Commentaire Texte Bossuet Oraisons Funebres

Bossuet , Oraison Funèbre En 1689 , Bossuet publie les six plus belles oraisons funèbres qu’il a prononcées à l’occasion de la mort de grands personnages comme Marie-Thérèse , épouse de Louis XIV ou le grand Condé. Henriette d’Angleterre qui fait l’objet de cette oraison est la fille de Charles premier d’Angleterre et de Marie de France. I- Le récit 1. Une mort allégorique Cette mort est soudaine , puissante et mystérieuse. Bossuet veut faire ressentir cet effet à ses auditeurs

élogieux, blason, éloge funèbre, blâme, caricature…) -Les figures de style de l’amplification, de l’exagération… -Etude de la forme poétique d’un texte -Le registre laudatif, le registre pathétique -Stratégie du blâme -Les différentes formes de l’éloge funèbre -Le vocabulaire mélioratif et péjoratif -Travail d’écriture autour de la transposition (parodie, pastiche…)Pratique-Poursuite de la méthode de la dissertation (traitement d’un sujet) -Initiation à la méthode du commentaire composéProblématiqueEn

1erS Commentaire de Français Jacques-Bénigne Bossuet né à Dijon en 1627 est le fils d’un conseiller au parlement. Après des études chez les jésuites, il est ordonné prêtre et devient chanoine de Metz. Lorsqu’il prononce ses premiers sermons, il possède encore une manière un peu prétentieuse de les présenter. Il prend la parole devant la Cour et devient évêque en 1669. Il a écrit et prononcé près de 200 sermons comme le « Sermon sur la mort » en 1662. En 1670, il prononça l’ « Oraison funèbre

SEQUENCE 3: Texte 5- Le discours, Bossuet (Oraison funèbre d'Henriette d'Angleterre) Biographie Jacques Bénigne Bossuet: C'est un homme d'Église, un prédicateur et un écrivain français. Il vit principalement sous le règne de Louis XIV. Corneille ne lui déplaisait pas, il s'adonnait à l'écriture de vers précieux et ne dénigrait pas l'Hôtel Rambouillet. Il est élu membre de l’Académie Française en 1671 Appelé

EXAMEN DU REVET SUPERIEUR BOSSUE ORAISON D'HENRIETTE ÉDITION FUNÈBRE D'ANGLETERRE ANNOTÉE PAR FRÉDÉRIC GODEFROY Auteur ol'Histoire Littérature d dela l française epuiseXVIesiècleusqu'à d j nosjoiirs OUVRAGE PAR L'ACADÉMIE COURONNE FHANÇAISE PARIS GAUME ET Cie, EDITEURS 3, RUE DE L'ABBAYE,3 1882 BOSSUET ORAISON FUNÈBRE DK HENRIETTE D'ANGLETERRE GAUMEet Gie éditeurs, 3, rue de l'Abbbaye,-àParis LE NOUYElU: TESTAMENT CHRIST: nouvelle DE N. S; JÉSUS Traduction

I) Principe de l’exercice : Il s’agit de montrer qu’on a bien compris l’originalité, la spécificité du texte. Il faut le faire grâce à un développement cohérent qui comporte une introduction, un développement et une conclusion. II) La lecture ligne à ligne : On lit d’abord, stylo dans la trousse, le texte lentement trois fois. Ensuite, on lit lentement ligne à ligne et on note tout ce que qu’on repère sur un brouillon en numérotant. On essaye d’avoir le plus d’idées possible. III)

et convaincre - différencier l’argumentation directe et l’argumentation indirecte TRAVAIL : pour le … / … / … - préparation à la séance 2 : - faire des recherches sur Montaigne (et l’Humanisme) et faire une courte biographie manuscrite - lire le texte LA1 et répondre aux questions préparatoires suivantes : -> quels arguments Montaigne utilise-t-il pour condamner toute forme de cruauté ? Pourquoi évoque-t-il la cruauté envers les animaux ? -> quelle place accorde-t-il au témoignage personnel ? aux

procédés auxquels il faut avoir recours pour construire un texte convaincant. 1. Les facultés de l’éloquence Il y a ainsi trois « facultés » à mettre en œuvre : E l’invention (inventio), c’est-à-dire la capacité d’invention, celle là même qu’on vous demande dans l’écriture d’invention : il s’agit de trouver quoi dire, un sujet, et des arguments pour soutenir son propos. E la disposition (dispositio), c’est-à-dire l’art d’organiser son texte : il s’agit de savoir comment disposer dans un ordre adapté

1 Oraison funèbre, épopée d’un héros disparu, plainte élégiaque : la mort comme sujet d’écriture interroge la parole sur les limites de son pouvoir. Comment faire revivre l’absent, célébrer sa mémoire, ou conserver le souvenir de la douleur de l’avoir perdu ? Si le cadavre est, comme le dit Bossuet, « ce qui n’a de nom dans aucune langue », le tombeau pourrait représenter ce qui fait barrage, ce qui retient. Par delà l’horreur de la mort, artistes et écrivains se sont efforcés de construire

de la science et du progrès. Objectifs : - recréer les correspondances qui existent entre les signes du langage, le monde naturel et le monde de l’art - exercer un pouvoir évocateur et suggestif sur l’imaginaire du lecteur - reproduire dans le texte l’harmonie de la musique Formes privilégiées : Le poème qui, par sa puissance évocatrice, fait accéder au monde des symboles Thèmes essentiels : - la création d’un paysage fluide et mystérieux, qui incarne un état d’âme - la solitude et le silence