Commentaire D Arrêt Tc 8 Avril 1935

recevabilité des recours qui leur sont adressés. Les juges administratifs ont admis de plus en plus largement le recours pour excès de pouvoir, réduisant ainsi, entre autres, le champ des actes de gouvernement et celui des mesures d'ordre intérieur (arrêts Marie et Hardouin). Avec le temps aussi, il a accru l'étendue de son contrôle sur les décisions administratives. Une autre question recevant une réponse en grande partie jurisprudentielle est celle de la répartition des compétences entre la juridiction

Lois de la Rèp. Avec cette décision inauguratrice du CC, la loi a été soumise au Droit grâce à la hiérarchie juridique des normes. Voici donc les différences. Toutefois nous entendrons les termes DF et LF comme des synonymes. Section 2 : Commentaire de la notion I. Les D appartenant à la personne. Il faut en effet tenir compte tant de la notion de droits que de leur appartenance. A) La qualité de droits. Ces D sont des facultés, prérogatives, conférées à leurs titulaires par le

administratif on fait toujours un recours contre un acte. Le requérant doit toujours obtenir une décision de l'administration pour ensuite saisir le juge. Un AAU peut être aussi bien oral qu'écrit. Ex : Arrêt CE 1931 CADEL → Ordre verbal d'un Maire de transporter une personne suicidé dans une Eglise. Arrêt 1936 CUSENIER → Recours contre la construction des colonnes de Burennes à Paris – jamais eu de trace écrite qui ordonnait la construction – CE qui estimait qu'il y avait bien eu décision orale.

constitution malienne), propriété (art8 de la constitution sénégalaise, 22 de la constitution béninoise ) intégrité du Corp. Humain ( article 7 de la constitution sénégalaise) liberté d’expression (art24 constitution béninoise ,7constitution malienne et 8 constitution sénégalaise) les libertés collectives(art8 constitution sénégalaise 25 constitution béninoise et 5 constitution malienne) 3 Article 9 de la constitution sénégalaise « toute atteinte aux libertés et toute entrave volontaire à l’exercice d’une

leur titulaire peuvent en imposer le respect par un juge. Leur violation a des conséquences en justice. Différence entre le droit à... et le droit de... Séance 6: liberté publiques et période de crise Séance 7: liberté publique des étrangers Séance 8: principe d'égalité, avec une réflexion sur le droit à la différence. Question de la discrimination positive. Séance 9: les zones d'ombres des libertés publiques. La France est un pays dans lequel les libertés publiques existent. Mais il y a des zones

technologiques, démographiques, politiques. DE LA NOTION D ASSITANCE A CELLE D ASSURANCE : 1544 : Création du Grand Bureau des Pauvres de Paris (période de guerre entre François 1er et Charles Quint). 1670 : Sous Colbert, l’ordonnance du 19 avril prévoit le premier régime de retraite en France (pour la Marine de guerre) appliqué par règlement royal du 23 septembre 1673 qui met en œuvre un fonds de Retraite des marins financés par une cotisation prélevée sur la solde des Officiers. 1680 :

l'Empire Romain. B. Le nominalisme de Guillaume d'Occam G. d'Occam : théologien et philosophe anglais (né en 1285, mort en 1349) = étudiant puis prof de théologie a Oxford. Excommunié en 1330, car jugé hérétique. Pensée que l'on retrouve sur "commentaire sur les entences de Pierre Lombard" => doctrine nominalia Nominalisme : fondé sur nomina, lat mots. → inaugure la tradition individualiste dans la pensée philo, car les mots ne désignent que des représentations. Exco car conteste les universo

idée- force : l'article 13 va être une sorte de credo partagé par une société (tout au moins ses dirigeants) et régulièrement réaffirmé. Remarque Aujourd'hui encore, lorsqu'un préfet prend un arrêté de conflits (les conflits seront vus dans un chapitre ultérieur), il se réfère, dans les visas de son arrêté, à la loi des 16-24 août 1790. On remarque, dans cette formulation de l'article 13, l'ambition des révolutionnaires qui prétendent régir le futur (les fonctions judiciaires demeureront « toujours

ROBINETTERIE ET DU SERVICE LOGISTIQUE ....................................................... 8 Introduction .................................................................................................................................................... 8 I. Collecte des informations ...................................................................................................................... 8 II. Implantation des centres de charge ..................................................

sécuritaire 4 C) Les chiffres de la criminalité 5 Criminalité réelle 5 criminalité apparente ou policière 5 criminalité légale 6 D) le code pénal de 1994 6 la forme 7 le fond 7 Changement : 7 Commentaire de la doctrine 8 Section II : définition et classification du droit pénal 8 La sanction pénale 8 Les sanctions intermédiaires 9 les astreintes : 9 Dommages et intérêts punitifs 9 droit disciplinaire 9 Sanctions pénales et sanctions administratives 10 Sanctions pénales et sanctions fiscales