Commentaire Litteraire Le Roi Se Meurt

ééééééééééééééééééééééééBac français 2004 série étrangers es/s A - Alfred JARRY, Ubu Roi, acte Ill, scènes 3 et 4, 1888 Texte B - Jean-Paul SARTRE, Les Mouches, Acte II, scènes 3 et 4, 1943 Texte C - Albert CAMUS, Caligula, acte II, scène 5, 1944 Texte D - Eugène IONESCO, Le Roi se meurt, 1962. Texte A : Alfred JARRY, Ubu Roi, acte Ill, scènes 3 et 4, 1888... 361 Mots2 Pages ubu roi « Quelles figures de roi ces quatre extraits proposent-ils ? Justifiez votre réponse. » Support : Sujet d’annales

Corrigé commentaire Le Roi se meurt (axe I) Mouvement littéraire dominant la seconde moitié du XXème siècle, le théâtre de dérision ou théâtre de l’absurde, est un courant littéraire qui s’est développé après la seconde guerre mondiale et qui vise à montrer l’absurdité de la condition humaine. Le roi se meurt, publié en 1962, fut écrit par Eugène Ionesco, son obsession et sa peur de la mort se faisant de plus en plus présente. Mêlant angoisse, peur et rire, Ionesco nous offre une pièce riche en

e siècle à nos jours Alfred Jarry Ubu roi Texte intégral Librio no 377 – ISBN : 9782290165447 – 2 € I. Pourquoi étudier Ubu roi ? Le théâtre : le genre littéraire de prédilection des élèves Le théâtre est étudié et lu à l’école depuis la plus petite classe du collège, et même si les élèves, en arrivant au lycée, connaissent assez peu de dramaturges – et par conséquent les productions de ces derniers, excepté Molière –, ce genre littéraire jouit d’une grande popularité. Les pièces prêtant

EN QUOI LE TEXTE ET LA MISE EN SCENE DU ROI SE MEURT DE IONESCO RENDENT-ILS COMPTE D’UN THEATRE DE LA DERISION ? Perspectives d’étude : genres et registres ; histoire littéraire et culturelle ; signification et singularité des textes Objet d’étude : le théâtre, texte et représentation Corpus : E. Ionesco Le Roi se meurt J. Lavelli Le Roi se meurt (vidéo) Lectures complémentaires :  C. Géray, Interview de J. Lavelli et J. Mauclair à propos de leurs mises en scène (1976 et 1983) A. Artaud

– Alfred Jarry, Ubu Roi, acte III, scènes 3 et 4, 1896. B – Jean-Paul Sartre, Les Mouches, acte II, scènes et, 1943. C – Albert Camus, Caligula, acte II, scène 5, 1944. D – Eugène Ionesco, Le roi se meurt, 1962. Ce corpus contient quatre textes. Ce sont tous les quatre des extraits d’œuvres théâtrales qui nous parlent du pourvoir des rois. Le premier représente les scènes 3 et 4 de l’acte III de la pièce « Ubu Roi » d’Alfred Jarry écrite en 1896. Son registre littéraire est la comédie. Le second

Le corpus à analyser est constitué de trois extraits de pièces de théâtre, une comédie, une tragédie et une tragi-comédie : Dom Juan (V, 5-6) de Molière (1665), Électre (II, 9) de Giraudoux (1937), et Le roi se meurt de Ionesco (1963). Ces trois extraits sont les dénouements de leurs pièces respectives et semblent présenter différemment la mort des personnages au théâtre. Quels sont les différents choix des auteurs pour présenter la mort des personnages au théâtre ? Comment s’expliquent-ils ?

Hugo, Hernani, 1830. Eugène Ionesco, Le roi se meurt, 1962. ÉCRITURE Vous répondrez d’abord à la question suivante : • Quel point commun présentent les quatre scènes proposées ? Identifiez le registre de chacune d’elles. • Comment s’expriment, dans ces scènes, les réactions des jeunes femmes ? À cet égard, quelle scène se distingue des autres ? Pourquoi ? Vous traiterez ensuite un de ces sujets au choix : • Sujet I : Commentaire Vous ferez le commentaire des vers 28 à 49 d’Hernani de Hugo. • Sujet

Introduction 2. Question du corpus 3. Commentaire des textes 4. Conclusion 1. Introduction Le corpus qui nous est proposé est composé de trois textes dans lesquels la mort d’Iphigénie est raconté de manière différente. En effet, le premier texte est écrit par Jean Racine en 1674. Son œuvre s’intitule «Iphigénie». L’extrait de la pièce de théâtre que nous étudierons, est l’acte IV, scène 6, attaché au mouvement littéraire du Classicisme. Tandis que les deux autres

Bac littéraire (Bac L) Objet d’étude. Ecriture poétique et quête du sens, du Moyen Age à nos jours. Texte A : Jean-Pierre Claris de Florian, « Le Voyage », Fables, IV, 21 (1792) Texte B : Alphonse de Lamartine, « Les Voiles », poème publié en 1873 dans Œuvre posthume Texte C : Jean de La Ville de Mirmont, L’Horizon chimérique, recueil posthume (1920) Texte D : Jean-Michel Maulpoix, L’Instinct de ciel, section III, extrait (2000) I. Vous répondrez d’abord à la question suivante (4 points) : Comparez

Porphyre de Tyr Biographie : Porphyre est né en 234 à Tyr et mort environ en 305 ap. J-C. à Rome. Son vrai nom est Malchos (roi), on l’appelle Porphyre (pourpre → couleur royale vêtement) car son maitre de rhétorique, Longin qui lui a donné. En 254, va à Athènes suivre les cours du philosophe Longin (médio-platonicien qui ne séparait pas la philosophie et littérature. Il part ensuite à Rome, où il devient l’élève de Plotin entre 263 et 268. Il a du abandonné doctrine de Longin pour adopter