Commandeur

son fils parce qu'il a une vie qui ne lui plaît pas et il est moqué par son fils. - Elvire : une des femmes de Don Juan qui a été arrachée de son couvent, elle-même le voulant mais elle a été abandonnée. - le grand homme de pierre = statue du commandeur Le titre Il annonce une suite de la pièce de Molière . Notion de transposition : on passe d’une pièce de théâtre à une poésie . Changement d’espace culturel : les Enfers grecs et non pas l’Enfer chrétien annoncé par Sganarelle . Notion de

œuvre ? Que traduit-elle de l’époque & de cette société ? Don Juan Tenorio est en fait un seigneur espagnol du XVIIe siècle. Celui-ci après avoir enlevé la fille d’un Commandeur la déshonore. Il la délaisse et tue son père au cours d’un duel. Lors d’un voyage il fait halte dans un couvent où se trouve la statue du Commandeur. C’est ici qu’il disparaît pendant la nuit. Pour les moines, il a été foudroyait, pour d’autres ce sont eux qui l’ont assassiné. A la suite de ce fait-divers et de ses différentes

accessoire original qui est très utilisés par les comédiens. Au centre une planche suspendue à des câbles va servir de table pour le "festin de pierre"( sous-titre de la pièce ), table recouverte de bougie qui vont s'allumer lorsque la statue du commandeur apparaitra.. Puis un sol, qui renvoi à un plateau d’échecs, quadrillé de blanc et noir, celui-ci veut rappeler, une fois de plus, que Don Juan n’est pas un simple séducteur mais aussi un homme qui aime et qui n’a pas peur de jouer avec la morale

5strophes // 5 actes, retour des mêmes personnages. A) Le mendiant et le commandeur « Un sombre mendiant » : Antéposition de l'adjectif « sombre » : morts. Le terme mendiant est placé à la césure : mis en valeur ainsi que la diérèse. « Antisthène » : disciple de Socrate « le bonheur résidait dans la vertu », la comparaison avec Antisthène semble rendre compte du personnage de Molière. La statue du commandeur est désigné par la périphrase « un grand homme de pierre » :montrant sa

ensuite à travers une série de rencontres imprévues (hasard de la tragi-comédie). Il croise successivement un pauvre qu'il essaye de convaincre de régner sa région, un gentilhomme qu'il secourt alors que c'est un de ses ennemis. Enfin la statue du commandeur qu'il provoque dans sa tombe ( à ce moment se produit un signe surnaturel). • Langages : Normalement , au théâtre toutes les paroles ont pour principe de servir l'action. Or ce n'est pas le cas, dans les deux premières scènes de l'acte

avec les autres. II Don Juan et les autres Le non conformisme social et moral qui caractérise les libertins est visible chez Don Juan par un égoïsme extrême et le besoin permanent de défier ou mépriser autrui. En effet, si l'on excepte le Commandeur, tous les autres personnages se rejoignent par le manque de considération absolu que leur accorde Don Juan. Si Dom Juan est l'histoire d'un « grand seigneur méchant homme » on pourrait dire que toute sa méchanceté est liée à son égoïsme sans limites

scènes 5 et 6 du dernier acte : il existe une justice divine contre l’hypocrisie et la fausse dévotion. Molière fait alors appel au merveilleux. a) Identifiez les actes et scènes où Molière fait intervenir le Commandeur. Quelle est la signification symbolique du Commandeur ? Quel est le sens allégorique à donner au merveilleux par rapport à la société des hommes ? 3. Écrivez un paragraphe qui développe sous forme d’analyse littéraire le thème de l’opposition à la religion comme règle

fait. En réponse à sa constante défiance envers le Ciel apparait le commandeur, lequel serait une manifestation métaphysique de la punition divine, du châtiment divin que l’on sent arriver tout au long de la pièce. Il veut se mesurer à elle car elle est la seule qui peut lui tenir tête, la seule entité concrète a laquelle il peut se comparer en tant qu’égal des dieux. Mais l’absence de peur de Don Juan face à la statue du commandeur nous laisse perplexe. Celle-ci pourrait être expliquée par le fait

relations avec ses proches, notamment avec son père (Dom Louis) et remet en cause les conditions chrétiennes mais également sociales, son libertinage symbolisant son indépendance. Il aime les défis, jusqu'à celui de la fin : le repas avec la statue du Commandeur, que Dom Juan avait tué auparavant, qui l'emportera dans les flammes de l'enfer. Dans son récit, Molière a créé un personnage ayant tous les vices de son époque mais en expliquant ses buts, ses convictions et ses raisonnements. Réception[modifier]

Douglass était et assistait à ce spectacle caché dans un placard. Le lecteur ne peut donc plus hésiter sur l'implication et le vécu de Frederick Douglass. Après que l'on appris que M. Hopkins quitta son rôle de commandeur, Douglass nous propose une description du nouveau commandeur « […] commandeur de première classe. […] M. gore était fier, ambitieux et tenace. Il était rusé, cruel et endurci.[...] Il était de ceux qui sont capables de déformer le moindre regard, mot ou geste d'un esclave sous prétexte