Commentaire D Arret Du 4 Juin 1997

MASSET, Manu el d e p rocéd u re p énale, 3èm e éd ., Larcier, 2009, 1462 p . ; H .D. BOSLY, D. VAN DERMEERSCH et M.-A. BEERN AERT, Droit d e la èm e p rocéd u re p énale, 6 éd ., La Charte, 2010, 1592 p . 2 Voy. notam m ent l’incid ence d e la loi d u 4 m ai 1999 relative à la resp onsabilité civile et p énale d es bou rgm estres, échevins et m em bres d e la d ép u tation p erm anente, et d e la loi d u 10 février 2003 relative à la resp onsabilité d es et p ou r les m em bres d u p ersonnel au service

octobre) : Etude de la fiche n° 2 : Principes directeurs du droit administratif Distribution de la fiche n° 3 Semaines 3, 4 et 5 (29 octobre, 5 et 12 novembre). Etude de la fiche n° 3 : Les acteurs du droit administratif (Administration, juge administratif, citoyen) Distribution de la fiche n° 4 Semaines 6, 7 et 8  (19 et 26 novembre, 3 décembre). Etude de la fiche n° 4 : Les sources et la hiérarchie des normes Semaine 8 : distribution des fiches n° 5 et 6 Semaine 9 (10 décembre). Etude

refus, car la personnalité juridique n’est accordée, selon la doctrine classique, que s’il y a une volonté autonome et libre. Le problème actuel est que la personnalité juridique est accordée à des choses qui n’ont pas de volonté autonome et libre. §4 Les Sources du droit des personnes. On va-t-on trouver les règles de droit qui détermine les personnes et leurs capacités juridiques. La source première est le Code Civil, le Livre I est intitulé Des personnes où l’on trouve toutes les questions relatives

behaviour, trust, relationship continuity, structural equation modeling. Les auteurs remercient Ajay Kohli professeur de Marketing à Goizueta Business School et J. Michael Crant de University of Notre Dame’s Mendoza College of Business pour leurs commentaires et suggestions 1 1. INTRODUCTION La confiance est un concept fort ancien. Elle a été reconnue, de façon implicite, dans les civilisations occidentales et orientales chez Aristote et Socrate et dans les sciences sociales notamment chez les

un « État de police », les organes judiciaires sont tenus de respecter les règles générales qu'a posé la loi pour assurer le respect des libertés individuelles, c'est ainsi que l'on parlait en droit criminel de légalité criminelle. Ainsi, l'article 4 du code pénal de 1810 disposait que « nulle contravention, nul délit, nul crime, ne peuvent être punis de peines qui n'étaient pas prononcées par la loi avant qu'ils fussent commis. » Mais le principe de la légalité qui doit être appliqué n'est plus

critères énoncés à l’art. 1401 du Code civil ou supposés. Il faut prendre en compte la source de la richesse ainsi que le moment de sa réalisation : le mariage. Avant le mariage, il n’y a pas d’acquêt entre époux ; puis, la dissolution du mariage arrête la réalisation des acquêts. Ainsi, lorsque des époux contractent un crédit-bail : pendant le mariage, ils le louent, paient un loyer contre la jouissance du bien. Après divorce, l’un d’eux lève l’option. Lui seul est propriétaire. L’autre ne bénéficie

notifiés à 1 Le coefficient de corrélation est de 0,70 (significatif au niveau 0,01). 4 l’administration du travail, seulement 890 en 2000. Les chiffres sont en augmentation depuis, pour atteindre 1.500 en 2003 (1240 en 2004, certainement plus de 2.000 en 2008). Tableau 2. Les plans sociaux notifiés en France entre 1995 et 2004 Année Nombre annuel de plans sociaux 1995 1122 1996 1888 1997 1524 1998 1215 1999 1172 2000 890 2001 1057 2002 1060 2003 1500

locales : |Marchés en nombre pour 2004 |Etat (+ défense) |collectivités territoriales |Total | |Marchés de fourniture |4 369 (+ 2890) = 7259 |51 485 |58 744 | |Marchés de services |4 370 (+ 1000) = 5370 |26 814 |32 184 | |Marchés de travaux |8 275 (+ 1330) = 9605 |91 241

VENTE EXERCICE ▫ re Commentaire d’arrêt rédigé : Civ. 1 , 20 février 2008 (doc. n° 3) DOCUMENTS Reproduits I/ Qualification du contrat : caractère monétaire du prix ? ▫ Doc. n° 1 ▫ Doc. n° 2 ▫ Doc. n° 3 Civ. 1 , 12 octobre 1967, p. 64-13229, B. n° 292 e Civ. 3 , 9 décembre 1986, p. 85-13373, B. III n° 177 re Civ. 1 , 20 février 2008, p. 06-19977, B. I n° 56 re Non reproduits RDC 2009 p. 549 obs. A. Bénabent LPA 20 octobre 2008 n° 210 p. 6 n. S. Renaud LEDC juin 2008 obs. H. Boucard Ass

SEANCE N°2 : LE MEUTRE Commentaire de l’arrêt : Cass Crim 16 janvier 1986 : Perdereau « La consommation du meurtre est impossible parce que fait défaut un élément constitutif ou plus exactement une condition préalable : la vie de la victime, mais sa tentative elle, est possible, et donc punissable comme telle, parce que par définition, aucun résultat n’est exigé », c’est ce qu’affirme Alain Prothais professeur agrégé des facultés de droit, il met en évidence le fait que la production d’un