Colonisation de l'espace

réponse aux nécessités économiques 1°) Les objectifs de la colonisation - Permet aux puissances européennes un approvisionnement en matière première à moindre coût (ex. coton d’Inde pour les usines de Manchester) - Des lignes de chemins de fer ou des ports sont aménagés pour l’exportation de ces produits, les populations locales sont peu rémunérées, voire soumises au travail forcé. L’idéologie « civilisatrice de la colonisation » justifie cette exploitation. - Ce sont aussi de nouveaux

l’Europe comme les moyens de transport unifie l’espace mondial et les grandes distances sont amoindries (canal Suez et Panama). L’Europe occidentale domine largement le commerce mondial grâce puissance économique et financière. Et exporte ses capitaux dans le monde pour investir directement dans l’économie locale ou pour prêter à des états endettés. La livre Sterling est la monnaie dominante et Europe est usine et banquier du monde. Moitié 19e-s la colonisation est a pied d’œuvre et connaît de nouveaux

La colonisation européenne et le système colonial I – Les Européens à la conquête du monde (1850 – 1914) 1) Le dynamisme européen avant 1914 • En raison d’une croissance démographique soutenue, le Vieux Continent regorge d’hommes : de 1850 à 1914, près de 50 millions d’Européens partent vers les pays neufs, attirés principalement par les Etats-Unis, mais aussi par le Brésil, l’Argentine ou les colonies de peuplement britanniques. Ce mouvement de fond diffuse les langues, les cultures

facteurs : La colonisation elle-même (déséquilibre des éco, des sociétés, gestion, rancœurs). Le développement des mouvements nationalistes Le choc de la défaite + affaiblissement Le contexte (Guerre froide, dirigeants, opinion publique, ONU) II/ Les indépendances diverses III/ L’émergence du Tiers Monde La naissance du Tiers Monde et des non alignés La reconnaissance internationale (CNUCED, OPEP, Accords de Yaoundé) Mais pas d’unité Epreuve mineure Croquis 1 : L’espace mondialisé

Deux dates qui racontent l’émergence d’un processus de domination de l’Europe sur l’Afrique méditerranéenne, de l’Occident sur l’Orient et son déclin un siècle et demi plus tard. Fatalement donc l’étude d’une domination qui mêle impérialisme et colonisation, ainsi que son revers, dès lors que les empires implosent, dès lors que les nationalismes, parfois mâtinés d’arabisme et d’islamisme, participent à un phénomène de balkanisation des territoires bordant la Méditerranée, faisant triompher les États-nations

de seconde durant laquelle tous les élèves ont reçu la même formation en histoire et en géographie : ils ont poursuivi leur initiation à l’analyse géographique et historique, ils ont étudié des moments et des situations qui éclairent la période et l’espace couverts par les programmes de première et de terminale. En géographie, le programme de première reprend la démarche des études des cas, selon une méthode initiée en seconde. En terminale, ces études de cas et les exemples au choix disparaissent

sociétés africaines ne serait pas un bon réceptacle pour l’incrustation de la démocratie. En réalité, cette culture ne saurait être un frein à l’émergence de démocratie ; cette idée reçue est erronée. La plupart des nations africaines avant la colonisation étaient constituées en royaumes dont l’organisation n’était pas éloignée de celle de la monarchie parlementaire britannique. Les affaires de la cité se réglaient autour « des arbres à palabres » avec la participation des populations ou leurs représentants :

révolution industrielle ? Recherche / problématisation. Mondialisation : terme de plus en plus utilisé dans les années 90 avec la fin de la coupure est/ouest et l’extension du capitalisme. Mais plusieurs mondialisations => une première avec la colonisation, puis une mondialisation dans le sillage de la révolution industrielle => progrès technique, accroissement des échanges, de la production, fordisme, développement des IDE, mobilité des hommes, des capitaux, des services. Mondialisation contemporaine

avec l’Europe a été vécu comme un choc qui, non seulement vient traverser tout son être, mais la fait vaciller en son fondement même.»1 Cette pensée du philosophe DIBI Kouadio Augustin fait écho de l’impact négatif qu’a eu l’Afrique pendant la colonisation. En effet, ce dit impact dont il est question a rendu l’homme africain révoltant, cherchant à dire son identité bafouée par le colon. Cette révolte et cette recherche de l’identité que clame haut l’homme africain s’inscrivent dans «les théories

vue de créer une zone de libre-échange. Aire de puissance : ensemble d’états ou de régions qui, par son poids économique, éventuellement son poids démographique, son influence politique, militaire ou culturelle, occupe une place prépondérante dans l’espace mondial. Centre d’impulsion : centre de décision à rayonnement mondial (politique, économique, culturel). Ça peut être une métropole, une région dominante. Interface : zone de contact entre des espaces de nature différente. Intégration : se dit d’un