Commandant

publication de sa toute première pièce aux éditions Actes Sud. Depuis, il connaît un franc succès tant par ses pièces de théâtre que par ses romans. II. Structure de l’œuvre * Schéma narratif Situation initiale : Salvatore Piracci, commandant d’un navire d’interception d’embarcations clandestines au large des côtes italiennes, mène sa vie tantôt en mer et tantôt à Catane. Elément perturbateur : Il rencontre une jeune femme qu’il avait croisé lors de l’interception d’une embarcation

témoin informé de la réalité du commerce triangulaire a la fin du XVIIIe siècle ? - Dès lors, Pourquoi ( Comment ) le journal de bord du commandant de la Licorne s’avère être un témoignage précieux pour comprendre les mécanismes de la traite négrière au XVIIIe siècle ? - Dès lors, quel intérêt historique ce journal de bord, rédigé par le commandant de la Licorne, nous présente le déroulement d’un voyage d’esclaves dans des conditions sanitaires et humaines des plus injustifiables ? -

1960. II-Analyse de l’œuvre A-Résumé du contenu A travers le roman « une vie de boy », l’auteur Ferdinand OYONO met en exergue la vie de ce jeune noir appelé Toundi. Ce roman est centré sur le personnage de Toundi, boy instruit placé chez le commandant d'un district de la colonie française. Le roman dénonce les pratiques autoritaires de la colonisation et au-delà, la négation de l'humanité des colonisés à qui on ne pardonne pas de quitter leur place en découvrant l'envers du décor des maîtres

Rudolph Hoess, mais aussi la façon dont se déroule l’extermination ; nous l’avons ici illustrée par un document iconographique de Art Spiegelman et dans l’autobiographie de Rudolph Hoess Le Commandant d’Auschwitz parle. Il s’agit ici de montrer le processus des camps d’extermination : tout d’abord le commandant reçoit l’ordre d’atteindre un objectif précis annuel dans la biographie romancée de Rudolph Hoess, ensuite est pointée du doigt la façon de faire (chambre à gaz) montrant le cheminement du

Document 8 : Texte de l’accord d’armistice en Corée, Panmunjeon [Ancien village de la zone démilitarisée en Corée du Nord], 27 juillet 1953. « Convention entre le Commandant en chef des forces des Nations Unies [Mark W. Clark], d’une part, et le Commandant suprême de l’armée populaire coréenne [Kim Il Sung] et le Commandant des volontaires du peuple chinois [Peng Teh-Huai], d’autre part, touchant un armistice militaire en Corée. […] Article I. Ligne de démarcation militaire et zone démilitarisée

15 jours. En fonction des activités, on distingue les tenues suivantes. A. La tenue de travail. Cette tenue est portée quotidiennement pour le suivi des cours et le service courant. Cette tenue est modulable selon les ordres donnés par les commandants d’unité. Elle est uniforme par section et doit être portée de façon correcte. Les élèves portent un «velcro» à la couleur de la compagnie et une bande patronymique sur leur tenue de travail. B. La tenue de sortie. La tenue de sortie est l’image

de l'École polytechnique travaillait à l'état-major parisien de l'armée. Les responsables du contre-espionnage, le colonel Sandherr et le commandant Henry, l'accusent d'avoir livré à l'ambassade d'Allemagne des renseignements confidentiels sur la défense nationale.Le véritable coupable des fuites est un officier d'origine hongroise criblé de dettes, le commandant Esterhazy. Mais l'enquête bâclée par les officiers a fait porter les soupçons sur Dreyfus, coupable idéal pour ses collègues, souvent marqués

l'initiative de l'URSS ; la nature nucléaire de ces torpilles ne fut révélée qu'en 2001). Les commandants Choumkov, Ketov, Savisky et Doubivko avaient pour mission de rejoindre le convoi de cargos soviétiques qui faisait route vers Cuba, avec à leur bord les missiles nucléaires destinés à compléter le dispositif déjà en place sur l'île. Le 14 octobre 1962, un avion espion américain U-2 piloté par le commandant Rudolf Anderson Jr. photographie les sites d'installation des missiles. Le lendemain, la lecture

capitaine, derrière son frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'État-Major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Afin d'attirer l'attention sur la fragilité des preuves contre Dreyfus, sa famille contacte en juillet 1897 le respecté

analyses graphologiques montrent que l'écriture du document est celle du capitaine Dreyfus, stagiaire au service de renseignements de l'état-major, officier pourtant trés patriote et bien noté par sa hiérarchie.  Arrêté à la suite de cela par le commandant du Paty de Clam, traduit en conseil de guerre et jugé à huis-clos (notamment pour éviter un incident diplomatique avec l'Allemagne), le capitaine Dreyfus est condamné à la déportation à vie, notamment sur la base d'un dossier secret dont le contenu