Commentaire Liaisons Dangereuses

Lettre 21 (Le Vicomte de Valmont à La Marquise de Merteuil) , Les Liaisons Dangereuses, Laclos. I. Un récit mis en scène a) Valmont, un conteur averti * Une structure de la lettre organisée l.8 à 10 : justification de l’action ; l.10 à l.73 : récit de l’action charitable ; l.73 à l.77 : effet attendu du plan Valmont met en valeur la réussite de son plan de séduction. * Emploi imparfait «souvenez » l.8 puis passé simple « voulu »l.9 + emploi du verbe vouloir puis passé

« Les liaisons dangereuses » de Laclos Lettre 124, La Présidente de Tourvel à Madame de Rosemonde CONTEXTE Situation du passage : La lettre 124 est la dernière lettre de la troisième partie du roman Argument du passage : Dans cette lettre, La présidente de Tourvel raconte à Mme de Rosemonde ce qu'elle vient d'apprendre par le Père Anselme. Valmont veut se repentir en reprenant le droit chemin de la religion. Il souhaite donc la rencontrer une dernière fois pour lui rendre ses lettres et oublier

Introduction : Biographie Les ‘’liaisons dangereuses’’ est un ouvrage de 175 lettres écrit par un certain Pierre Ambroise Choderlos de Laclos, né en 1741 à Amiens au nord de la France au côté d’une famille de petite noblesse. Il entreprend une carrière militaire à l’âge de dix-neuf ans. Mais il s’ennuie beaucoup alors il commence à écrire des poèmes et termine cet ouvrage en 1781. Il rencontre en 1783 Marie-Soulange Duperré et quelque année après, elle devient son épouse. Depuis 1760 jusqu’à

dispose à sa guise. Mariée jeune et veuve très rapidement, elle jouit d’une fortune importante. Par le passé, elle a été l’amante de Valmont et on apprend qu’elle a été la seule femme capable de lui tenir tête. Au début du roman, elle entretient une liaison avec un chevalier (Belleroche), mais après avoir tourné en ridicule le célèbre Prévan, elle trouve le moyen de s’en débarrasser pour se consacrer à Danceny. Son art de la dissimulation lui permet d’être perçue comme une femme vertueuse et elle devient

Mme de Rosemonde est-elle un personnage important dans LES LIAISONS DANGEREUSES de Laclos ? En introduction, on peut signaler que Mme de Rosemonde est une épistolière peu prolifique (slt 9 lettres, et ds 2 parties seult) et dès lors s’interroger sur l’importance de ce personnage qui n'intéresse pas les libertins... Il convient donc de voir d'abord ce qui la relègue à l'arrière plan, pour dégager ensuite ce qui lui donne malgré tt une fonction centrale. Mme de R, un personnage féminin très

RESUME – LES LIAISONS DANGEREUSES, Pierre Choderlos de LACLOS (1782) PREMIÈRE PARTIE 1. De Cécile Volanges à Sophie Carnay, aux Ursulines de  … A Paris, Cécile Volanges s’adresse   à   son amie, Sophie, restée au couvent. Elle lui décrit   ses   journées   où   elle   n’a   pas   d’autres   obligations que de rejoindre sa mère à des horaires précis. Puis elle évoque son possible mariage   et   la   situation   cocasse   qu’elle   a   vécue   avec   le   cordonnier,   pensant   qu’il

XVIIIème siècle (1741-1803). Dans une lettre précédente, Valmont a écrit à la Marquise pour la mettre en garde contre Prévant. Cette lettre provoque une réponse de la Marquise, c'est cette lettre que nous étudions ici. La Lettre LXXXI des Liaisons dangereuses est une longue lettre dans laquelle la Marquise fait une présentation d'elle-même, une analyse qui insiste sur sa personnalité et sa manière de se comporter en société. Problématique : Montrer que dans ce texte la Marquise veut se présenter

effet, un personnage de roman ne peut pas être le reflet de toute une société. Le lecteur ne ressentira pas le besoin de s’identifier au personnage principal si c’est un anti-héros, ou bien encore un personnage haïssable. C’est le cas dans Les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos (1782) avec le personnage de La Marquise de Merteuil. Tout au long du roman, cette femme qui est un des personnages emblématiques de l’œuvre est décrite comme manipulatrice et orgueilleuse. Le lecteur découvre un personnage

qui vit dans un quotidien monotonne. Le lecteur est alors amené à réfléchir sur sa condition en tant qu’être humain, il réfléchit sur lui même sur sa propre vie ainsi que sur la société. C’est ce qui pourrait se passer lorsque nous lisons Les Liaisons dangereuses (1782) de Choderlos de Laclos(1741-1803). Ici nous faisons face à une femme manipulatrice ,indépendante, orgueilleuse et libertine, ce qui est déjà beaucoup pour l’époque. Elle peut être nomée « anti-héros » par ses actes et sa façon de penser

est plus important que la solidarité avec les habitants. Mais Rieux ne le condamne pas. Les deux perspectives sont ainsi données au lecteur, comme deux choix personnels, engageant deux modes de comportement et deux visions du monde. Dans Les Liaisons dangereuses, Laclos met en scène des personnages libertins, qui considèrent que le seul mode d'être possible est l'individualisme et la recherche du plaisir, dans la plus grande liberté. Ces personnages sont condamnés à la fin du roman, leur vision du