Commentaire De Texte La Dentelliere

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renseignement attendus (entraînement au commentaire litt) Mercredi 5/12 (TP) 1h étude de 2 incipits en comparaisonLa dentellièreclassique Le Sagouinin médias res Lequel ressemble le plus à celui de C ? Jeudi 6/12 1h intervention orale d’un élève : La Dentellière (savoir présenter un texte à l’oral) + reprise Lundi 9/12 2h a)*intervention orale d’un élève : Le Sagouin (savoir présenter un texte à l’oral) +reprise b)* la jungle parisienne

saisir la juridiction commerciale ou la juridiction civile compétente (alors que le demandeur commerçant doit assigner le noncommerçant devant la juridiction civile) ;… 4) Etude d’une situation pratique : Âgée de 35 ans, Madame FINESSE est une dentellière inscrite au répertoire des métiers et installée au Puy-en-Velay (en Haute-Loire). Les créations de Madame FINESSE, qui fournit notamment des maisons de haute-couture, sont très appréciées. Cependant, Madame FINESSE a décidé voici deux ans de diversifier

Commentaire El Desdichado Nerval La genèse de cette œuvre est complexe. Selon Michel Brix, rédacteur de l’introduction à l’édition en classique de poche des Filles du feu, Nerval aurait demandé à son éditeur le 23 octobre 1853 de commencer d’imprimer un opuscule alors intitulé Mélusine, ou les Filles du feu et qui se serait composé de cinq histoires, dont trois seulement feront partie du volume définitif, Jemmy, Angélique et Rosalie (sans doute le nom provisoire d'Octavie). Au cours du mois de

XVI° siècle à nos jours » Séquence IV « Indignation : du refus à la révolte » Texte A Étienne de La Boétie Discours de la servitude volontaire 1574 « Soyez résolus à ne plus servir… » Texte B Jean-Jacques Rousseau Confessions 1782 « Le peigne cassé » Texte C Victor Hugo Discours 1851 « Les caves de Lille » Texte D Paul Éluard L’Honneur des poètes 1943 « Préface »  Texte E Albert Camus L’Homme révolté 1951 « Un homme qui dit non. »

transmission orale. Le ressort fondamental du roman est alors la curiosité du lecteur pour les personnages et pour les péripéties, à quoi s'ajoutera plus tard l'intérêt pour un art d'écrire. De manière synthétique et générale, on peut dire que le texte romanesque est un récit de taille très variable mais assez long, aujourd'hui en prose, qui a pour objet la relation de situations et de faits présentés comme relevant de l'invention même si l'auteur recherche souvent un effet de réel, ce qui le distingue

Gervaise aux prises avec la rudesse de l’existence (texte 1) – Gervaise boite (texte 2) – Avec le tête-à-tête avec Coupeau, une première séduction surgit : Gervaise par elle-même. (texte 3) – Son idéal (texte 4) – Gervaise par Coupeau (texte 5) – Gervaise par Goujet (texte 6) Une pièce tombée du bon côté : réussite de la blanchisseuse à 28 ans – "Un bout de trottoir à elle" (texte 7) – Gervaise vue par ses voisins (texte 8) – Un idéal atteint (texte 9) Relâchements : ruine lente et force de l’hérédité

la vérité. Autrement dit, le texte autobiographique n’a pas à être conforme à la vie (telle qu’on peut la connaître à force de recherches extérieures) mais se justifie dès lors qu’il émane d’un désir sincère de parler de soi et de remplir les conditions de ce contrat. Le discours contractuel est récurrent dans les passages métadiscursifs et métatextuels, où l’auteur commente et revient sur son engagement (Rousseau, avant-propos des Confessions et tout au long du texte). - l’idée de transaction va

peinture hollandaise : une représentation de la nature plus que parfaite (des photographes avant l’heure !) cf. l’émergence des scènes de genre (représentations dans un décor familier de faits et gestes quotidiens) Bruegel, Paysans Vermeer, La dentellière Transition : invention de la photo (premier kodak en 1888) –copie fidèle de la réalité Cours sur l’art 2008 4 B- Seconde grande période : de l’art moderne à l’art contemporain : de la subjectivité de l’œuvre d’art à sa déréalisation matérielle…

de Carmen, cette citation était sans doute moins destinée à être comprise par la totalité des lecteurs, qu’à donner d’emblée une impression de gravité, de hauteur, voire d’étrangeté, et qu’à imposer plus généralement une certaine distance entre le texte et le lecteur. Or cette distance elle-même ne visait probablement qu’à engager le lecteur à prendre un recul critique par rapport au contenu de sa lecture et à le mettre en perspective. En ce sens, ce que suggèrerait l’usage du grec pour la citation