Commentaire Barbe Bleue

dit d’entrer ? — Vous, capitaine. Vous m’avez convoqué ce matin à la première heure. — Adamsberg ? dit Émeri en détaillant rapidement la tenue du commissaire qui, outre ses vêtements sans forme, n’avait pu ni se raser ni se coiffer. — Navré pour la barbe, dit Adamsberg en lui serrant la main, je ne pensais pas rester à Ordebec cette nuit. — Asseyez-vous, commissaire, dit Émeri, attachant encore son regard sur Adamsberg. Il n’arrivait pas à faire coïncider ce nom réputé, en bien ou en mal, avec un homme

guerrier connu sous le nom de Bloodletter, Viszs était un mâle imposant. Avec ses iris blancs cernés de bleu, ses cheveux d’un noir de jais, et son visage aux traits aussi acérés qu’intelligents, il aurait même pu être considéré comme magnifique. Mais sa barbe noire en pointe et les tatouages d’avertissement qui marquaient sa tempe lui donnaient l’air d’un démon. — Pas du tout. (Fhurie posa les mains à plat sur la table bien cirée, pensant au joint qu’il allait allumer dès qu’il serait de retour dans sa

jailli du sol. La queue du chat frémit, ses yeux se rétrécirent. On n'avait encore jamais vu dans Privet Drive quelque chose qui ressemblât à cet homme. Il était grand, mince et très vieux, à en juger par la couleur argentée de ses cheveux et de sa barbe qui lui descendaient jusqu'à la taille. Il était vêtu d'une longue robe, d'une cape violette qui balayait le sol et chaussé de bottes à hauts talons munies de boucles. Ses yeux bleus et brillants étincelaient derrière des lunettes en demi-lune et son

les procédés du « commentaire » (réitération de la cellule de quarte augmentée) et de l’amplification mélodique (prolongation de la cellule chromatique descendante). Motif a.3. au piano, mesures 19 à 23. ➠ Motif obtenu par « élimination » mélodique. Du motif a.2 subsistent la quarte juste initiale et le motif diatonique ascendant dans l’intervalle de quarte augmentée (triton). Motif a.4. aux 1ers altos, mesures 31 à 36 ➠ Motif construit par le procédé du « commentaire ». BARTÓK prélève

s’apprêtait à partir, quand Jill lui fit signe. — Pensez-vous ! Sabrina n’attend qu’une occasion pour quitter ces fichus dossiers. Allez-y, elle aura peut-être même mis la bouilloire en route. Il vit d’abord Sabrina de dos. Elle portait une jupe bleue et une veste plutôt stricte. Sa superbe chevelure remontée en chignon était maintenue par un peigne d’écaille original. Elle s’était déchaussée et passait un pied fin le long de son mollet comme pour soulager ses muscles trop tendus. Javier l’entendit

Edition Folio n°83, traduction de l’américain par Marcel Duhamel et M.- E. Coindreau. Numéros des pages entre ( ), commentaires entre [ ]. Ceci n’est qu’ un résumé, constitué de notes, qui ne saurait évidemment remplacer la lecture du texte original. Citations entre guillemets. PREMIERE PARTIE : SECHERESSE ET PREPARATIFS DE VOYAGE CHAPITRE PREMIER : TEMPÊTE SUR L’OKLAHOMA . Dustbowl : Pluies sur terres rouges et grises de l’Oklahoma : croissance du maïs et des herbes folles puis verdure. Fin

paresseux… Un surdoué pressé : Charles Sorel Le prince du burlesque : Paul Scarron Cyrano de Bergerac : un Parisien bon teint Honoré d’Urfé et ses cinq mille pages Corneille maître de l’Illusion Ridicules, les précieuses ? Les délices de la chambre bleue Les best-sellers de Madeleine de Scudéry L’amour en Voiture Chapitre 10 - La forteresse classique La raison du plus fort Corneille rentre dans le rang Molière amuse le roi et les siècles Racine et ses as de coeur La Fontaine, un homme affable La floraison

du moyen-âge de l’Ovide moralisé : les textes de l’antiquité sont récupérés, utilisés. Il faut se servir de la culture Antique et prendre tout ce qui y est intéressant. « L’Ovide moralisé » traduit d’abord le texte en français puis en donne un commentaire. Il y a tout un étagement des sens qui consiste à partir d’une littérature et d’en donné plusieurs sens. Ce qui est intéressant c’est que la moralisation c’est cette entreprise qui consiste à donner un autre sens, à allégoriser. Il y a dans la

paresseux… Un surdoué pressé : Charles Sorel Le prince du burlesque : Paul Scarron Cyrano de Bergerac : un Parisien bon teint Honoré d’Urfé et ses cinq mille pages Corneille maître de l’Illusion Ridicules, les précieuses ? Les délices de la chambre bleue Les best-sellers de Madeleine de Scudéry L’amour en Voiture Chapitre 10 - La forteresse classique La raison du plus fort Corneille rentre dans le rang Molière amuse le roi et les siècles Racine et ses as de cœur La Fontaine, un homme affable

s'ils brillaient par moments, ce ne pouvait être que sous l'effort d'une pensée cupide. Le nez, déprimé depuis sa racine, se relevait brusquement en pied de marmite. Des lèvres épaisses en harmonie avec un double menton presque repoussant, dont la barbe faite à peine deux fois par semaine maintenait un méchant foulard à l'état de corde usée ; un cou plissé par la graisse, quoique très−court ; de fortes joues complétaient les caractères de la puissance stupide que les sculpteurs impriment à leurs