Commentaire Tartuffe Le Discours De La Galanterie

manières différentes : la satire et le rire. Zola revient à l'ère florissante des sciences de la nature dans laquelle les chercheurs ont étudié la vie, enregistré ses phénomènes et de plus ils ont fait les essais et codifié les résultats et les commentaires. Ces chercheurs ont rejeté l'imagination et ont maintenu les faits concrets. Les écrivains ont fait la même chose en s’éloignant de l'imagination, de la poésie et s'orientant vers les faits, la nature et l'environnement. De ce point Zola s’intéresse

giberne. – Charge ton fusil et mets-toi là derrière cet arbre, et surtout ne va pas tirer avant l’ordre que je t’en donnerai… Dieu de Dieu ! dit le caporal en s’interrompant, il ne sait pas même charger son arme !… (Il aida Fabrice en continuant son discours.) Si un cavalier ennemi galope sur toi pour te sabrer, tourne autour de ton arbre et ne lâche ton coup qu’à bout portant quand ton cavalier sera à trois pas de toi ; il faut presque que ta baïonnette touche son uniforme. « Jette donc ton grand sabre

essentielles de la langue française. Elles communiquent au parler un “je ne sais quoi” qui, sur le plan de l’expression, s’appelle style. Pour prouver que la langue française est une des plus belles et prestigieuse nous vous proposons un fragment d’un discours prononcé par M. Mac Govan (un Anglais) à Nice en 1983: “Je suis fier de posséder, en tant que langue maternelle, une langue, non seulement de communication, mais de poésie. L’homme sans poésie est un être sans espoir. Mais je suis fier de posséder

le lui donner sur le théâtre de sa gloire, là où les souvenirs fleurissent à la place des orangers. Jolie idée, tendre et mélancolique ! Ce n’était pas le bal des victimes ; c’en était le souper. – Et Don Juan ? – dit-elle, comme Orgon dit : « Et Tartufe ? » dans la pièce. – Don Juan a fort bien pris la chose et très bien soupé, ...Lui, tout seul, devant elles ! dans la personne de quelqu’un que vous connaissez... et qui n’est pas moins que le comte Jules-Amédée-Hector. – Lui ! C’est bien, en effet

de le lui donner sur le théâtre de sa gloire, là où les souvenirs fleurissent à la place des orangers. Jolie idée, tendre et mélancolique ! Ce n’était pas le bal des victimes ; c’en était le souper. – Et Don Juan ? – dit-elle, comme Orgon dit « Et Tartufe ? » dans la pièce. – Don Juan a fort bien pris la chose et très bien soupé, Lui, tout seul, devant elles ! dans la personne de quelqu’un que vous connaissez... et qui n’est pas moins que le comte Jules-Amédée-Hector de Ravila de Ravilès. – Lui ! C’est