Commentaire Arret Dol

en même temps une faute au sens de l’article 1383 du Code civil. Il a été posé par un vieil arrêt du 18 décembre 1912 (S. 1914,1. 249 note Morel ; D. 1915,1.17 note L.S.; Gaz. Pal. 1913, 1 .107) revenant sur la position antérieure des juridictions qui distinguaient les deux types de faute (voir notamment Civ 15 avril 1889, S. 91.292 et Req 31 octobre 1906 – S. 1907.I.126 cité par Merle et Vitu). Cet arrêt a affirmé que le juge répressif ne peut pas, sous peine de contradiction de motifs, relaxer

Droit des obligations Bibliographie : Favre-maillon - « Les obligations » Précis Dalloz - « Les obligations » Flour-Hobert et Savot - « Droit civil : les obligations » Malinvot - « Manuel du droit des obligations » « Les grands arrêts de la jurisprudence civile » Edition Dalloz (Tome 2) « Les grandes décisions de la jurisprudence civile » - Aubry Introduction : I – La notion d'obligation C'est un terme qui a plusieurs définitions. Il existe trois sens : > Le premier

: en cas de décès d’un chef d’Etat ou de gouvernement, fréquent que les gouvernements de pays tiers se fassent représenter officiellement à leurs obsèques, rien d’obligatoire, dans ce cas. A ce sujet, la Cour internationale de justice (CIJ) 1969 arrêt « Plateau continental de la mer du Nord » se prononce, de la façon suivante, il existe nombre d’actes internationaux (dans le domaine du protocole p. ex.) qui sont accomplis presque invariablement et sont motivés par de simples considérations de courtoisie

Il s'agit de savoir comment une loi nouvelle va s’insérer ds un ensemble de règles pré-existante. Art 2 du code civil: la loi ne dispose que pour l'avenir; elle n'a point d'effet rétroactif. Beaucoup de théories et de commentaires a partir de cet article. Quand les intéressé sont les simples expectatives de loi, la loi nouvelle pouvait remettre en cause cette attention. Mais lorsqu'ils avaient déjà des droits acquis la loi nouvelle ne pouvait pas leur être appliquée. Le

célébration du mariage ................................................................ 28 II.les vices du consentement....................................................................................................................... 30 A.le dol .................................................................................................................................................. 30 B.la violence ...................................................................................

sociétés holding hors de France a parfois conduit l'administration fiscale française a recourir à la procédure de l'abus de droit pour combattre ce qu'elle percevait comme une utilisation abusive du régime des sociétés "mères et filiales". Dans un arrêt du 18 mai 2005[36], le Conseil d’Etat a précisé les conditions d’imposition des dividendes reçus d’une filiale implantée dans un pays européen. Dans le cas d’espèce, le recours à la théorie de l’abus de droit[37] a eu pour effet l’imposition des dividendes

a des textes inférieurs à la loi au sens formel, se sont les décrets et les arrêtés. Ils ne peuvent abroger une loi mais ils peuvent la compléter et doivent rester en conformité avec elle. Ils peuvent être annulé s’ils sont illégaux, le président de la république et le PM prennent des décrets. Les ministres prennent des arrêtés inférieurs aux décrets. Le commissaire de la république et le maire peuvent prendre des arrêtés. Section 3 : La coutume 1. Notion La coutume est une règle qui nait

mai 1872, abandon du système de la justice retenue: système de justice déléguée (= donnée à une véritable juridiction). Mais, théorie du ministre-juge persiste (en 1er ressort, ac possibilité de faire appel devant une jur°). CE, 13 décembre 1889: arrêt CADOT. Code de justice administrative (CJA), article L2 : " les jugements sont rendus au nom du peuple français. " → justice déléguée, ac un véritable ordre de juridiction indépendant. L'existence d'un OJA est auj constitutionnellement consacrée

nécessaire de statuer sur le second moyen : casse et annule l'arrêt rendu entre les parties le 26 mai 1976 par la cour d'appel de Paris ; - Elle doit être personnelle au commerçant c'est-à-dire une clientèle qui se rattache au fonds (voir extrait arrêt 3 février 1970 ci-dessous) Sur le premier moyen, pris en ses deux branches : attendu qu'il résulte des énonciations de l'arrêt déféré que, par acte du 16 février 1960 dit "bail-gérance", les consorts z... ont consenti aux époux x... la jouissance d'un

immobilier : on a une promesse unilatérale de vente. Et donc dans ce cas on n’a pas besoin de faire l’enregistrement. La Cour de Cassation a eu l’occasion de rendre un arrêt très important concernant la transaction : très souvent elle contient une promesse unilatérale de vente. Ce n’est qu’un élément parmi d’autre et donc l’AP tranche par un arrêt du 24 février 2006. dans toutes ces circonstances, la transaction est l’accessoire de la convention et tantôt les principal. Le sort de la convention est lié :