Commissariat général au développement durable

Exposé stratégique :AREVA Introduction : Actuellement un accord quasi général existe à l’échelle mondiale sur au moins deux points : • La consommation d’énergie mondiale va continuer à croître • Cette croissance devra s’accompagner impérativement d’une limitation du recours aux énergies émettrices du gaz carbonique au profit d’autres solutions. Le choix se porte donc naturellement sur des minerais comme l’uranium. En effet, l’Uranium a l’avantage d’être une source fortement

Contrat Finalisé pour le Commissariat Général au Plan 2003-2004 APPREHENSION ET PREVENTION DES RISQUES INDUSTRIELS Pierre PICARD, Sophie CHEMARIN THEMA, Université de Paris X – Nanterre et CEPREMAP Novembre 2004 INTRODUCTION GENERALE Si la fin des années 70 a été marquée par des événements catastrophiques divers (accident chimique à Seveso en 1976, marée noire causée par l'Amoco-Cadiz en 1978, accident nucléaire de Three Miles Island en 1979) qui auraient du inciter les agents à

administratif de l’ISCAE pour le travail permanent qu’ils effectuent au sein de l’institut. . Pour conclure Je tiens à exprimer ma reconnaissance à ma famille pour leur soutien infaillible et leur amour inconditionnel. 2 SOMMAIRE INTRODUCTION GENERALE NTRODUCTION juridique PARTIE 1 : le fonctionnement juridique comptable et fiscal des OPCVM CHAPITRE 1 : le contexte d’évolution des OPCVM au Maroc Section 1 : état des lieux du Marché des OPCVM au Maroc A- historique des OPCVM B- rôle économique

 Introduction Entre 1945 et 1974, la France, à l’instar de nombreux pays européens, a connu une période de « révolution » économique avec une période connu sous le nom des 30 glorieuses. Durant ce moment, on a pu constater un fort développement de l’industrie, des exportations, une augmentation du niveau de vie ainsi que des salaires mais surtout une économie de plein emploi avec un manque de main d’œuvre. De ce fait, une production de masse verra le jour, ce qui fera acheter et consommer

: Jean-Louis LEVET (octobre 1955 - ) est un haut fonctionnaire et responsable politique français. Il est le président fondateur de l'Association Française pour le Développement de l'Intelligence Économique (AFDIE). Il est chef du Service du développement technologique et industriel au Commissariat général du Plan et rapporteur général de la Commission nationale des aides publiques aux entreprises. Ses travaux portent sur l'économie industrielle et la fondation d'une pensée dynamique de l'intelligence

 Sommaire Définition du Développement Durable Document 1 : Les Révolutions du Gaz de Schiste, Alternatives Economiques Document 2 : Climat : la négociation continue, Alternatives Economiques Document 3 : L’économie verte, clé de la sortie de crise, Alternatives Economiques Document 4 : A Rio, l'ONU présente un nouvel indicateur, le « PIB vert », Les Echos Document 5 : Le Bhoutan, le royaume du bonheur ?, Le Monde Document 6 : Introduction à l’Indicateur du progrès véritable (IPV), Economie

En 1963, l’Etat crée ainsi la DATAR (Délégation à l’Aménagement du Territoire et à l’Action Régionale) pour diriger les aménagements, comme la construction à partir de 1963 de stations balnéaires sur le littoral du Languedoc pour accélérer le développement de cette région peu industrialisée et touchée par la crise de la viticulture. Mais depuis les années 1970-1980, l’Etat joue un rôle moindre dans l’aménagement. En effet, la fin des Trente Glorieuses limite sa capacité financière à lancer de grands

Majal, Avril 2012 « … Notre ambition est grande de faire en sorte que les villes et les Collectivités locales, au même titre que l’Etat, le secteur privé et la société civile, deviennent de véritables partenaires dans le processus de développement global de notre pays, ainsi qu’une force de proposition pour la mise en oeuvre des différentes stratégies nationales. La bonne gouvernance est devenue un outil majeur pour la gestion des grandes villes. Nos cités doivent donc, s’orienter vers

service d’un nombre inatteignable d’éolienne et les sites nécessaires à l’énergie hydraulique sont saturés. La deuxième solution mise en place pour limiter les émissions de CO2 est le concept de Bonus-Malus, mis en place par le commissariat général au développement durable. Il est créé en 2008 suite a la constatation de la trop forte émission de gaz à effets de serre à partir de 2003. On observe sur le graphique du document 1 que entre 2003 et 2008, les émissions de CO2 étaient comprises entre 156

technosphère (l’activité humaine) ont vécu, sinon en symbiose, du moins en homeostasie, la seconde se nourissant de la première, et le rythme des prélèvements ne dépassant pas celui de la reconstitution spontanée. Depuis la révolution industrielle, le développement économique basé sur l’idéologie capitaliste d’expansion des marchés, de croissance de la production, d’augmentation des profits et de la rentabilité aggravé par l’essor démographique qu’ont connu tout à tour les sociétés du Nord et du Sud, a conduit