Commentaire De Texte Mon Rêve Familier Paul Verlaine

Introduction Paul Verlaine, poète connu grâce à sa mélancolie et sa vie tourmenté, est définit comme l’archétype du « poète maudit ». Il pense être sous l’influence néfaste de Saturne. On dit que tous les saturniens ont « bonne part de malheur et bonne part de bile ». Verlaine publie son premier recueil Poèmes Saturniens à l’âge de 22 ans chez l’éditeur des poètes Parnassiens Alphonse Lemerre. Il y développe l’impassibilité du Parnasse, mouvement littéraire du 18ème siècle consisté de poète comme

Tardy Lolita S6 Commentaire littéraire : Mon rêve familier I/ Introduction Mon rêve familier est un poème de Paul Verlaine du recueil Poèmes Saturniens qui date du XIX° siècle, le genre de ce premier recueil est la poésie lyrique. Le sujet du texte est l'image de la femme rêvée du poète, une image de l'idéal féminin pour lui. Cette femme est tout à fait rêvée, elle n'existe que dans ses rêves. Elle n'a aucune caractéristique physique, mais elle comprend le poète, elle l'écoute et

d’Alexandre. Les vers impairs sont moins fréquents. L’heptasyllabe est le plus usité, notamment par Hugo au XIX°. L’ennéasyllabe (peu utilisé) et l’hendécasyllabe (devenu rare après le XIV°) sont présents dans la poésie moderne, à partir du XX°. Verlaine préconise l’usage des vers impairs dans son « Art poétique » (écrit en 1874, publié en 1882, et finalement inclus dans le recueil Jadis et Naguère, 1884) : « De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l’Impair Plus vague et plus

d’Alexandre. Les vers impairs sont moins fréquents. L’heptasyllabe est le plus usité, notamment par Hugo au XIX°. L’ennéasyllabe (peu utilisé) et l’hendécasyllabe (devenu rare après le XIV°) sont présents dans la poésie moderne, à partir du XX°. Verlaine préconise l’usage des vers impairs dans son « Art poétique » (écrit en 1874, publié en 1882, et finalement inclus dans le recueil Jadis et Naguère, 1884) : « De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l’Impair Plus vague et plus

Texte C - Paul Eluard : «La Dame de carreau», Les Dessous d'une vie, 1926 Texte D - Claude Roy : «Tant», Le Voyage d'Automne, 1987.   Texte A - Paul Verlaine : «Mon rêve familier», Poèmes saturniens, 1866. Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur, transparent Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un

Texte A - Paul Verlaine : «Mon rêve familier», Poèmes saturniens, 1866. Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur, transparent Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse ? -

« Sonnet pour Hélène » de Pierre de Ronsard Le 17ème siècle : « La fille » de Jean de La Fontaine Le 18ème siècle : « Aveu d’une femme » de Marceline Desabordes-Valmore Le 19ème siècle : « Mon rêve familier » de Verlaine Le 20ème siècle : « La Courbe de tes yeux » de Paul Eluard Poème du 16ème siècle « Sonnet à Hélène » Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant et filant, Direz, chantant mes vers, en vous émerveillant :

[pic] “ Le poème est l’amour réalisé du désir demeuré désir.” René Char (1907-1988), Feuillets d’Hypnos (1946) Sommaire - Introduction et justification. P.3 - Commentaire comparé P.4 - 3. Fiches de l’élève P.8 - 4. Fiche pédagogique du prof P.13 - 5.Cahier d ‘exercice

Je vous propose de réviser ensemble à partir d'un exemple la technique du commentaire .... L'auberge (1868) Murs blancs, toit rouge, c'est l'auberge fraîche au bordDu grand chemin poudreux où le pied brûle et saigneL'auberge gaie avec le Bonheur pour enseigneVin bleu, pain tendre, et pas besoin de passe-port. Ici l'on fume, ici l'on chante, ici l'on dort.L'hôte est un vieux soldat, et l'hôtesse, qui peigneEt lave dix marmots roses et pleins de teigne,Parle d'amour, de joie et d'aise, et n'a pas

non, mais nous nous en allons, Et tôt serons étendus sous la lame; Et des amours desquelles nous parlons, Quand serons morts, n’en sera plus nouvelle. Pour c’aimez-moi cependant qu’êtes belle. Recueil: Continuation des Amours (1555) Commentaire: Marie Dupin, jeune paysanne de Bourgueil. Il lui envoie ici un poème de 14 décasyllabes pour accompagner un bouquet de fleurs. Une nouvelle fois, il associe à la beauté des fleurs l’hommage amoureux, mais aussi la conviction de la brièveté de