Colonne Morris

Certains mobiliers sont abandonnés au détriment de nouveaux. Ce n’est réellement que sous le second Empire (1852-1870) que le développement du mobilier urbain va se faire avec les réaménagements Haussmanniens. Des kiosques à journaux (1857-1859), colonnes Morris (1860-1863), les fontaines Wallace (1871-1872), en passant par les vespasiennes (1873), bancs, et autres (théâtres, abris, buvettes...) des milliers d’objets vont envahir l’espace public. Le développement des transports urbains collectif à partir

demande croissante. Pour s'assurer le leadership et couper l'herbe sous les pieds d'éventuels concurrents, Jean-Claude Decaux s'entoure des meilleurs designers pour offrir aux municipalités le nec plus ultra. Jean-Michel Wilmotte signe les colonnes Morris, Norman Foster les Abribus et Patrick Jouin les panneaux d'affichage. En 1999, il rachète à Vivendi l'afficheur Avenir. En 2000, Jean Claude Decaux passe la main à ses deux enfants prend la tête du conseil de surveillance. Un an plus tard

à l’apparition de la ville avec les premières bornes. Au fil du temps, vont apparaître fontaines et toilettes publiques, enseignes, plaques et numéros de rue… La création des squares, suite aux travaux haussmanniens, provoque l’apparition des colonnes Morris, abris, bancs, kiosques. Ensuite, les corbeilles, les arbres et leurs accessoires gagnent les rues. Le mobilier urbain a depuis toujours évolué en parallèle avec la ville, ainsi au 20ème siècle, la circulation automobile devenant prépondérante

déroulants permettent de partager et d'animer un emplacement unique et isolé. Ce support amorce le mouvement de dédensification de l'affichage en milieu urbain. 1992 : JCDecaux, propriétaire des colonnes Morris, lance les colonnes multiservices : colonnes récupératrices de verres ou de piles, colonne-téléphone, ... 1997 : JCDecaux invente Infobus, système qui fournit aux usagers, en temps réel, une information sur le temps d'attente aux arrêts d'autobus. 1999 : Acquisition d'Avenir, leader

d’objets contribuant à la propreté de la ville (poubelles, corbeilles, sanitaires publics), d'équipements d’éclairage public (réverbères, candélabres), de matériels d’information et de communication (kiosques journaux, mâts et colonnes porte-affiches, colonnes Morris, plaques de rues, affichage d’informations municipales ou culturelles, tables d’orientation), de jeux pour enfants, d’objets utiles à la circulation des véhicules ou à la limitation de celle-ci (potelets, barrières, bornes, horodateurs

Emploi des colonnes grecques (pont, aqueduc, chaussée romaine) architectural. Le style des colonnes est appelé ordre, chaque époque a eu ses ordres : Ordre en Égypte [modifier] • Ordre palmiforme o De l'ancien empire égyptien, ces colonnes sont très massives. o Le chapiteau comprend 9 feuilles de palmier ligaturées. o Le fût est lisse. o La base est simple. • Ordre proto-dorique o Du moyen empire égyptien, ces colonnes sont très

les coins supérieurs. Elle s’intitule Wall Hanging Felt Piece (pièce de feutre suspendue au mur), mesure 250cmx372cmx30cm et a été produite en 1969-1970 par l’artiste américain Robert Morris. Elle est actuellement exposée au centre Georges Pompidou et conservé au Musée national d’art moderne de Paris. Robert Morris étudie à l'Université du Kansas, au Kansas City Art Institute et au Reed College avant de devenir peintre. Dans les années 1950, son travail montre l'influence de l'Expressionnisme abstrait

« minimal art » dans une revue Arts, pour qualifier le travail de M. Duchamp. Ce terme sera réemployé par la suite pour désigner l’activité dans les années 60 des artistes comme Carl Andre, Dan Flavin, Donald Judd, Sol Lewitt, Frank Stella, Robert Morris ou Dan Graham. La même année, F. Stella provoque un scandale à l’exposition du musée d’Art Moderne de New York en exposant ses « Black paintings », une série d’interventions très réduites. Le mouvement se pose en réaction contre la prééminence du

Gallery à New York. Avec la publication de son essai The Sedimentation of the Mind: Earth Projects en 1968, Robert Smithson s'impose comme le théoricien du Land Art et devient la figure emblématique de cette tendance artistique, aux côtés de Robert Morris, Nancy Holt, Dennis Oppenheim, Walter De Maria, Christo et Michael Heizer. En février 1969, une autre exposition, Earth Art[4], organisée par Willoughby Sharp au Andrew Dickson White Museum of Art (Ithaca, New York), confirme l'importance du Land

leur environnement et à s'intéresser aux sites naturels. Cette attitude, qui découle logiquement de recherches plastiques et conceptuelles, va de pair avec une contestation politique du marché de l'art et des lieux traditionnels d'exposition. Robert Morris, en 1961, produit sa première sculpture minimaliste au Living Theatre à l'occasion d'une performance organisée par La Monte Young et destinée en partie à financer l'anthologie que ce dernier fera paraître en 1963. C'est dans cette même anthologie