Comité de salut public

le procès aura lieu et il vote la mort. En même temps, il mène la lutte contre les Girondins, qui tombent le 2 juin. Les obstacles s'effacent devant Robespierre. Après avoir éliminé Danton du Comité de salut public, il y entre à son tour et en devient le véritable chef. Estimant que le salut public exige un pouvoir dictatorial, il pousse à l'établissement d'un gouvernement révolutionnaire qui s’oppose à l’AR et lutte pour rétablir la République s’opposant ainsi au gouvernement révolutionnaire

loi, et la souveraineté nationale. Après la fuite de Louis XVI, les français n'ont plus confiance en leur roi ; il est jugé puis exécuté. Après la mort de ce dernier, pour sauver la République, un gouvernement de Terreur est mis en place. Un comité de salut public est nommé ; Robespierre, à la tete des montagnards, le préside. Il sauve la République mais instaure une dictature. La Convention le fait arrêter le 27 juillet 1794 puis exécuter. Robespierre mort, la Convention est dirigée par des républicains

ainsi que la fondation de la Première République. Convention composée de 749 députés (aussi appelés « Conventionnels ») et divisée en comités (au nombre de 18 fin 1792 et de 24 un an plus tard), dont les députés membres (dont le nombre varie selon le comité) sont élus pour 1 mois avec possibilité de renouvellement de mandat. C’est entre les mains de ses comités que repose le pouvoir d’édicter des lois, qui seront ensuite présentées à la Convention chargée de faire passer ces textes ou non. Le

de jugements sommaires des milliers de personnes retenues dans les prisons françaises ; Le massacre des vendéens, la population est massacrée sans faire de différence entre patriotes et rebelles ; Ou encore la période de la terreur et du comité de salut public pendant laquelle les libertés étaient sous contrôle. De plus, la révolution donne-t-elle vraiment naissance à une république ? Pour répondre à cette question nous allons dresser un bref historique de la première république, des différents

septembre 1792, la Convention abolit la royauté. C'est l'An I de la République. Mais fin 1792, une question domine l'actualité : "Faut-il juger le roi ?" 2 ème partie : Le procès du roi et ses conséquences Les Montagnards considèrent que le salut public exige la mort , quant aux Girondins , ils veulent éviter l’irréparable. En novembre 1792, Une armoire de fer est découverte au Palais des Tuileries contenant des papiers qui établissent la preuve formelle d'une correspondance entre Louis XVI et

tout à la fois menacées par l'opposition royaliste, les catholiques restés fidèles à leur foi et les gouvernements étrangers qui craignaient les armées françaises. Devant la Convention, Maximilien de Robespierre, qui préside en dictateur le Comité de Salut Public, autrement dit le gouvernement du pays, justifie la Terreur avec des mots terribles : «La Terreur n'est pas autre chose que la justice prompte, sévère, inflexible !» Il convainc les députés de voter le décret du 22 prairial. C'est le début

et se rendit chez les Duplay. Eléonore Duplay, trouvit suspecte Cécile Renault et l’empêcha d’entrer et appela la garde. Emmenée au Comité de Salut public, Cécile Renault prétendit ne pas avoir voulu tuer Maximilien de Robespierre. Elle fut néanmoins condamnée à mort... Dépressif et souvent malade, Robespierre est souvent absent des réunions du Comité de Salut Public, Robespierre inquiéta ses collègues de la Convention aussi bien les plus catégoriques comme Fouché ou Barras ou bien ceux du Marais

décembre 1792 au 20 janvier 1793), la transformation de la guerre de défense en guerre d'annexion et les échecs militaires infligés par la première coalition de l'Europe monarchiste, les difficultés sociales et économiques, et les premières mesures de Salut public. Les montagnards, s'appuyant sur les sans-culottes parisiens de la Commune insurrectionnelle de Paris, proscrivirent les girondins après les insurrections des 31 mai et 2 juin 1793. -En France, la Convention montagnarde, du 2 juin 1793 au 9 thermidor

le nom de « Guerre de Vendée » à leurs soulèvements 112. Pour terroriser les ennemis de l’intérieur et de l’extérieur, la convention crée le Tribunal révolutionnaire (10 mars) et, pour mener à bien cette politique, le Comité de défense générale est transformé en Comité de salut public (6 a

royaliste, les catholiques et les gouvernements étrangers. Depuis la suppression des tribunaux révolutionnaires de province et l'augmentation des ordres d'arrestation lancés par le Comité de sûreté générale, la population carcérale à Paris a décuplé en quelques mois. Des motifs liés aux rivalités au sein même des comités, expliquent certainement la précipitation avec laquelle fut présentée et adoptée une Convention. Georges Couthon, rapporteur de la Convention pour le projet de création du Tribunal