Commentaire Acte 5 Scene 4 5 6 Dom Juan

de l’idée de sa grandeur, de ses alliances, de sa charge, de sa dignité ; il ramasse, pour ainsi dire, toutes ses pièces3, s’en enveloppe pour se faire valoir ; il dit : Mon ordre , mon cordon bleu  4; il l’étale5 ou il le cache par ostentation6. Un Pamphile en un mot veut être grand, il croit l’être ; il ne l’est pas, il est d’après un grand7. Si quelquefois il sourit à un homme du dernier ordre8, à un homme d’esprit, il choisit son temps si juste

candidats. L’explication de texte, en effet, est un discours architecturé, dont on doit clairement percevoir la structure. Deux démarches sont admises par le jury, à condition qu’elles soient annoncées avec netteté : l’explication cursive et le commentaire composé. Ce dernier cependant s’avère souvent une entreprise hasardeuse, compte tenu notamment de la brièveté relative du temps de préparation. On le conseillera pourtant dans le cas d’un texte assez long, d’inégale densité ou présentant un caractère

Perspective complémentaire : Textes et œuvres : Lecture cursive : groupement de textes étude des genres et registres Antigone, Jean Anouilh La séquence suivante illustrera les acquis sur le théâtre par la lecture analytique de Dom Juan, de Molière. Séquence 5-FR20 5 Chapitre 1 > Le texte théâtral A B ......................................................................................................... 9 Les caractéristiques du texte théâtral L’action et les personnages

principales œuvres sont L'école des femmes (Arnolphe, qui bien que se vantant du contraire, a toujours craint d'être cocu. Il informe son ami Chrysalde de son intention de se marier. Il envisage d'épouser sa pupille, Agnès, qu'il a fait élever, dès l'âge de 4 ans, dans un couvent en prenant soin de la priver de toute instruction), Tartuffe (Orgon est un personnage assez important tombé sous la coupe de Tartuffe, un hypocrite et un faux dévot. Ce dernier réussit à le manipuler en singeant la dévotion et il

PRÉPARATION m Ce que l’on vous demande • Le mot « forme » renvoie aux différents types de scènes que l’on trouve au théâtre : dialogue, monologue, tirade… (voir sujet n° 6 p. 178). • Quand vous l’aurez identifiée, caractérisez cette forme (ici le monologue), ses marques communes dans les trois textes. • Indiquez pour chaque scène les marques caractéristiques de cette forme théâtrale – qui est une convention – avec des références précises. • Puis, en travail préliminaire (la réponse finale doit être

cinq heure»-les parents ont mis en scène une comédie, ils leur ont fait croire qu’ils n’avaient pas le droit de se marier =« vous avez été les jouets d’une affreuse mystification» déclare Poméchon Arg3: car Tardieu se moque du théâtre traditionnel ( de la comédie traditionnel )= il fait la satire du théâtre.-Exagération du procédé artificiel de l’aparté= 1ère réplique de Zénaide:2 mots prononcé a voix haute, 30 à voix basse.-comment l’autre personnage sur scène pourrait-il ne pas entendre l’aparté

Études littéraires », 1989) sont également très éclairantes. Pour éviter de proposer aux élèves un exposé purement magistral, voici quelques propositions de mise en activité pour cette introduction contextuelle. Étude d’un corpus de textes – Molière, Dom Juan (livre de l'élève, p. 176). – La Rochefoucauld, Maximes, maxime 215 (livre de l'élève, p. 177). – Paul Bénichou, Morales du grand siècle (livre de l'élève, p. 177-178). – Marie-Odile Sweetser, La Dramaturgie de Corneille (livre de l'élève, p. 179)

Grenelle, 75905 Paris Cedex 15 ISBN 978-2-01-135543-0 www.hachette-education.com Tous droits de traduction, de reproduction et d’adaptation réservés pour tous pays. Le Code de la propriété intellectuelle n’autorisant, aux termes des articles L. 122-4 et 122-5, d’une part, que les « copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective », et d’autre part, que « les analyses et les courtes citations » dans un but d’exemple et d’illustration

Rappelons que le Moyen Âge peut appeler « Sarrazin » (du bas latin Sarraceni, peuple de l’Arabie) tout musulman d’Orient, d’Afrique ou d’Espagne, ces deux dernières catégories étant, néanmoins, plus communément désignées sous le nom de Maures. 4. Les ambiguïtés de la guerre On reviendra sur le désir de l’Église de canaliser la violence guerrière en établissant, avec les croisades, le concept de guerre « juste » et en instituant des périodes de trêve. Sous la double influence du clergé et de

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