Commentaire Composé Le Duel Dans Bel Ami

370 PRÉFACE Mettez de la couleur dans votre gris par Hervé SÉRIEYX Qui dira jamais l'indicible ennui distillé par tant de Démosthène de sièges sociaux, d'orateurs ânonnants, cramponnés à leur rétroprojecteur, tentant de compenser, par des commentaires redondants, l'indigence de transparents soporifiques. Nous, les auditeurs, nous la payons cher, cette civilisation de la communication où tout ce qui dirige, pilote, contrôle une organisation se doit dorénavant de parler aux personnes qui la composent

370 PRÉFACE Mettez de la couleur dans votre gris par Hervé SÉRIEYX Qui dira jamais l'indicible ennui distillé par tant de Démosthène de sièges sociaux, d'orateurs ânonnants, cramponnés à leur rétroprojecteur, tentant de compenser, par des commentaires redondants, l'indigence de transparents soporifiques. Nous, les auditeurs, nous la payons cher, cette civilisation de la communication où tout ce qui dirige, pilote, contrôle une organisation se doit dorénavant de parler aux personnes qui la composent

la couleur dans votre gris par Hervé SÉRIEYX © Éditions d’Organisation Qui dira jamais l'indicible ennui distillé par tant de Démosthène de sièges sociaux, d'orateurs ânonnants, cramponnés à leur rétroprojecteur, tentant de compenser, par des commentaires redondants, l'indigence de transparents soporifiques. Nous, les auditeurs, nous la payons cher, cette civilisation de la communication où tout ce qui dirige, pilote, contrôle une organisation se doit dorénavant de parler aux personnes qui la composent

bureau la belle lettre où je m'en vais l u i signifier mon départ. Mais avant de l'écrire, je sens un immense besoin d'aérer un peu mes pensées — et d'aller retrouver mon cher Olivier, pour m'assurer, provisoirement du moins, d'un perchoir. Olivier, mon ami, le temps eét venu pour moi de mettre ta complaisance à l'épreuve et pour t o i de me montrer ce que tu vaux. Ce qu'il y avait de beau dans notre amitié, c'est que, jusqu'à présent, nous ne nous étions jamais servis l'un de l'autre. Bah! un service

par l’introduction du christianisme dans l’histoire : Dieu naît dans une étable et meurt humilié sur une croix. Le Christ est pauvre dans tous les sens du mot, au sens du dénuement et au sens de l’humilité : il est persécuté, exilé, trahi par un ami et meurt sur une croix dans un dépouillement total. Sa vie, pendant toute l’histoire de l’Occident, est au cœur de ce qui est enseigné dans les églises, elle est représentée partout, dans les vitraux, la peinture, la sculpture… C’est le modèle qui est

d’un rire clair et naïf. D’ailleurs, elle devait être nubile, la femme s’épanouissait rapidement en elle grâce au climat et à la vie rude qu’elle menait. Elle était presque aussi grande que Silvère, grasse et toute frémissante de vie. Comme son ami, elle n’avait pas la beauté de tout le monde. On ne l’eût pas trouvée laide ; mais elle eût paru au moins étrange à beaucoup de jolis jeunes gens. Elle avait des cheveux superbes ; plantés rudes et droits sur le front, ils se rejetaient puissamment

qu’il avait des villes fortifiées avec des murailles, car Og était un roi, et les moins hautes faisaient 60 miles. D’autres traditions rabbiniques parlent alors des Anaks, les géants de Canaan (p.15), par exemple dans un extrait d’un middrach, un commentaire, une paraphrase du 13e siècle : les explorateurs se cachent sous la pelure jetée par la fille du roi, lorsqu’elle la jette plus loin elle ne sent pas le poids des hommes. Ce ne sont pas les géants les plus célèbres : c’est Goliath qui est le géant

souterrain qui étendrait ses eaux sous l'opéra Garnier, légende immédiatement reprise et enrichie par Gaston Leroux dans le Fantôme de l'Opéraoù l'anti-héros, le sinistre Erik, s'installe aux abords du lac souterrain. Certes, l'Opéra Garnier repose bel et bien sur une cuve noyée, mais l'eau provient d'une nappe phréatique sans lien aucun avec la légendaire rivière de la Grange-Batelière. Lors de l'édification du monument, l'architecte Garnier a dû ainsi pomper l'eau qui se trouvait sous terre pour

couperet de 93. 11 Nous l’avons espéré un moment. En août 1830, il y avait tant de générosité et de pitié dans l’air, un tel esprit de douceur et de civilisation flottait dans les masses, on se sentait le cœur si bien épanoui par l’approche d’un bel avenir, qu’il nous sembla que la peine de mort était abolie de droit, d’emblée, d’un consentement tacite et unanime, comme le reste des choses mauvaises qui nous avaient gênés. Le peuple venait de faire un feu de joie des guenilles de l’ancien régime

Misérables Notre Dame de Paris L’homme qui rit Théâtre : (pas imposées). Marion Delorme, Le Roi s’amuse. /!\ Lire les préfaces Jusqu’ici on manquait de biographie scientifique. La meilleure biographie est incomplète (2e tome / 3 pas encore parus). Composé par Jean-Marc Hovasse, Victor Hugo (1802-1851), Fayard, 2001. Examen : Pas de syllabus Examen oral. Porte sur la matière enseignée ici. Examen construit où on doit montrer notre conception des lectures, etc. Interrogation sur le cours. Mais il faut