Comité de salut public

les présidents de la Convention nationale avaient vocation à représenter cette tête de l’Etat (bien que cette Convention détiennent le pouvoir législatif), ils furent de 1793 à 1794 sous la tutelle des décisions prises par les Comités, en particulier celui de Salut public. D’autres entités politiques exercèrent à cette époque une pression qui, bien qu’informelle et peu constitutionnelle, n’en fut pas moins considérable : ce fut le cas de la Commune insurrectionnelle de Paris. Quatre entités politiques

étaient : Liberté, égalité et fraternité. Il y devient le président en juillet. • 6 Avril 1793 : Il y a la création du comité de salut public et les problèmes de Danton commencent lorsqu’il y entre. Il a été nommé dirigeant du 6 avril au 10 juillet 1793, mais il fut jugé trop modéré en ce qui concerne les exécutions (dix condamnés à mort au maximum), puis fut éliminé du Comité et remplacé par Maximilien de Robespierre. Même ses amis lui reprochent de s’enrichir. • Il revint à sa ville natale

municipal de Paris né en juillet 1789, le 10 août, les insurgés la renversent et elle cède la place à la Commune insurrectionnelle où les sans-culottes ont le contrôle. Elle appliquera désormais la politique révolutionnaire et donc aussi celle du Comité de Salut Public de Robespierre. Hébert tenta de s'opposer à la Terreur tant il avait une influence sur la Commune. Mais la réaction des thermidoriens s'abattit sur elle, et lui ôta tous ses pouvoirs. Clubs Club des Jacobins

Louis-Antoine (1767-1794) Hébert, Jacques-René (1757-1794) Vadier, Marc-Guillaume (1936-1828) Barras, Paul (1755-1829) INTRODUCTION DÉVELOPPEMENT Grandes espérances Le temps des désastres Vive la République Gouvernement de terreur, gouvernement de salut La Révolution trahie CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE SOMMAIRE p.3 p.3 p.4 p.4 p.4 p.4 p.4 p.5 p.5 p.5 p.5 p.5 p.5 p.6 p.6 p.9 p.11 p.14 p.17 p.20 p.22 PRÉSENTATION La Révolution française est incontestablement un moment exceptionnel. Par sa durée

la Montagne et s'oppose à la Gironde. Après les journées du 31 mai et du 2 juin 1793, il entre le 27 juillet 1793 au Comité de salut public, où il participe à l'instauration d'un gouvernement révolutionnaire et de la Terreur, dans un contexte de guerre extérieure contre les monarchies coalisées et de guerre civile (insurrections fédéralistes, guerre de Vendée…). À la suite de la victoire des comités contre les factions au printemps 1794, il contribue à faire cesser la politique de déchristianisation et fait

 Membre du Comité de salut public : 27 juillet 1793 – 28 juillet 1794 Groupe politique : Montagne Président de la Convention nationale : 4 juin 1794 – 19 juin 1794 Député de la Seine Député de l'Artois 26 avril 1789 – 30 septembre 1791 Assemblée nationale constituante Biographie Nom de naissance Maximilien François Marie Isidore Joseph de Robespierre Surnom « L'Incorruptible » Date de naissance 6 mai 1758 Lieu de naissance Arras Date de décès 28 juillet 1794 (à 36 ans) Lieu de décès Paris Nationalité

dictature militaire. Après l’insurrection du 10 Aout 1792 il devient député à la convention public et plus tard devient chef des « Montagnards ». Au comité du salut public (1793), il fait éliminer les révolutionnaires qu’il trouve trop modéré (Danton, Desmoulins) ou trop extrémistes (Hébert). En temps de crise révolutionnaire il instaure la Terreur (mode de gouvernement). Une collation de membres du Comité de salut décide de mettre fin aux nombreux excès de Robespierre. . ŒUVRE : Pendant la période de

juin 1794. D’avril 1793 à juin 1794, le pourcentage d’exécution est passé de 26% à 80%. En effet, à compter du 10 juin 1794 (loi du 22 prairial an II et dernière étape de la Terreur), le régime du Tribunal révolutionnaire se durcit, la notion de salut public se substitue à celle de droits de l’homme : c’est la « Grande Terreur » caractérisée par les condamnations à mort massives. 
L'intérêt du sujet réside dans le paradoxe entre la volonté originelle des constituants de consacrer les droits de l'homme

élu au Comité de Salut Public. Il se remarie la même année avec Louise Gély. Il n'est malheureusement pas réélu au Comité de Salut Public, on lui préfère Robespierre. Il participe à l'élimination des enragés, députés extrémistes de la convention. Danton se retire alors dans sa ville natale. Vers 1794, il s'oppose à la terreur et condamne les exécutions, et pousse Camille Desmoulins à prôner de la modération dans un article du vieux cordelier. Danton est accusé de conspiration par le Comité de Salut

juin, l'Assemblée cède à la force : la Gironde a succombé. Robespierre est devenu le personnage le plus représentatif de la Révolution. Estimant que le salut public exige un pouvoir dictatorial, il préconise l'établissement d'un gouvernement révolutionnaire. En avril 1793, il a été l'un des principaux artisans de la création d'un Comité de salut public qu'il fait remanier après la chute des Girondins. Il y entre le 27 juillet et en devient le véritable chef. Laissant à ses collègues les tâches spécialisées