Commentaire Composé Lettre Persane 99

Pour Lady Montagu, nous analyserons en particulier la lettre du 10 mars 1718 où nous montrerons la relation ambiguë qu’entretiennent le genre référentiel et le genre fictionnel, relation en partie résultante d’une affection particulière pour les contes orientaux. Le dernier point aura pour but d’élargir le corpus d’œuvres disponibles afin de proposer une

archives» http://www.paris.fr2  Lecture guidée par des questions La Tour Eiffel, critiquée à peine commencée ! Langue 2 heures Lexique, modalisation : beau/laid, utile/inutile, lexique du refus, termes péjoratifs et mélioratifs Extrait de la lettre de « protestation des artistes contre la Tour Eiffel », Le Temps Extraits de la réponse de Gustave Eiffel Lecture guidée par des questions Exercices La Tour Eiffel : une belle œuvre ? Ecriture 1 heure Construire une appréciation

Lumières : 1. Le siècle des Lumières : contexte historique et sens de la métaphore ; 2. L’esprit philosophique et la diffusion des idées. Analyse d’une image : Le frontispice de L’Encyclopédie. 11.09 Analyse de brefs extraits d’introductions ou de lettres d’écrivains des Lumières (Fontenelle, Montesquieu, Voltaire…), révélateurs des enjeux et des difficultés d’une écriture nouvelle et sous surveillance (cf. polycopié) 13.09 Module. Comment faire une lecture analytique de texte : présentation de

siècles Lettres persanes Montesquieu Édition de Delphine Descaves De Paris à Venise, en passant par Smyrne, Rica et Usbek, deux voyageurs persans, échangent des lettres avec leurs amis demeurés en Perse. Pendant huit ans, ils observent et décrivent les mœurs occidentales, le fonctionnement de la monarchie absolue, le pouvoir de l’Église. ISBN 978-2-7011-6160-0 À travers ce roman 384 pages épistolaire, Montesquieu compose un tableau critique de la France de l’Ancien Régime. Lettres persanes Arrêt

1 http://www.clioetcalliope.com/oeuvres/litterature/persannes/persannes.htm Littérature XVIIIe siècle Montesqieu, Les Lettres Persanes Les Lettres Persanes sont un recueil de lettres écrites par des Persans visitant l’Europe de 1712 à 1720. Ils échangent leurs impressions, leurs étonnements et critiques sur la société du XVIIIe siècle, notamment en France où voyagent Usbek et Rica, et à Venise, où se trouve Rhédi. A cette correspondance s’ajoute celle entre Usbek et son sérail, c’est-à-dire

qualites morphologiques et chimiques et sa culture Ses noms: La graine noire est connue sous de nombreux noms. Elle a pour nom dans la langue des persans (au Ie persan) celui de «al-chounese»(l). Elle a encore Ie nom de (habbat aI­ (I) Ibn Hijr ditdans son «FathAI-Bari CharhSahih AI-Boukhari» (partie I page 145) au cours de son commentaire de la Tradition suivante d'apres Abou Hourelra, qu' Allah soit satisfait de lui: «Ce dernier a raconte avoir entendu Ie Messager d'Allah, qu'allah Ie benisse

République des belles lettres A- le roman : « non genre » facétieux et pernicieux B- Succès de la production romanesque C- La formule épistolaire ou le « réalisme formel » II- Une monodie épistolaire : Les Lettres d’une Péruvienne A- Intrigue sentimentale B- Critique de la société française C- Quipos et communication III- Originalité des Lettres dʹune Péruvienne A- Les Lettres dʹune Péruvienne, roman ouvert ou fermé? B- Schéma narratif C- Originalité des Lettres dʹune Péruvienne IV-

Astarté », un récit inséré dans Lettres persanes de Montesquieu, et dans Nourmahal de Mme de Genlis. Je considère la femme voilée comme un personnage Autre, je relève ses caractéristiques principales, j’examine son rôle narratif, et j’identifie la valeur significative de son voile. ii Dans le chapitre trois, je tiens compte des personnages féminins orientaux dans Fleur d’épine de Hamilton et « Ibrahim et Anaïs », un autre récit enchâssé dans les Lettres persanes. Je m’interroge sur le rôle de la

des mages disciples de Zoroastre qui pourraient faire concurrence aux « Oracles de Moïse »8 ? Dans sa jeunesse, Pléthon a vécu en milieu ottoman, à la cour d’Andrinople, chez un Juif lettré qui se nommait Elisha (Elissaios) et qui était un bon connaisseur des commentaires persans d’Aristote, et donc de traditions persanes sur Zoroastre9. Or ce savant met Pléthon sur la piste des « Oracles » des mages disciples de Zoroastre : ce seraient les Oracles que l’on appelle « chaldaïques » ; ils sont exprimés

emblématique de la littérature de la première moitié du XIXe siècle. Issu de la petite bourgeoisie, il est né à Tours en 1799 ; il s'éteint en 1850, épuisé par son labeur. Après avoir suivi sans enthousiasme des études juridiques, il débute dans les lettres en 1819, avec une tragédie en vers aujourd'hui oubliée, intitulée Cromwell. Il aiguise sa plume pendant une dizaine d'années en publiant, sous un pseudonyme, des œuvres qui se rapprochent des genres romanesques traditionnels : romans noirs ou sentimentaux