Commentaire Texte Chantebout

politiques français (histoire constitutionnelle jusqu'à 1958, Constitution actuelle, la Ve République). Méthodes pédagogiques FACULTE DE DROIT Dissertation ; commentaire de texte Prérequis Maîtrise de la langue française Conseils méthodologiques Respect des conseils méthodologiques donnés pour la préparation et la structuration du commentaire de texte et de la dissertation (et notamment de l’introduction en six points et du plan binaire) ; lecture intégrale des fiches de TD ; recherches complémentaires

récent possible. Le Gicquel : Droit constitutionnelle et institutions politiques - Montchrestien (+ facile) Mr Ardant : Droit constitutionnelle et institutions politiques - LGDJ Classique de Mr chantebout – Droit constitutionnel et sciences politiqes – A. Collin Classique de Mr Pactet TD chaque semaine + examen en 3 heures ( COMT ou Dissert’) Faire des fiches de cours synthétiques qui reprennent les éléments important du cours

------------------------------------------------- Droit Constitutionnel Séance 16 : Le Parlement, la fonction législative Commentaire de texte : page 122 document 4 : ‘’Avec la fin de la souveraineté parlementaire, c’est la loi même qui est changée. Qui peut dire aujourd’hui que le Parlement fait la loi ? Il est devenu obsolète de parler de pouvoir législatif et le Parlement est sans doute le moindre’’ citation de Bernard Chantebout, professeur de droit public à l'Université Paris V. Une proposition de loi est une proposition

en application des connaissances. Ils sont destinés à vérifier non seulement que les connaissances essentielles ont été acquises mais surtout que l’étudiant sait les mettre en œuvre pour la rédaction d’une dissertation ou la réalisation d’un commentaire de texte. En ce sens, les travaux dirigés sont l’occasion, pour les étudiants, d’acquérir par la pratique la méthodologie requise pour les différentes formes d’épreuves auxquelles ils seront confrontés. En conséquence, les travaux dirigés ne seront

CHAUDERON Page 1 Hugo Commentaire de texte : Document 4 Introduction : Dans un passage de son discours du 7 septembre 1789, Emmanuel-Joseph Sieyès affirmait : « Les citoyens qui se nomment des représentants renoncent et doivent renoncer à faire eux-mêmes la loi ; ils n’ont pas de volonté particulière à imposer. S’ils dictaient des volontés

souligné - La première partie est plus importante que la seconde] 2 sous parties 2ème partie 2 sous parties PAS DE CONCLU Le commentaire Citer les mots clef du texte entre guillemet sans paraphraser et les enrichir On peut ici faire u plan en 3 partie Le commentaire d’arrêt Bibliographie Gicquel Montchrestien Bernard chantebout Pierre René caps Constantine Escaut Melin Soucramanien chez Dalloz Pierre espougas Livre de la constitution francaise Phillipe Ardan

tour à tour le commentaire de texte , le cas pratique et la dissertation juridique. Le commentaire de décision des organes juridictionnels sera abordé ultérieurement. IV.1 a – Le commentaire de texte Il s’agit d’un exercice qui, malgré les apparences, n’est pas simple ; il obéit à des règles précises en ce qui concerne sa présentation, ce qui implique une certaine technique de préparation. La Préparation Quelle que soit la dimension du texte, il est indispensable

devrait suffire à apaiser tous les doutes de celui qui cherche à déterminer quelle est la répartition des compétences entre les plus hautes autorités de l’Etat, dans le domaine de la Défense. Or, le lecteur qui aurait la velléité de s’en remettre au texte constitutionnel afin de nourrir sa réflexion, finirait bientôt par constater que la profusion des dispositions pertinentes est de nature à créer plus de confusion que de certitude. Cette étude se propose d’étudier le domaine de la Défense comme exemple

dans leurs tentatives de définition du « régime d’assemblée », s’en tenaient pour l’essentiel « à des notions plus ou moins vagues de domination ou de prépondérance du corps législatif » (Le gouvernement d’assemblée, op. cit., p. 1). 21. Bernard Chantebout (Droit constitutionnel et science politique, Paris, Armand Colin, 17e éd., 2000, p. 244) explique en effet : « Finalement, à l’exception de quelques vestiges hérités du parlementarisme classique – telles la présence à la tête du pays d’un chef de

faite, en partie, par la voie démocratique ; et surtout, elle a adoptée par référendum. Malgré tous ces éléments qui se dégagent en faveur de la Constitution de 2000, c’est pratiquement à un coup d’Etat permanent que l’on assiste à l’encontre de ce texte. Dès les premiers moments de son application, elle a été contestée ; certains milieux ayant exigé sa révision. La rébellion armée, survenue le 19 septembre 2002 et dont l’objectif manifeste était de construire un nouvel ordre politique en Côte