Comique Critique Religion

« 68 Par damis dorine par son statut social débutant par « votre monsieur tartuffe » 41 qui exprime une sorte d’ironie, de médisance. « pied plat » « inconnu céans »62 « un gueux qui […] n’avait pas de souliers »63 sur sa facon d etre : «  ce critique zelé »51 « sur ses facons de faire à tous coups je m emporte »58 « scandalise »61 « en vienne jusque-là que de se méconnaitre, de contrarier tout, et de faire le maître »6566 Il passe pour un saint 69 Rien n’est qu’hypocrisie70 « s’impatronise »62

1) La médecine a)Le déguisement de médecin b)Il incarne l'imposture c)Le comportement de Dom Juan 2) La religion a)Opposition de deux religions b)L'argumentation de Sganarelle c)L'irreligion de Dom Juan 3)L'aspect comique a)Comique de mot b)Comique de geste c)Comique de situation Molière a vécu au XVII e siècle, il est l'auteur de plusieurs pièces et il est très célèbre pour celles ci. C'est ainsi qu'il est considéré comme le roi de la Comédie Française; Cependant à l'époque, plusieurs

mœurs vivent ‘’en dehors’’ de la morale et font scandale en affichant ouvertement leur débauche. Ils manifestaient au début du 17ème siècle leurs attitudes provocantes plus ouvertement -> réaction contre la religion et la morale. Les libertins de pensée ont une attitude critique face à la religion. Ils sont athées, ils ne croient pas en Dieu et refusent de croire en l’immortalité de l’âme. Ils sont aussi matérialistes en ce qu’ils expliquent la création du monde sans l’intervention divine. Ces libertins

Contexte : Objet d’étude : Le théâtre Registre : Comique Type de sujet : Commentaire littéraire Texte étudié : Dom Juan, Acte I, scène 1 Auteur : Molière (1622, 1673) Le plan du commentaire : I. Une scène d’exposition 1) Un éloge paradoxal 2) Une scène pour exposer la situation 3) Le portrait de Dom Juan II. L’inscription de la pièce dans une idéologie 1) Libertinage et matérialisme 2) L’imitation inavouée du valet 3) La critique implicite de la religion Le commentaire rédigé : Introduction Ce texte

de le convertir afin de le bâtiser. Le Huron va se montrer très coohopératif bien que parfois un peu naïf... On peut se demander quel(s) intérêt(s) présente ce chapitre dans l'ouvrage de Voltaire ? Tout d'abord, nous verrons comment Voltaire critique le Nouveau Testament puis comment il évoque les « carrences » du Clergé. Dans cet extrait de l'histoire, Voltaire met particulièrement en évidence l'innocence et la naïveté de l'Huron. Effectivement cela va être, vu d'un premier aspect, une qualité

pronom indéfini « on » désigne aussi bien Tartuffe qu’Orgon). II) Ce stratagème est source de comique : Molière séduit le spectateur par le comique 1) Le comique de situation, de geste, de répétition Contre toute attente, le mari caché sous la table ne sort pas de sa cachette ! = comique de situation. Donc Elmire doit insister en frappant sur la table et en toussant à plusieurs reprises = comiques de gestes et de répétition. 2) Le spectateur est au courant de tout, ce qui le met en position

Rabelais publie Gargantua en 1534, en plein milieu d’un débat houleux au sein de l’Eglise. En effet, la période est marquée par l’émergence du courant évangéliste qui prône une approche critique des textes religieux. Pour Rabelais, la religion promue par les opposants des évangélistes, qui sont les Sorbonnards, est une religion fondée sur la superstition, la passivité du croyant et les rituels. En qualité d’ancien Moine défroqué, Rabelais entreprend de dresser le portrait d’un héros chrétien. Il s’agit de

Synthèse de documents : Le RIRE De nos jours de plus en plus de comique présentent des sketchs pour nous faire rire, ces comiques doivent donc s'interroger sur le contenu de leurs sketchs afin de savoir si cela est risible. Ce corpus de cinq documents s'attache à décrire ce problème, le premier document comporte des citations de Didier Erasme et Pierre Desproges qui nous font part de leur conclusion sur ce sujet . Viennent ensuite un essai et deux publications ,soit des textes d'

Gargantua , 1534-1535. Texte 2, Chapitre XXVII, « Comment un moine de Seuilly sauva le clos de l’abbaye du sac des ennemis », l. 73-139, p. 231, 233, 235.E. T. L.· Une parodie de combat épique // registre burlesque· Une critique joyeuse du monde religieux // un discours polémiqueEnjeu : Comment le registre épique et burlesque se met-il au service de la parodie polémique ?1er mouvement un héros guerrier et redoutable face à des pillards désorganisés· « Disant cela, il se

phrases) hyperboles (idem) croyances de Dom Juan -> Ø (3 phrases) ternaire -> ordre décroissant du plus au moins important -> c’est pour le spectateur (4 phrases) ternaire -> Dom Juan ne respecte pas le sacrement du mariage, donc il ne croit pas à la religion -> prédateur des fêtes (5 phrases) gradation décroissante -> hiérarchie - Sganarelle se flatte de son maître -> démonstratifs, etc. - Sganarelle se donne de l’importance en utilisation quelques termes -> pédant  Molière se moque de l’intolérance