Commandeur des croyants

flammes de l’enfer. (dernier acte) Sganarelle est le valet de Dom Juan. On remarque à l'acte 3, scène 1, que sganarelle dit croire en Dieu pourtant dans l'Acte 4, scène 1, il dit à DJ que le Ciel a créé la statue du commandeur afin de le convaincre de se convertir. Il n'est croyant que par peur de l'au-delà. De plus, on peut noter qu'il est supersticieux. On le voit Acte 1, scène1 où il reproche à Dom Juan « qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni Loup garou ». On peut noter qu'il manque de courage

frontières, car l’auteur mentionne un hadit (parole du prophète) dans lequel il est dit que si l’on ne veille pas aux frontières, la communauté sera atteinte par des hommes qui pourront pénétrer sur le territoire. D’où l’importance pour que le commandeur des croyants doit recourir à la force pour garder ses frontières, afin que les fidèles puissent  être protégés et vivre dans la paix et la sécurité. C’est donc pour cela que l’existence de celles-ci sont très importantes pour la communauté. Ligne 25-30 :

lorsque ce dernier agit en qualité de Commandeur des croyants. C’est, en tout cas, ce qui ressort de l’article 41 (deuxième alinéa) du projet de nouvelle Constitution qui dispose que « le Roi exerce par dahirs les prérogatives religieuses inhérentes à l’institution d’Imarat Al Mouminine qui lui sont conférées de manière exclusive par le présent article ». Il en résulte que le Souverain ne saurait valablement s’appuyer sur son statut de Commandeur des croyants pour s’immiscer dans la sphère politique

Monsieur », « O Ciel ! », « Ah ! Monsieur »). Contrepoint comique du personnage (comique de caractère et de mots : « c’est un spectre, je le reconnais au marcher » + « Mes gages ! Mes gages ! »). S. accepte le merveilleux immédiatement : position du croyant (foi). Représentant de l’ordre établi qui cherche à convaincre DJ (« rendez-vous à tant de preuves ») et qui ne fait que le conforter dans sa révolte (si DJ se repent, il se met au niveau de son valet !). Oraison funèbre finale qui fait office de

relations avec ses proches, notamment avec son père, Dom Louis, et remet en cause les conditions chrétiennes mais également sociales. Son libertinage symbolise son indépendance. Il aime les défis, jusqu'à celui de la fin, le repas avec la Statue du Commandeur, que Dom Juan avait tué auparavant, qui l'emportera dans les flammes de l'Enfer. Dans son récit, Molière a créé un personnage ayant tous les vices de son époque mais en expliquant ses buts, ses convictions et ses raisonnements. 4. LES PERSONNAGES

plusieurs pays musulmans tel que l’Arabie Saoudite et le Maroc, il est vraie aussi que le régime iranien soutient des activistes islamistes marocains dans le but de s’attaquer à l’islam sunnite au Maroc et à Mohammed VI, Roi du Maroc et aussi Commandeur des croyants. Il faut savoir qu’au Maroc le Roi détient une légitimité temporel et aussi religieuse, c’est un descendant directe du prophète Mohammad à l’instar du Roi Abdallah de Jordanie et à ce titre il est le gardien des lieux saints de l’islam (Al

est le personnage étant le plus en présence de surnaturel lors de cette pièce. Au XVIIè siècle la superstition et la religion n'avaient pas toujours des frontières bien nettes. Ainsi Molière use du spectre, de la faux du temps et de la statue de Commandeur comme acteurs sur Terre pour punir les actes irréligieux, ce sont les représentant du Ciel ou bien même de l'Enfer donc de la religion. Comme l'Acte V scène 4, Dom Juan se moque du Ciel en s'exclamant l. 200 « ...le Ciel n'est pas si exact que

ses charmes, il la jette et part en séduire une autre. Il trouve cela normal. Très charismatique, il peut manipuler les gens à son aise. Il renie Dieu. * Sganarelle : valet de Don Juan, il le suit partout et essaye parfois de le raisonner. Très croyant, il est atterré par l’attitude de son maitre. * Don Louis : père de Don Juan, lui aussi est atterré par l’attitude de son fils, et tente de le remettre dans le droit chemin. Les actes : * Dans le premier acte, on apprend qui est Don Juan

ridicules en 1659 et l'École des Femmes, en 1662 ; mais dès ce moment il se heurte au clan dévot, mené par de grands personnages de la cour et par la Reine-mère, Marie de Médicis, qui l'accusent d'irrespect à l'égard du mariage, donc de la religion. Se croyant fort de la protection du Roi Louis XIV, Molière contre-attaque par une comédie féroce contre l'hypocrisie, le Tartuffe ; la cabale des dévots l'accuse alors d'athéisme, une accusation très grave pouvant mettre sa vie en danger, et fait interdire Tartuffe

d’une satire du grand seigneur méchant homme, Dom Juan est imbu de sa supériorité et ne respecte personne (père, pairs, femmes). Pour finir on trouve également le registre merveilleux notamment avec le spectre et la statue du commandeur qui bouge. QIII / Dom Juan et le théâtre classique Dom Juan est une pièce qui ne respecte pas les règles du théâtre classique, c'est une pièce qui mêle le tragique et le comique. Le théâtre classique exige que « l'action dans son ensemble