Comme d'habitude

de moi. Si je m’étais proposé de rechercher la faveur du public, je me serais mieux attifé3 et me présenterais sous une forme étudiée pour produire meilleur effet ; je tiens, au contraire, à ce qu’on m’y voie en toute simplicité, tel que je suis d’habitude, au naturel, sans que mon maintien soit composé ou que j’use d’artifice, car c’est moi que je dépeins. Mes défauts s’y montreront au vif et l’on m’y verra dans toute mon ingénuité4, tant au physique qu’au moral, autant du moins que les convenances5

» en guise de « lit », « une loque » (terme péjoratif) comme « couverture », une « chaise dépaillée » (le préfixe « dé- » traduit l'usure de l'objet). Ce dénuement est rendu encore plus poignant par tous les mots négatifs qui évoquent cette vie de privation, tout « se déchirai[t] », était « usé « vieux ». Fantine, dans sa lutte contre la misère, va de défaite en défaite ; « Elle avait perdu la honte, elle perdit la coquetterie », comme en témoigne le mauvais état de ses vêtements, leur saleté

montre qu’il pense simplement et que la vie pour lui est juste la suite des actions courtes. Il utilise le verbe »dire« quatre fois dans l’extrait (l. 3, 9, 17, 25) à la place des autres verbes d’action pour changer le vocabulaire. Il se comporte comme un enfant  (l.1) »maman«, (l. 23-24) »J’ai dormi pendant presque tout le trajet. « II. LA RÉALITÉ DE L’HISTOIRE 1. Lieu réel L’histoire se passe en Algérie, à Alger et à Marengo – ces lieux vraiment existent et il nous même donne la distance entre

habitudes comme le tabagisme, l’inactivité physique, la mauvaise alimentation, la consommation d’alcool abusive et l’exposition excessive au soleil sans protection peuvent avoir des effets néfastes sur la santé, et ces habitudes sont associées à des maladies du cœur, au cancer du poumon et à d’autres maladies chroniques. La plupart des facteurs de risque liés à ces comportements et à ces habitudes de vie sont modifiables et évitables. L’Ontario a établi un ensemble d’objectifs en matière d’habitudes de

d’actions (parler, manger, roter) ce qui donne deux portraits en mouvement ( évite la monotonie de la description). Verbes au présent = les actions paraissent plus rapides et cela permet aussi de présenter les personnages dans leurs habitudes (présent d’habitude.) C – Reprise des mêmes parties du corps, des mêmes habitudes dans les deux portraits mais inversées : « le teint frais »/  « le teint échauffé » ; « le visage plein » / « le visage maigre » ; « crache fort loin » / « crache presque sur soi »

sensualité différente ANALYSE DE LESBOS Références aux dieux grecs Phryné → Prostitué Paphos → ville à Chypre Sapho → Poétesse grecque reconnue pour avoir exprimé son attirance vers autre femmes Forte sensualité tout au long du poème Lesbos est présenté comme une île du désir L’amour est plus fort que Dieu. El amor homo todo lo puede. Pour lui, avec l’amour il n’y a pas de ciel ni d’enfer. L’amour lesbien est une sorte de religion. Le lesbianisme est une sorte de religion. Baudelaire et Les Fleurs du mal

l’absurdité dans ce roman. En effet, son contenu fait référence à l’absurdité contre les soins médicaux. «Il souffre d’oppression et paraissait plus congestionné que d’habitude. Selon ses propres termes, elle lui avait proposé avec courtoisie de faire appeler un médecin, mais sa proposition avait été rejetée avec une violence qu’elle considérait comme regrettable.» (p.209; l. 3 à 8) Cette citation montre aussi l’absurdité de la religion. En effet, à l’époque, la religion étant contre la science et le progrès

sentiment de vanité, d’orgueil « ce qu’on a et que les autres n’ont pas. Attachement à quelque chose d’inutile « par la petitesse de l’objet ». Critique l’éxcès, sentiment trop fort de la curiosité, ligne 4. Au 17ème, la passion est trop percu comme trop violente pour l’être humain et donc fait tomber dans l’éxcès. La curiosité est un sentiment aussi fort que l’amour et l’ambition. L’amour c’est consacrer sa vie a une personne , et l’ambition dans la société s’accepte , se comprennent, contrairement

profondes affinités. Qu'est ce que l'artiste ? C'est un homme qui voit mieux que les autres car il regarde la réalité nue et sans voile. Voir avec des yeux de peintre, c'est voir mieux que le commun des mortels. Lorsque nous regardons un objet, d'habitude, nous ne le voyons pas : parce que ce que nous voyons, ce sont des conventions interposées entre l'objet et nous ; ce que nous voyons, ce sont des signes conventionnels qui nous permettent de reconnaître l'objet et de le distinguer pratiquement

Recueil n° II - parution en 1678. Livre n° VIII Fable n° XVII Il se faut entr'aider, c'est la loi de nature : L'Ane un jour pourtant s'en moqua : Et ne sais comme il y manqua ; Car il est bonne créature. Il allait par pays accompagné du Chien, Gravement, sans songer à rien, Tous deux suivis d'un commun maître. Ce maître s'endormit : l'Ane se mit à paître : Il était alors dans un pré, Dont l'herbe était fort à son gré. Point de chardons pourtant ; il s'en passa pour l'heure : Il ne faut pas toujours