Commandeur

couple tout juste marié dont il est jaloux et désireux de la femme. Il prévoit de l'enlever lors d'une balade en bateau. Il fait alors un éloge de l’inconstance, où il condamne la fidélité et les valeurs morales actuelles. On apprend qu'il a tué un commandeur. Scène 3 : Elvire arrive, veut se faire expliquer le départ de DJ. Face à son absence d'excuses ou de repentir, elle se doute qu'il a rencontré une autre femme. Elle lui reproche sa grossièreté et sa maladresse. Ulcérée elle lui prédit une malédiction

de Dona Elvire en allant dans la forêt. Mais il se perde et rencontre dans un premier temps un pauvre puis un homme se battant avec des truands, Don Juan part l'aider or il se trouve être un des frères. A la fin de l'acte il trouve la statue du commandeur que Don Juan a tué il y a quelques mois. Il invite la statue à dîner et miraculeusement cette dernière hoche la tête. Acte IV ( huit scènes) : le personnage entrant en premier est Don Juan en disant "Quoi qu'il en soit, laissons cela : c'est une

Sganarelle récapitule les infractions à toutes les lois, divines - "Ciel offensé" - et humaines - "lois violées". Dom Juan est puni pour avoir été à la fois pécheur et hors-la-loi. La Statue de pierre du Commandeur vient venger le double manquement à la justice des hommes et à la justice de Dieu. Le Commandeur apparaît ainsi, dans le récapitulatif de Sganarelle, comme le juste vengeur de toutes les causes, familiales, morales et religieuses. Ce dernier mot de comédie (censuré à cause de son inconvenance)

au XVIIème siècle Don Juan incarne un symbole de lutte contre la divinité, en revanche, les Romantiques vont largement évacuer ce sens mythologique et ainsi, dans une large mesure, contribuer à la mort du mythe. Par rapport au mythe la Statue du Commandeur est devenue le Diable, « Le diable est mis le grappin sur lui ».Donna Anna chez Hoffmann devient la femme en qui s’incarne toutes les forces du bien. Elle est une figure de la divinité, un ange qui s’oppose au machiavélique Don Juan. Toutefois elle

ancrer les relations > repas dans tout le livre et marques les moments importants - il symbolise désir et frustration > nourriture et alcool sont deux forme de démesure Dom Juan Dénouement Introduction - défi à la statue du commandeur - feint d’être convertit pour se mettre à l’abri des poursuites > le châtiment est imminent - Plan : dénouement attendu/ dénouement ambigu 1. Un dénouement attendu mais peu conforme aux règles classiques A. Rupture avec le dénouement

mythique de Don Juan serait né d'un fait divers rapporté par la Chronique de Séville. Selon la légende, il aurait vécu au XIVe siècle : fils de l'amiral Alonso Jofre Tenorio, Don Juan Tenorio aurait tué le commandeur Ulloa dont il avait séduit la fille, et les moines du couvent où fut enterré le commandeur, outrés de cet acte, l'auraient assassiné et fait disparaître le corps, racontant ensuite qu'il avait été foudroyé par le Ciel et entraîné en enfer comme châtiment de ses fautes et de son refus de se

finiront par payé car 7 ans après sa mort la troupe de Molière donnera naissance à la Comédie Française. Le texte étudié est un extrait de Dom Juan de l’acte 5 scène 5&6. On se trouve à la fin de l’œuvre, Dom Juan à invité a dîner la statue du commandeur, nous nous pencherons ce dénouement tout au long de ce commentaire. PB : De quelle manière ce dénouement est-il bâti ? Pour commencer nous évoquerons la notion de merveilleux qui est présente tout au long de ces deux scènes, puis nous parlerons

tragique de Dom Juan ? Support : Etude de l’Acte V DVD : deux versions filmées de Dom Juan : Bluwal et Mesguich. Lecture transversale des rencontres : M.Dimanche, le Père qui mettent en évidence l’hypocrisie du personnage ; le spectre et la statue du Commandeur qui mettent en évidence l’esprit frondeur de Dom Juan. • La fin d’un personnage : Comment Molière est-il parvenu à faire de Dom Juan un personnage hypocrite et libertin un personnage mythique ? • Le « merveilleux » au théâtre : comment est-il mis

semblerait que Don Juan prenne du plaisir à tyranniser son valet car cela pourrait prouver sa force, sa domination sur le monde, sur SON monde. Ainsi, il s'amuse à le terroriser alors que la Statue animée du commandeur arrive en plein dîné : « Bois, et chante ta chanson, pour régaler le Commandeur » (IV, 8, p. 111). Pour lui, il ne fait aucun doute que son fidèle valet l'accompagnera au dîné de cet homme qu'il a tué : « Je viendrai accompagné du seul Sganarelle » (idem). L'adjectif « seul » ne prouverai

allégorie de la Mort. - Enfin ce spectre prend son envol (ligne 13). Dom Juan ne peut plus nier qu’il s’agit là d’une manifestation du Ciel. Il refuse pourtant de se repentir. 3) Un châtiment exemplaire - C’est la statue du commandeur qui va être l’instrument du châtiment divin. Le commandeur est un rival qu’il a tué en duel et il a promis à sa statue mortuaire, de venir souper. Dom Juan ne peut pas se dérober à sa promesse. Ce serait une lâcheté indigne d’un noble. Il répond sans hésiter « oui » (ligne 22)