Comment Un Individu Devient Il Acteur Dans Une Organisation

Objectifs du cours Saisir l’importance du facteur humain dans la gestion des organisations Nous familiariser avec les concepts fondamentaux du comportement organisationnel (la communication, la motivation, le leadership, le pouvoir, le stress, etc.). Vous préparer au mieux à votre future fonction de manager. Plan du cours Séance 1. Entreprise et organisation Séance 2. Organisation et management Séance 3. Motivation et leadership Séance 4. Pouvoir, autorité et décision Séance

l’existence de deux principes essentiellement irréductibles, la dualité se réfère à l’existence de deux principes essentiellement complémentaires. Le dualisme organise souvent les discours dans les sciences sociales : ainsi, les oppositions entre individu/société, micro/macro, local/global, interne/externe, statique/dynamique... – KECHIDI, M., Université de Toulouse Le-Mirail, LEREPS-GRES, Toulouse, France, kechidi@univ-tlse1.fr. – Je remercie vivement Sandrine Daraut pour ses commentaires et la

communication par les mouvements du corps La proxémique : gestion par l’individu de son espace et des distance entre personnes Anthropologie de la communication : formes de communication dans différents lieux (travail, semi publics, privés) pour comprendre comment le contexte et la culture façonnent les types de communication. Elle passe aussi par la façon de se vêtir, le maquillage et tous les signes d’apparat (tatouage…). Elle permet de dire beaucoup de choses mais le répertoire expressif est tout de même

  les  décisions  de  gestion  courante.       Cette  typologie  peut  être  représentée  de  manière  pyramidale  conformément  à  la  vision   pyramidale   classique   des   organisations.   Dans   ce   cadre,   le   sommet   de   la   pyramide   des   décisions   est   occupé   par   les   décisions   stratégiques,   liées   à   la   politique   générale   de

problématique - Développement en 2 parties : Les titres sont apparents, des chapeaux introductifs (annoncer la manière dont nous allons amorcer chaque partie), un bloc de transition entre chaque partie (reprendre ce qu’on a amené en première partie et comment le mettre en lien pour la suivante), l’argument de chacun des sous sections apparait clairement en début de paragraphe. - Conclusion : 1) on reprend la problématique et on présente sa réponse générale 2) l’ouverture : un autre sujet, recherche sur

marqué par un environnement dynamique de plus en plus instable, ce qui rend les décisions stratégiques des organisations d’autant plus complexes à prendre. L’atteinte de la performance est aujourd’hui un objectif difficile. Les ressources des entreprises étant limitées, et leurs besoins étant nombreux, il est intéressant de savoir  vers qui doivent se tourner les dirigeants des organisations afin de les aider à piloter la performance, face à un marché en constante évolution. Il s’avère que la fonction

management 1. L’école classique Les auteurs de « l'école classique du management » ont en commun la volonté d'énoncer des règles rationnelles[1] et générales de conduite des organisations. Les éléments de réponse qu'ils ont apportés font encore référence dans la pratique quotidienne de nombreuses organisations, que ce soit dans le domaine de l'organisation du travail, notamment productif (Frederick W. Taylor) et bureaucratique[2] (Max Weber), ou pour ce qui touche à des principes d'administration

celui de la production des biens et des services destinés au marché. De toutes les définitions développées pour l’entreprise, on peut retenir ce qui suit : l’entreprise est « une unité économique, juridiquement autonome regroupant un ou plusieurs individus, organisés et hiérarchisés, mettant en œuvre de façon rationnelle des facteurs de production pour produire des biens et des services destinés au marché ». 2-Les finalités En plus de sa finalité économique qui est de créer de la valeur ajoutée et

dans la gestion des individus de son équipe et joue un rôle majeur dans les processus d’activités relevant des ressources humaines de son organisation de travail. La question du mode de répartition des responsabilités demeure ouverte et c’est ce qui a motivé un récent travail d’enquête terrain. Cette étude vise à mieux qualifier la nature de la relation entre les acteurs de la fonction ressources humaines et les encadrants puis à positionner en particulier chaque acteur dans son rôle comme

propre dignité. Dans l'entreprise, "le droit de commander" est donné par la position que l'on occupe au sein de la hiérarchie de l'entreprise et se justifie par les "responsabilités" de direction confiées. Dans un environnement culturel où chaque individu tend à être l'auteur de ses propres lois, à quelles conditions cet exercice de commandement, sorte de figure imposée par l'entreprise, peut-il être accepté ? Quels sont les mécanismes de défense qui peuvent se mettre en place ? Quelles peuvent