Colonisation Composition

habits européens) la nourriture (surtout avec le petit déjeuner) l’architecture (les villes se ressemblent toutes : théâtres, banques, musées) 1 Les fondements de la domination. a) Les raisons politiques. Fondement idéologique de la colonisation : les territoires non dirigés par des Européens sont vides (sauf pour la Chine ou une dynastie règne depuis 3000 ans). Hiérarchie du monde : Les puissances : Royaume-Uni, France, Autriche-Hongrie, Russie, Allemagne, Italie et petit à petit on

étaient éleveurs et les Twa s’occupaient de tout ce qui concernait les montagnes. C’est seulement en 1894 que le Rwanda fut découvert par les allemands. Il est le dernier pays d’Afrique découvert et colonisé par les européens. Depuis le début de la colonisation un grave malentendu s’est installé : les missionnaires catholiques, qui sont les premiers ethnologues, déclarent arbitrairement que les Tutsi appartiennent à une race supérieure, intermédiaire entre les noirs et les blancs. Ils décrètent aussi

DM histoire 1-Le document 1 est un discourt écrit par Jules Ferry, il a été lu à la chambre des députés le 28 Juillet 1885, le sujet de ce discourt est la colonisation, ses objectifs et en quoi consiste t’elle. 2-Jules Ferry pense que la race supérieure doit civiliser les races inférieures, ici les habitants d’Indochine. Il veut mettre en valeur la France sur les enjeux économiques mondiaux ; il dit : « Rayonner sans agit, sans se mêler des affaires du monde, croyez-le bien, c’est abdiquer

La décolonisation et l’émergence du Tiers-monde I) La décolonisation A) La crise des empires coloniaux L’année 1945 donne le signal de la décolonisation. Les puissances coloniales européennes sortent très affaiblies de la 2nde guerre mondiale. Les Etats-Unis et l’URSS défendent le libre droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et s’opposent au colonialisme dans les doctrines de Truman et de Jdanov. Ce qui confirme la charte de l’Onu de 1946. B) D’abord l’Asie Tous les européens

La colonisation c’est la transformation d’un territoire en colonie. Celle-ci est alors soumise à une métropole (c’est-à-dire au pays colonisateur). On parle de colonialisme pour désigner les politiques visant à la constitution d’empires coloniaux. Le colonialisme est donc une forme particulière d’impérialisme. Le terme de colonialisme prend vite une connotation péjorative chez ceux qui y sont hostiles et qui sont désignés alors comme anticolonialistes. Les colonisés originaires des colonies sont

colonisateur. 3. À cela s’ajoute l’hostilité de principe des grandes puissances à la colonisation L’URSS et les États-Unis, pour des raisons différentes, affirment que la colonisation doit cesser. En pleine Seconde Guerre mondiale, le président américain F. D. Roosevelt adjure la France d’abandonner toute domination sur l’Indochine car elle « saigne ce pays » dont le sort a empiré depuis le début de la colonisation. Les Américains, au nom de leur passé de puissance colonisée, rejettent le fait

être les plus adaptées pour sortir le continent de cette situation. Sommaire INTRODUCTION 2 CHAPITRE I : L’Afrique est-elle intégrée à la mondialisation ? 5 1. Les étapes de l’arrivée de la mondialisation sur le continent Africain 5 1.1 La colonisation 5 1.2. La période des indépendances 5 2. La nouvelle mondialisation du 21ième siècle 6 CHAPITRE II  La Mondialisation est-elle une bénédiction pour l’Afrique ? 8 1. Intégration du continent africain dans le commerce international 8 1.1.

Synthèse sur la colonisation. Dans le deuxième partie du XIX siècle et la première partie du XX siècle,une grande partie des pays européens ( Grande-Bretagne,France,Belgique...) se sont lancés dans la colonisation de l’Afrique et de l’Asie et de l’Australie.Il ne s’agissait pas d’un phénomène nouveau : il y a eu d’autres phases de colonisation antérieures principalement à destination du continent américain. Ces colonisations étaient présentées comme des

la révolte et la haine. La colonisation n’est pas responsable de toutes les difficultés actuelles de l’Afrique. Elle n’est pas responsable des guerres sanglantes que se font les Africains entre eux. Elle n’est pas responsable des génocides. Elle n’est pas responsable des dictateurs. Elle n’est pas responsable du fanatisme. Elle n’est pas responsable de la corruption, de la prévarication. Elle n’est pas responsable des gaspillages et de la pollution. Mais la colonisation fut une grande faute qui fut

couvert d’une bonne intention civilisatrice, s’est donné la mission de conquérir les peuples sauvages, pour les « sauver » de leur inculture. Ainsi, il va réécrire la tempête, l‘adaptant et la conceptualisant dans une autre réalité historique: la colonisation, et dénoncer ce Prospéro qui a pourtant fait preuve d’une valorisation surprenante au XIXème siècle, considéré comme emblème de la haute spiritualité, et qui est surtout, et çà il ne faut pas l’oublier un maître en manipulation qui exerce sa domination