Commentaire Apologue Petit Prince

d’une interrogation sur la condition humaine. Dans l’univers tragique le personnage tente d’affronter lucidement son destin ; son courage face à l’adversité éveille alors l’admiration. Dans la tragédie, les personnages sont souvent des rois ou des princes. • le registre pathétique : des personnages victimes, touchant, bouleversant. Une situation est pathétique lorsqu’elle éveille chez le lecteur une émotion intense, voire insupportable. Cette émotion est le plus souvent due au spectacle du malheur

paraît et lui annonce qu'il possède un remède plus puissant que tous les basiIics de la terre. Il le fait jouer au ballon. Ogul trouve ce remède pénible, mais il persévère si bien que la cure fait son effet : un beau matin, il est guéri. Grâce à cette petite leçon de culture physique, Zadig obtient la liberté d'Astarté, et la renvoie à Babylone. Chapitre XVII : ‘’Les combats’’ Astarté est reçue à Babylone avec «les transports qu'on a toujours pour une belle princesse qui a été malheureuse». Le calme

la veuve et les enfants de Calas, puis publia en 1763 un essai intitulé Traité de la tolérance. Il obtint finalement la révision du procès, prélude à la réhabilitation posthume de Calas en 1765. L’affaire Dreyfus, expression de l’antisémitisme Petite chronologie de l'Affaire Dreyfus Décembre 1894. Comparution du capitaine Alfred Dreyfus devant un Conseil de guerre qui siège à huis-clos. Il est condamné à la déportation le 22 décembre pour espionnage sur la foi d'un " dossier secret " fabriqué

couchants » 2 P. Verlaine, Poèmes saturniens, « Soleils couchants » 2 T. de Banville, Les Exilés, « Hérodiade » 3 R. de Gourmont, Sixtine Prolongements Séquence 12 De l’Esprit nouveau au surréalisme B. Cendrars, « La prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France » D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 P. Soupault, Westwego TEXTE 2 G. Apollinaire, Alcools, « Zone » D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 P. Eluard - Man Ray, Les Mains libres ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE G. Apollinaire, Alcools TEXTE 3 A. Breton, Clair de terre

cœur même du récit, l’hypocrisie de la cour : « On n’osa trop approfondir / du Tigre, ni de l’Ours, ni des autres puissances / Les moins pardonnables offenses. / Tous les gens querelleurs, jusqu’aux simples mâtins, / Au dire de chacun, étoient de petits saints. ». C’est, enfin, essentiellement grâce aux exagérations que l’ironie est perceptible ; exagération dans le discours des personnages par exemple, qui prennent des allures de caricature : « Vous leur fîtes, Seigneur, / En les croquant beaucoup

mondes d’idées différeront-ils des nôtres ? Insondables/repoussantes/délicieuses = Accumulation Théorie de la poésie Rimbaldienne : Ignoble différent de noble. La fin du texte est structurée en 2 idées, de la L14 à la L17, un commentaire avec nuances sur le commentaire de Rimbaud, ce qui montre qu’elle s’appuie sur cet argument d’autorité, elle ne prend pas tous a la lettres. Nous avons maintenant l’aboutissement de cet élargissement, conquête de la femme pour elle et par elle. Victoire dans

la France • 69 à 91 : Usbek à la recherche de la loi nature La Régence • des lettres 92 à 146 : 4 septembre 1715 au 11 Novembre 1720 • 92 à 111 : considérations générales sur la politique • 112 à 123 : dépopulation du globe • 124 à 146 : commentaires sur l’actualité et la littérature le bouleversement du sérail • l147 à 161 • du 1er Septembre 1717 à fin Novembre 1720 Le roman par lettres - - - Dans ses réflexions sur les LP, Montesquieu soutient que la plus grande originalité

 Descriptif : la description des voyageurs occupe tout le premier paragraphe (« L’une était vieille », « L’autre, très chétive, avait une tête jolie »). À partir du troisième paragraphe, le discours descriptif se poursuit par le portrait de Boule de Suif : « Petite, ronde de partout, grasse à lard, avec des doigts bouffis ». La description physique convoque de nombreux adjectifs et s’intéresse aux détails : « de grands cils épais », « une bouche charmante, étroite, humide », « quenottes luisantes et microscopiques »

donné au roi. 8. Je prétends à. 9. À l’instant. Texte C : Jean Anouilh, « Le chien pelé », Fables (1961) Un chien pelé, boiteux, que personne n’aimait, Sauva un jour une petite fille Qui se noyait. Il fut fêté par la famille. Tout un jour, caressé, il vécut en héros. On lui donna du sucre, on lui donna des os… La petite exigea que le soir, à l’étage, Il dormît au pied de son lit. L’enfant était choyée. On dit : « et s’il salit ? » Un chien galeux sur un tapis, ce n’est pas sage… » Mais elle était

; conclusion morale, évolution des personnages ?   Activités personnelles : lecture de plusieurs contes voltairiens pour tirer enseignement moral et social ; rédaction de pamphlet, articles modernes d'une encyclopédie moderne……………………………………. Commentaire composé Candide chap. 5 1er §           Comme Montaigne, Voltaire nous contraint à réfléchir, mais « par une série de piqûres, qui nous éveillent, nous pressent, nous obligent à courir après une pensée qui vole déjà tout armée, brillante des facettes