Commentaire Auberge Paul Verlaine

Bac blanc n°1 de février 2011 Proposition de correction des questions préliminaires et du commentaire de texte La proposition de correction suivante s’appuie sur un travail rendu par un élève. Il n’est pas parfait, présente quelques défauts, mais il est néanmoins tout à fait honorable. Pour information, la note donnée aux questions est de 3 sur 4 (ou 4,5 sur 6) ; la note donnée au commentaire est de 13 sur 16 (ou de 11,5 sur 14). Q.1 : Pour chacun des quatre poèmes [rappelez ici les titres

compose de six vers (sizain). Les vers de ce poème sont isométriques, se sont des alexandrins. Les rimes sont organisées de la manière suivante: rimes plates, rimes embrassées, rimes plates, rimes embrassés. Le deuxième poème « L’auberge », de Paul Verlaine est organisé en strophes régulières (ici quatre strophes). Le poème débute par deux quatrains et se poursuit par deux tercets, c’est un sonnet. Les vers de ce poème sont isométriques, se sont des alexandrins. Les rimes sont organisées de la manière

Le poème intitulé « L ‘Auberge », issu du recueil Jadis et naguère, a été écrit par Paul Verlaine en 1884. C’est un poème de forme fixe, composé de deux quatrains et deux tercets : c’est un sonnet. Verlaine a destiné ce texte poétique à Jean Moréas. Par la présence d’un héros de romans romantiques du XIXème siècle, « Maleck Adil », l’auteur inscrit son poème dans son siècle. Dans ce sonnet, l’auteur décrit une auberge qu’il a sans doute connue ; il souhaite transmettre ses souvenirs à son destinataire

Je vous propose de réviser ensemble à partir d'un exemple la technique du commentaire .... L'auberge (1868) Murs blancs, toit rouge, c'est l'auberge fraîche au bordDu grand chemin poudreux où le pied brûle et saigneL'auberge gaie avec le Bonheur pour enseigneVin bleu, pain tendre, et pas besoin de passe-port. Ici l'on fume, ici l'on chante, ici l'on dort.L'hôte est un vieux soldat, et l'hôtesse, qui peigneEt lave dix marmots roses et pleins de teigne,Parle d'amour, de joie et d'aise, et n'a pas

crevées;
Mon paletot soudain devenait idéal;
J'allais sous le ciel, Muse, et j'étais ton féal;
Oh! là là! que d'amours splendides j'ai rêvées! Mon unique culotte avait un large trou.
Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vigueur; Où, rimant au milieu des

à l’examinateur de lui laisser le temps de poser des questions ou de relancer l’entretien. Noté sur 10 points. Ecrit coef.2, noté sur 20 pts, 5h20 Question sur un corpus de textes : 4 pts. 1h15, 1h30 1 des 3 sujets au choix : invention, commentaire, dissertation : 16 pts. Cf. polycopié sur l’approche globale de l’évaluation à l’épreuve anticipée de français. Objets d’étude en 1ère 1. Poésie. Un recueil de poèmes ou un groupement de texte, cette année, ce sera un groupement de

balançoire. Il composa vers l’âge de huit ou neuf ans, d’une écriture négligée, en faisant de nombreux pâtés d’encre : _________________________________________________________________________________ ‘’Prologue’’ (1862) Narration en prose Commentaire L’intérêt psychologique de ce texte impertinent est évident : transposition des personnages du père et de la mère, le père magnifié en « colonel des Cent-Gardes », la mère transformée en « femme douce, calme, s’effrayant de peu de chose » (tout

Il composa vers l’âge de huit ou neuf ans, d’une écriture négligée, en faisant de nombreux pâtés d’encre : ____________________________________________________________ _____________________ ‘’Prologue’’ (1862) Narration en prose Commentaire L’intérêt psychologique de ce texte impertinent est évident : transposition des personnages du père et de la mère, le père magnifié en « colonel des Cent-Gardes », la mère transformée en « femme douce, calme, s’effrayant de peu de chose » (tout

Meuse en t ou de la balanoire. Il composa vers lge de huit ou neuf ans, dune criture nglige, en faisant de nombreux pts dencre _________________________________________________________________________________ Prologue (1862) Narration en prose Commentaire Lintrt psychologique de ce texte impertinent est vident transposition des personnages du pre et de la mre, le pre magnifi en colonel des Cent-Gardes, la mre transforme en femme douce, calme, seffrayant de peu de chose (tout le contraire de ce qutait

connut un heureux printemps, faisant de longues promenades au bois d’amour ou sous les marronniers des allées de la ville. La sève montait : il fut amoureux, écrivit de légers poèmes. Il en recopia vingt-deux dans un cahier qu’il confia à son ami, Paul Demeny, poète également. Le 24 mai 1870, il en envoya trois à Banville, le poète « moderne » du moment, disant dans sa lettre : « Je me suis mis, enfant touché par le doigt de la muse, pardon si c’est banal, à dire mes bonnes croyances, mes espérances