Commentaire Sans Rancune

Jonathan Hirsch 01.02.2010 Commentaire texte n°2 «Les Justes»:de la page 29 de "Ils sortent chacun d'un côté" à la page 35 "Stepan sort". Situation du passage: - Nous nous situons, lors de se passage, aux préparatifs de lʼopération qui a pour but de tuer le grand-duc. - Nous sommes ici aussi juste après lʼarrivé de Kalyalev, une arrivée que Stepan n'apprécie pas car il a le don dʼagir dʼune manière contraire a ces révolutionnaires. - Nous pouvons voir que le groupe révolutionnaires ici

reconnaissance pour les femmes faciles, qui m'amène naturellement à vos pieds. Je m'y prosterne pour obtenir mon pardon, et j'y finis cette trop longue lettre. Adieu, ma très belle amie : sans rancune. Du château de..., ce 5 août 17**. Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre 4. N.B. : dans le commentaire, les lignes correspondent au livre Les Liaisons dangereuses, édition Pocket Classiques, n°6010.   Situation :   Avant, on a appris que Cécile est sortie du couvent pour se marier

Français : Commentaire composé. Consigne : Faire l’introduction, le premier axe et la conclusion du commentaire composé sur le portrait de Vautrin, dans Le Père Goriot de Balzac. Bibliolycée p. 33-34 (l.375-416) L’extrait que nous allons étudier est tiré du roman réaliste Le père Goriot écrit par Honoré de Balzac et publié en 1835. Honoré de Balzac est un des maîtres incontestés du roman français dont il a abordé plusieurs genres. Balzac a organisé ses œuvres en un vaste ensemble, La

| |Argument secondaire |Illustration |Commentaire explicatif | | | |La description des lieux nous permet d’avoir

Microsoft Word - Laurence Rius 16D218.docxLaurence Desjardin-Foucray 16D218 Li6érature de l’An<quité Commentaire sur le carmen XXX de Catulle Ce carmen XXX fait par<e des poèmes écrits par Catulle aux amis qui l’ont déçu. Il s’adresse peut-être, ici, à Alfenus, qui aurait été consul et proche de Catulle. Comme on peut le voir à plusieurs reprises dans le recueil, Catulle <ent les liens de l’ami<é en très haute es<me. Moins violent que le C.XVI, ce poème

Commentaire sur le Prénom La comédie « le Prénom » a été écrite par Alexandre De la Patellière et Matthieu Delaport en 2010. Cette pièce de théâtre a été adapté au cinéma le 25 Avril 2012. « Le prénom » présente une situation atypique : Vincent,  invité à dîner chez Elisabeth, sa soeur, et Pierre, son beau-frère, il y retrouve Claude, un ami d'enfance. En attendant sa compagne Anna, il dévoile avec malice le futur prénom de son enfant, Adolphe. En pensant que cette blague fera rire, cela déclenche

dans une mise en scène dynamique et amusante. Nous pouvons examiner l’originalité de cet incipit dans cette scène en étudiant tout d’abord l’entrée dans l’univers du roman, l’entrée  en scène des personnages et pour finir l’univers théâtral. * Commentaire : I – Entrée dans l’univers du roman On situe l’action par rapport au soleil. (Réf à Apollon ; mythologie). Cadre temporel indiqué, mais de façon particulière : registre épique ; personnification du soleil qui a une réf mythologique au

pas plus que dans le trou du cul d’un nègre. Sa voix résonna car il n’y avait de l’eau qu’à mi hauteur. Il se souvenait de ce commentaire sur le « trou du cul d’un nègre » qu’il avait entendu de la bouche d’un courageux G.I. … noir qui s’enfonçait dans un tunnel ou se cachait des résistants. Ce qui l’avait alors amusé c’est que ce soit un soldat noir qui fasse ce commentaire. - Qu’est-ce qu’il connaissait en trou du cul, pensa-t-il en balayant sa lampe-torche à la surface de l’eau du réservoir. L’odeur

Le conflit, lorsque l’on vit en société, est une chose inévitable. Il est souvent chargé d’émotions telles que la colère, la frustration, la peur, la tristesse, la rancune ou le dégoût. Il peut même être chargé d'agressivité et de violence. Cet état oppose deux personnes ou entités. Le conflit prend souvent place lorsqu’un des partis ne peut accepter la position des autres partis. Dans “Art“, pièce contemporaine, Yasmina Reza nous décrit un conflit de valeur. Elle s'intéresse a la manière dont un

fois, c'était comme une soudaine crise de rage aveugle, une soif toujours renaissante de venger des offenses très anciennes, dont il aurait perdu l'exacte mémoire. Cela venait-il donc de si loin, du mal que les femmes avaient fait à sa race, de la rancune amassée de mâle en mâle, depuis la première tromperie au fond des cavernes? Et il sentait aussi, dans son accès, une nécessité de bataille pour conquérir la femelle et la dompter, le besoin perverti de la jeter morte sur son dos, ainsi qu'une proie