Commentaire Portrait De Gwynplaine

Syllogisme : « Si tout B est A, et si tout C est B, alors tout C est A » Texte 2. « Le rire de Gwynplaine » Auteur : Victor Hugo (né au 19e siècle), écrivain, poète, dramaturge et politique français, pilier du Romantisme / Touche à tout → roman (Les Misérables), poésie (Les Contemplations), théâtre (Hernani) Pb : Comment le rire de Gwynplaine illustre-t-il la monstruosité ? I/ Portrait de Gwynplaine A. oscillation entre deux apparences « rire automatique » → monstrueux : le visage est un masque

Commentaire composé sur Notre-Dame de Paris Au XIXème siècle, les romans historiques se multiplient. Les auteurs romantiques vouent une passion aux personnages hauts en couleur ; ils sont aussi fascinés par la période délaissée par les Lumières, le Moyen-âge. Victor Hugo, dans son roman Notre-Dame de Paris paru en 1831, ancre son récit dans la capitale à l’époque médiévale. Le narrateur a placé l’intrigue lors de la Fête des Fous, fête qui pendant trois jours tournait en dérision la hiérarchie

Tous les auteurs du corpus nous proposent des portraits, des descriptions détaillés dans leurs œuvres. Nous allons voir, au travers des lignes qui suivent, dans quelle mesure chacun de ces portraits prend appui sur le réel et dans quelle mesure ils sont transposés. Dans Le Chef-d’œuvre inconnu, Balzac fait le portrait d’un « vieillard » très bien vêtu. Ce portrait est dans un premier temps très réel, en effet il s’agit d’un type de personne très banal avec une « bonne nature » très authentique

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pesanteur, de son usure , en opposition par ex emple avec les descriptions idéalistes et superlatives du conte de fées ou du roman courtois : délabrement physique de Frenhofer et du duc de Germantes, défiguration de Gwynplaine, examen physiologique auquel Zola soumet Goujet – la Gueule-d’Or – (pilosité, musculature, réseaux sanguins, comme si le descripteur feuilletait des planches anatomiques). Le corps du personnage n’est plus une surface

distingue, par exemple, de la description réaliste (qui ne dédaigne pas les termes techniques) et celle du Nouveau Roman (qui prend parfois l’aspect d’un compte rendu). * Le personnage comme signe . L’ « être » du personnage : nom et portrait * Le nom : L’être du personnage dépend d’abord du nom propre qui, suggérant une individualité, est l’un des instruments les plus efficaces de l’effet de réel. Les personnages doivent d’abord leur densité référentielle à ces noms complets, tels

sanguinaire des révoltés. Mais Bug-Jargal avait été fait prisonnier peu avant et, pour venir en aide à d’Auverney, il a dû laiser en otages dix de ses compagnons. Ayant rempli son devoir, l’ancien esclave va se livrer aux Blancs qui le fusillent. Commentaire L’œuvre fut présentée comme un « extrait d’un ouvrage inédit : ‘’Les contes sous la tente’’». En abordant la révolte des opprimés de Saint-Domingue en 1791, ses origines, ses causes et ses conséquences, le romancier n’avait pas l’intention de

adorée. Hélas ! cette horde égarée Mutilait l'airain renversé ; Et cependant, des morts souillant le saint asile, Leur sacrilège main demandait à l'argile L'empreinte de son front glacé ! Voulaient-ils donc jouir d'un portrait plus fidèle Du héros dont leur haine a payé les bienfaits ? Voulaient-ils, réprouvant leur fureur criminelle, Le rendre à nos yeux satisfaits ? Non ; mais c'était trop peu de briser son image ; Ils venaient encor, dans leur

mort, car elle constitue un crime ». Mais si l’auteur nous disais « Je suis contre la peine de mort, car elle revient a priver une famille de son soutien », il ferait appel aux sentiments, et essayerais donc de persuader. Instruction du commentaire : Le commentaire commence par une phrase d’accroche, une entrée en matière : elle est très générale et toujours à la troisième personne (l’accroche est liée soit au thème du texte, au genre du texte, soit au mouvement littéraire). Présentation de l’auteur

réécriture, il introduit le personnage d’Habibrah. C’est une espèce de sorcier, de gourou des esclaves noirs. Le personnage d’Habibra est la première incarnation d’un personnage extrêmement récurrent du personnage du monstre (cf. Quasimodo, Triboulet, Gwynplain, Han D’Island, etc). Il y a une fascination pour un personnage hors-norme. C’est un personnage qui sort des normes esthétiques. Cette monstruosité physique de ce personnage va lui donner toute une valeur symbolique. La difformité du personnage est