Comment Captiver Le Lecteur

Les lecteurs peuvent ressentir toute sortes de sentiments et peuvent avoir plein d’opinions différentes sur un même roman. Pourtant, l’auteur possède aussi le pouvoir de guidé leurs pensés et donc envoyé un message à travers leur art. Le personnage de roman possède alors une fonction central au message que le romancier veut envoyer et ceci est souvent principalement de refléter la société. Pourtant, est ce que ceci est la seule fonction possible? Nous verrons dans un première temps comment la fonction

Dissertation : « J’appelle un livre manqué celui qui laisse intact le lecteur » andré gide Lire un livre peut être une activité passionnante et enrichissante pour chaque personne. Losqu’il nous captive, nous sommes en permanance entrain d’apprendre et pouvons apprécier sa beauté. En revanche, lorsque nous éprouvons peu ou pas d’interêt pour un livre, il peut nous paraître lassant, voir même pénible à nos yeux. André Gide, un écrivain français du XIXe et du XXe siècle, a par ailleur donné sa

J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, Parce qu'on les hait ; Et que rien n'exauce et que tout châtie Leur morne souhait ; Parce qu'elles sont maudites, chétives, Noirs êtres rampants ; Parce qu'elles sont les tristes captives De leur guet-apens ; Parce qu'elles sont prises dans leur œuvre ; O sort ! fatals nœuds ! Parce que l'ortie est une couleuvre, L'araignée un gueux ; Parce qu'elles ont l'ombre des abîmes, Parce qu'on les fuit, Parce qu'elles

forcément être extraordinaire pour intéresser le lecteur ? Nous nous demanderons d’abord ce qui peut rendre un personnage sortant de l’ordinaire intéressant aux yeux du lecteur, puis dans un second temps comment un personnage tout à fait ordinaire en est tout autant capable. En premier lieux, il est vrai que les personnages de roman sont relativement appréciés lorsqu’ils sont extraordinaires. Mais pourquoi sont-ils autant appréciés par les lecteurs, et puis pourquoi sont-ils aussi présents dans les

qu’il effctue une mission d’exploration, il s’éloigne et retrouve ses compagnons décédés mystérieusement. Nous essayerons de répondre à la problèmatique suivante : Comment l’auteur manie t-il l’art de la narration, et arrive t-il à apporter une argumentation de sa vision du monde ? De plus, nous analyserons l’art de la narrtion, comment est mené le récit, puis la dimension argumentative réaliste du passage réflexion du texte. Au cours de cet extrait, l’auteur jongle avec trois procédés d’écriture

s'appuyer sur des situations imaginaires, le lecteur peut se mettre à la place du héro dans le roman et se voit faire des choses qu'il ne pourra jamais faire dans la réalité et c'est cela qui montre un réél plaisir à lire, comme le montre Joanne K. Rowling dans Harry Potter. La lecture est aussi un moment de détente, lorsqu'on se met à lire et qu'on est vraiment plongé dans le récit il n'y a plus rien autour de nous, comme ci il n'y avait seulement le lecteur et le livre. Mais la lecture ne se limite

temps, nous verrons comment la forme du récit imagé attire le lecteur. Nous nous interrogerons ensuite sur les liens entre le récit et la moralité en nous demandant qu elle est l utilité du récit par rapport à la morale. Enfin nous étudierons comment le récit, en s adressant à l imaginations et la sensibilité du lecteur captive celui ci et le fait adhérer à la thèse proposée. I capter l attention du lecteur 1)des personnages concrets 2)l art du récit 3)ne pas irriter le lecteur II du récit a

parvient-il à convaincre ou à persuader son lecteur, selon vous, mieux qu'un texte qui ne laisse entendre qu'une voix (préface, essai, traité... ) ? Introduction : En littérature, l'argumentation est partout : au théâtre, dans les romans, préfaces, essais, traités, ... Les moyens mis en oeuvre sont différents, mais le but est toujours le même : convaincre ou persuader son lecteur. Convaincre revient plutôt à s'adresser à l'intelligence et à la raison du lecteur tandis que persuader, c'est jouer sur

par les hommes, comme le sont l’araignée et l’ortie. Nous pouvons donc nous demander comment, à travers deux entités considérées comme repoussantes, l’auteur revendique-t-il la perception générale vis-à-vis des opprimés? Dans un premier lieu, nous pourrons examiner l’image ambigüe de l’araignée et l’ortie pr4oposée par le poète. Puis, nous étudions de quelle façon le poète tente de convertir l’impression du lecteur par rapport aux êtres marginalisés. Premièrement, nous analysons le portrait péjoratif

vendeurs et leurs conditions de vie.Dans cet extrait, Zola nous décris le magasin "Au Bonheur des Dames", dirigé par Mouret, pendant une journée de grosse vente. A la fin du chapitre IV,Mouret jubile: la vente durant la journée, a été un triomphe.Or, comment Zola, en cette fin d'après-midi, parvient-il à rendre compte du succès de cette vente? Nous verrons, dans un premier temps, que le narrateur évoque la foule ainsi que son mouvement. Ensuite, nous nous pencherons sur la description offerte par Zola