Commentaire Le Soldat Fanfaron

L’homme de l’art se livre alors à une évocation : d’un coup de baguette magique, il fait surgir des images animées et Pridamant assiste au déroulement des faits et gestes de son fils. Celui-ci, Clindor, est entré au service de Matamore11, soldat fanfaron et amoureux d’Isabelle. 10. Comique n’a pas ici le sens de « drôle », « amusante », mais de « théâtrale » (à l’heure actuelle un comédien est un acteur de théâtre, pas forcément comique). Comprenez bien : l’illusion du théâtre. 11. Depuis

paragraphe et non par ligne.) -problématique (explication linéaire pas de plan vu que c'est celui de la structure, si commentaire, oui) SE CENTRER SUR LE PLUS IMPORTANT ! Conclusion -revenir sur la problématique -resserrer analyse -proposer un plan de commentaire composé (si explication linéaire) → explication linéaire, qui suit la composition du texte (qui précède le commentaire composé) Dangers -Paraphrase -Exposé magistral (parler de l’œuvre plus que du texte) -Effet catalogue 2/La

assez drôle parce que le narrateur qui est aussi le protagoniste de cette histoire ne manque de faire rire à ses dépens. Contraint d’invoquer le diable après avoir crânement affirmé que s’il le voyait il lui tirerait les oreilles, il avoue: « Jamais fanfaron ne se trouva dans une crise plus délicate ». Le livre est plaisant à lire comme l’est souvent la littérature du XVIIIe siècle : elle a ce je-ne-sais-quoi de léger et de pétillant (ne m’opposez pas de contre-exemple, j’en connais). J’aime aussi

mer les confronte aux pirates et aux mauvais sauvages des îles lointaines ; le voyage par terre leur offre la compagnie des bandits de grands chemins et des aubergistes ; la prison où les jettent leurs rivaux les confronte aux geôliers et aux soldats fanfarons. De même que l’action de la tragi-comédie se caractérise par la mixité qui mêle les faiblesses passionnelles de l’enjeu principal aux violences et aux dangers du péril de mort, son personnel, noble dans ses premiers acteurs, mêle aussi les souverains

jeu est essentiellement physique. Les comédiens jouent masqués, chaque masque représentant un personnage : Pantalon (vieillard amoureux cherchant à empêcher l'Amoureux et l'Amoureuse de s'aimer), le Dottore (pédant prétentieux), le Capitan (soldat fanfaron), le valet (Brighella, le valet sérieux, rusé, intelligent ou Arlequin, le valet gouailleur, grossier, fainéant). La Tragédie classique : on parle de tragédie classique pour des œuvres datant du XVIIe siècle. Elles sont rédigées en alexandrins

lyrique, épique, ironique, comique, tragique, dramatique ) 5- Identifier les procédés d'écriture et on analyse les effets produits 6- Etablir le plan : C'est la phase finale en partant de la plus grande évidence pour arriver à la plus petite Le commentaire composé : Il explique le texte, fait le bilan de lecture, complet et approfondi, il est organisé selon les idées directrices. On commence par identifier le genre, le registre, les buts de l’auteur… Il comporte en général 2 ou 3 grandes parties

sources pour les sublimer et pour aboutir à son texte. Un même texte est ainsi composé d’éléments de textes plus anciens, mais on peut aussi chercher à suivre une même source tout au long de ses diverses réécritures. Ainsi, le personnage-type du soldat fanfaron, inventé par Plaute, se retrouve aussi bien chez Corneille, dans l’Illusion comique, que chez Desmarets de Saint-Sorlin, à l’ouverture des Visionnaires, que sous une forme altérée chez le Cyrano de Bergerac de Rostand. Les variations de ton, de

sources pour les sublimer et pour aboutir à son texte. Un même texte est ainsi composé d’éléments de textes plus anciens, mais on peut aussi chercher à suivre une même source tout au long de ses diverses réécritures. Ainsi, le personnage-type du soldat fanfaron, inventé par Plaute, se retrouve aussi bien chez Corneille, dans l’Illusion comique, que chez Desmarets de Saint-Sorlin, à l’ouverture des Visionnaires, que sous une forme altérée chez le Cyrano de Bergerac de Rostand. Les variations de ton, de

du nouveau régime, ses vices et ses déportements présentés comme une décadence de Bas-Empire. Pour mieux flétrir la répression menée par Napoléon-le Petit, il adopte le ton épique pour, par contrecoup et pour les besoins de la cause, célébrer les «soldats de l’An II» (“À l’obéissance passive”) ou ceux de l’armée impériale, exalter la gloire et les vertus de l'épopée napoléonienne (“L’expiation”). Il appelle sur les usurpateurs du 2 Décembre le feu du ciel. Puis il proclame avec lyrisme sa confiance

du nouveau régime, ses vices et ses déportements présentés comme une décadence de Bas-Empire. Pour mieux flétrir la répression menée par Napoléon-le Petit, il adopte le ton épique pour, par contrecoup et pour les besoins de la cause, célébrer les «soldats de l’An II» (“À l’obéissance passive”) ou ceux de l’armée impériale, exalter la gloire et les vertus de l'épopée napoléonienne (“L’expiation”). Il appelle sur les usurpateurs du 2 Décembre le feu du ciel. Puis il proclame avec lyrisme sa confiance