Commentaire Yvain Le Chevalier Au Lion

contexte, composantes et circonstances Les personnages et emplois du théâtre Le Matamore (sources) Synthèse : les personnages (rôles et fonctions), scènes de genre Analyse détaillée d’un passage Synthèse : roman d’aventures et intrigue romanesque Commentaires Le chapitre I sera relu en synthèse Recherches sur la vie des comédiens au XVIIe s. et sur la comédie italienne Aborder l’étude des stéréotypes : recherches de documents ; fiches personnages La scène : fonctions dramatique et esthétique Les motifs

(nord) ou troubadours (sud). - La plupart des gestes datent de la fin du XIIe siècle, seules la chanson de Roland et la geste de Guillaume sont antérieures à 1150. - Ces œuvres reflètent les sentiments de la noblesse : orgueil et bravoure des chevaliers, amour de la guerre et de la gloire, dévouement au service de Dieu, lien et force du serment féodal. Elles s’avilissent[8] avec le déclin de la féodalité au XVe siècle. - Les gestes se répartissent en 3 groupes : la geste de Charlemagne, la

impossible. La dame est idéalisée, hautaine, inatteignable, et seulement objet de convoitise. - L’amour raffiné : le chevalier du Moyen-âge est partagé entre les ennemis à tuer et la dame à conquérir. Pour se faire remarquer par les femmes, le chevalier doit se distinguer sans se battre et sans boire. L’amour courtois est donc un facteur de raffinement et de civilisation. Le chevalier doit se montrer comme un homme civilisé. Les troubadours ne font pas des éloges de l’amour platonique, qui ne se

riches les mets de prix avec leur jus, un morceau après l’autre, en diverse présentation, on l’appelle en langue vulgaire, graal . » fin XII°s Le graal fait parti d’un service de table aristocratique, on est dans le domaine de la noblesse, des chevaliers. De plus c’est un mot qui appartient à la langue vulgaire, à l’ancien français, en opposition au latin. Après Chrétien de Troyes, que devient le mot graal ? Le mot lui même dans sa valeur première, dans sa valeur de récipient, le mot existe aujourd’hui

Jonas. Ce sont des notes en français qu'on a retrouvé par un prêtre (pretres après le concile de Tours). Ces notes passent du latin au français. Dans le sermont, les passages en latin sont ceux que le prêtre emprunte à Saint -Jérome (qui a fait un commentaire sur le livre de Jonas). Il y a aussi des passages de la Bible du livre de Jonas. Les passages en français sont les passages où le prêtre se détache des sources, où il s'adresse aux fidèles. C'est très important de voir comment le français devient

pénitence ainsi Dieu repoussera les barbares qui envahissent Saint-Amand-les-Eaux dans le Nord. Dans ce texte, on remarque très vite l’importance des commentaires de St Jérôme faits sur le Sermon de Jonas. Ce clerc les retranscrit en latin et là, lorsque le prêtre invente, il écrit en français. D’où un bilinguisme selon que le texte parle des commentaires de St Jérôme (latin) ou que ce soit l’imagination du clerc (français). Cela prouve que le latin est la langue savante / intellectuelle. La créativité

Evroult m'assiste ! Quel malheur imprévu, de fuir si démuni ! Je n'emporterai ni armes ni cheval, et n'aurai d'autre compagnon que Governal. Seigneur ! d'un homme sans ressources, on ne fait pas grand cas. Quand je serai en exil et que j'entendrai un chevalier parler de guerre, je n'oserai sonner mot : à qui n'a rien, inutile d'ouvrir la bouche. C'est l'heure d'affronter la mauvaise fortune. Elle m'a déjà bien malmené, la rancune du roi ! Cher oncle, il me connaissait mal celui qui a cru que j'avais séduit

reconnaissait plus aussi bien ; il tira sur elle un coup de pistolet et la manqua ; il tira un second coup, elle tomba. (Stendhal, le Rouge et le Noir, 1830) • Même extérieur à l’histoire, le narrateur peut intervenir dans le récit : - par des commentaires à la première personne : ce sont des intrusions d’auteur : Les habits rouges ! les habits rouges ! criaient avec joie les hussards de l’escorte, et d’abord Fabrice ne comprenait pas ; enfin il remarqua qu’en effet presque tous les cadavres

sonore au cinéma / Mari. - Paris : L'Harmattan, 2007. Résumé : Une réflexion autour des rapports du son et de la musique avec le cinéma et des relations récitimage-son, qui veut montrer que la bande son n'a pas qu'une fonction d'illustration ou de commentaire. C'est particulièrement sur le "nouveau cinéma", et sur le travail entre le musicien Michel Fano et le cinéaste Alain Robbe-Grillet, que l'auteur base son ouvrage. Avec l'analyse de L'homme qui ment.. Cote: 791.43 MAR La Musique de film : pour écouter

jury du festival de Cannes - 1953 : écrit les dialogues de Monsieur Ripois, de René Clément - 1954 : commentaire d'un court-métrage sur les Champs-Elysées - 1955 : écrit une chanson pour Gervaise de René Clément - 1956 : collabore au scénario de la Mort en ce jardin de Luis Buňuel - 1957 : collabore au scénario d'Amère victoire, de Nicolas Ray - 1958 : écrit le commentaire en alexandrins du Chant du Styrène d'Alain Resnais - 1959 : supervise la version française (doublée) de