bonne qualité avec un temps de pose de seulement 3 ou 4 secondes. Le photographe étale une couche d'émulsion humide sur la plaque de verre (ou de métal vernie en noir pour

Gustave Le Gray,Français (1820/1868 ) utilise le "collodion" pour obtenir un très bon négatif. Une solution de coton et une poudre dans un mélange d'alcool et d'éther sont étendues sur une plaque de verre. www.josemirodelvalle.com      juin 2008  LES DATES QUI ONT MARQUEES L’HISTOIRE DE LA PHOTOGRAPHIE  www.josemirodelvalle.com      juin 2008  En 1851 Frédéric SCOTT ARCHER , Anglais ( 1813/1857 ) met au point la méthode au "collodion humide". Ce procédé permet de réaliser des images

négatif papier. Le verre va être sensibilisé à l’albumine, au collodion (1860) et au nitrate d’argent. Albumine (1847): ou blanc d’œuf. D'un point de vue technique et chimique, il s'agit plus ou moins du même procédé que le papier salé. Le rendu final, par contre, est plus satiné et plus détaillé, l'albumine bouchant les pores du papier et empêchant ainsi que l'image ne s'enfonce dans l'épaisseur du papier. Collodion : La plaque au collodion humide, inventée en 1851 par Frederick Scott Archer, était

Une fois de plus, il trouva la solution par hasard. -Alors qu’il s’était coupé au doigt, il soigna sa plaie avec du collodion (liquide composé de nitrocellulose, d’éther et d’alcool). Ne parvenant pas à trouver le sommeil à cause de la douleur, il réfléchit à son problème et pensa avoir trouvé la solution, qui était de mélanger la nitroglycérine avec une petite dose de collodion. -à 4h du matin, il court dans son laboratoire pour concrétiser son idée. La « dynamite gomme » est née ! -en 1887

1847 Claude-Félix Abel Niepce de Saint-Victor (neveu de Nicéphore Niepce) communiqua à l’Académie des sciences un procédé de photographie sur verre. 1851Frederick Scott Archer introduisit le procédé au collodion humide sur plaque de verre. 1871Richard Leach Maddox remplaça la gélatine par du collodion ce qui permis d’accroître la sensibilité des plaques. 1883George Eastman fabriqua une pellicule faite de d’une longue bande de papier recouverte d’une émulsion sensible. 1889A La fin du XIXe siècle

années 1870, on mène des expériences afin d'améliorer la sensibilité et réduire le temps de pause. L'américain Eadward Muybridge réalise à partir de 1872 des essais sur le galop du cheval et parvient en 1878 à en fixer les différentes phases sur collodion humide. Un phénomène que l'oeil humain n'avait pas pu saisir. Il met au point un revolver photographique en 1874 qui permet de fixer les différentes étapes du passage de la planète Vénus devant le soleil, à raison d’une image par seconde, et sur

multiples des images. Ils suivent d'autres recherches. Petit a petit elles permettent d'améliorer la qualité des images, la sensibilité des surfaces sensibles et de simplifier la procédure de prise de vue: 1847 procédé à l'albumine, 1850 procédé au collodion humide et en 1851 ambiotypie, 1852 ferrotypie. Félix Tournachon ( ou Nadar ) en fait une utilisation dans le commerce. Il réalise des portraits de personnalités de l'époque. En 1858 il réalise ( à Bièvres ) la première photographie aérienne.